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Des Poissons au Verseau
Conférences et salons au Québec
Conférences en Europe
L'objet lumineux ressemblant à une étoile
L'article du Maître de novembre 2012
Prochaines conférences de Benjamin Creme
Joignez votre voix...
La parole est à la nouvelle génération
Le discours visionnaire du président Ahmadinejad à l'Onu
Questions/réponses de Benjamin Creme
La méditation de Transmission
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   ÉMERGENCE
 
      Bulletin de novembre 2012
 
   
Des Poissons au Verseau
 
Dans ce que nous héritons du cycle qui s'achève, beaucoup de choses méritent d'être préservées. Car il ne faut pas oublier que l'ère des Poissons, qui disparaît rapidement dans l'Histoire, nous transmet un legs de grande valeur. On peut bien sûr citer l'individualité, qui restera le fleuron de cet âge, mais elle n'est pas le seul joyau que nous ait offert l'expérience des deux mille ans écoulés.
 
Un idéalisme nouveau et plus puissant a enrichi le cœur et l'esprit de millions d'êtres, permettant ainsi l'éclosion et le rayonnement des grandes religions du monde, avec leurs enseignements essentiellement nourriciers et civilisateurs. La quête de savoir, les voyages et le commerce ont connu un essor sans précédent, et c'est littéralement un monde nouveau qui a émergé sous les yeux émerveillés des hommes...
 
Extrait de l’article du Maître de novembre 2012. Voir plus bas pour l’article complet.
 
NDLR. Au 9 octobre 2012, Maitreya avait donné 78 interviews télévisées, dont  35 au Brésil. 
 
 
 
 Pour des informations supplémentaires sur les conférences au Québec : 
 
Téléphone sans frais : 1-888-886-8272

 
Conférences, salons et programmes de radio en Europe
 

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Des Poissons au Verseau

 
par le Maître --, par l'entremise de Benjamin Creme, le 13 octobre 2012.

Le Maître est un des membres aînés de la Hiérarchie des Maîtres de Sagesse, dont le nom est bien connu des cercles ésotériques. Pour diverses raisons, son identité n'est pas révélée. Benjamin Creme se trouve en contact télépathique permanent avec ce Maître qui lui dicte ses articles.
 
 
Dans ce que nous héritons du cycle qui s'achève, beaucoup de choses méritent d'être préservées. Car il ne faut pas oublier que l'ère des Poissons, qui disparaît rapidement dans l'Histoire, nous transmet un legs de grande valeur. On peut bien sûr citer l'individualité, qui restera le fleuron de cet âge, mais elle n'est pas le seul joyau que nous ait offert l'expérience des deux mille ans écoulés.
 
Un idéalisme nouveau et plus puissant a enrichi le cœur et l'esprit de millions d'êtres, permettant ainsi l'éclosion et le rayonnement des grandes religions du monde, avec leurs enseignements essentiellement nourriciers et civilisateurs. La quête de savoir, les voyages et le commerce ont connu un essor sans précédent, et c'est littéralement un monde nouveau qui a émergé sous les yeux émerveillés des hommes.
 
Comme il fallait s'y attendre, les simples échanges commerciaux des débuts se sont mués en exploitation et en appropriation avide ; ainsi, comme toujours, des empires se sont formés et ont atteint des sommets de richesse et de puissance. Bien souvent, les conquérants s'estimaient – à tort, mais à raison parfois ‑ investis de la mission de civiliser et éclairer les populations ; ils étaient persuadés que les « sauvages » devaient être « sauvés », et que l'or et les épices n'étaient pas la véritable raison de leur présence en ces contrées lointaines. Et souvent, effectivement, ce ne l'était pas.
 
La soif de savoir et de mettre en application les connaissances acquises apparait clairement dans l'œuvre de Léonard de Vinci, dont les travaux scientifiques ont été à l'origine de la médecine moderne, et môme de l'aéronautique et de l'exploration spatiale. Tout cela, et bien plus encore, nous le devons aux Poissons.
 
S'il est vrai que l'individualité a été l'apport majeur de ce cycle, alors que nous entrons dans le nouvel âge du Verseau le mésusage de cette même individualité est devenu pour l'humanité le plus grand danger, la plus grande menace. Partout dans le monde, des personnages puissants, des gouvernements et institutions tiennent des milliards d'hommes sous leur coupe, faisant d'eux de simples pions livrés aux caprices du marché. Des organisations de toutes sortes ‑ gouvernements, banques, grandes entreprises ‑ ont réduit l'expression de l'individualité de leurs employés à de l'obéissance passive. Ailleurs, ceux qui ne meurent pas de faim en silence triment pour un salaire de misère, tandis que les riches continuent d'amasser d'obscènes fortunes.
 
Ce système fondé sur la division conduit l'humanité au bord du gouffre et la confronte à un choix historique : ou bien continuer sur cette voie et mettre fin pour toujours à la présence de l'homme sur la planète Terre, ou bien changer radicalement de direction. Déjà, certains signes indiquent que les hommes ont vu le danger et que, dans le monde entier, ils s'éveillent à une aube nouvelle. L'éclatante lumière du Verseau pénètre leur cœur, tandis que de leurs lèvres jaillit un cri de justice et de liberté. C'est cette même justice par le partage qui tirera les hommes de leurs ténèbres, et les conduira vers l'accomplissement de leur destinée. Ainsi en sera‑t‑il.
 
Partage international, novembre 2012

 
Prochaines conférences de Benjamin Creme
 
Conférences à Londres, Grande-Bretagne, les 13 novembre et 11 décembre 2012.
 
Conférence de 19 h à 21 h 30. Friends House, 173 Euston Road, London NW1 (en face de la station Euston). Entrée libre.
 
Comme beaucoup nous sommes conscients que Benjamin Creme s'est surmené pendant de nombreuses années. Maintenant, à 89 ans, et sur les conseils de son Maître, il regrette de devoir annuler sa tournée mondiale pour cette année.
 
Certains événements programmés seront cependant maintenus (conférences, vidéos) et réalisés par des co-workers.
 

"Joignez votre voix à toutes celles qui, haut et fort, réclament la paix et la justice"
 
"Joignez votre voix à toutes celles qui, haut et fort, réclament la paix et le justice, et prenez conscience de votre place dans l'Histoire. Un monde nouveau est en train de prendre forme, qui nécessite la participation de tous : chacun a son rôle à jouer dans cette vaste entreprise, et nul ne doit se sentir trop jeune ou trop âgé pour formuler ses aspirations à voix haute.  
 
Bientôt, c'est Maitreya lui-même qui focalisera cette revendication d'un nouveau mode de vie, mettant tout le poids de sa vision et de son expérience au service des hommes qui demandent justice et paix. Bientôt, les insuffisances et les contradictions du système actuel obligeront les nations à faire preuve d'un réalisme nouveau. Dans cette lumière plus claire, l'ère nouvelle prendra naissance : les tensions et les souffrances de tant d'hommes aujourd'hui céderont la place à un regain d'espoir et à un engagement vigoureux dans la reconstruction du monde."
 
Le Maître de Benjamin Creme, La voix de Maitreya, juillet 1994, dans le livre Un Maître parle
 

La parole est à la nouvelle génération
interview de Ta'Kaiya Blaney par Gary Dorko
 
Agée de onze ans, Ta'Kaiya Blaney milite pour l'environnement. Depuis 2009, cette actrice et chanteuse‑compositeure de la nation Sliammon (Canada) s'efforce d'encourager les gens à s'opposer au développement effréné, et notamment au projet de pipeline devant être construit par Enbridge Corporation à travers la Colombie britannique et sur le territoire des Nations premières. Ta'Kaiya s'est exprimée à travers tout le Canada et ailleurs dans le monde. Elle a participé à On the Road to Rio et donné 20 conférences en Indonésie, parrainées par le Programme environnemental des Nations unies. En juin 2012, elle a été déléguée au Sommet de la Terre des Nations unies de Rio de Janeiro. Selon elle, ce qui est nécessaire, ce n'est rien d'autre qu'une «Révolution de la Terre». Gary Dorko l'a interviewée pour Partage international.
 
Partage international : Vous écrivez des chansons qui expriment vos inquiétudes et vos espoirs. Pouvez‑vous nous en parler ?
Ta'Kaiya Blaney : Je chante depuis l'âge de quatre ans. C'est une de mes passions. Quand j'ai lu un article sur le projet de pipeline du Northern Gateway qui, depuis les sables bitumineux de l'Alberta, devait traverser la Colombie britannique jusqu'à la côte Pacifique, j'ai été choquée de découvrir que les gouvernements et les entrepreneurs étaient prêts à détruire ma culture, une culture qui a traversé les générations depuis des temps immémoriaux. J'ai été choquée de voir qu'ils étaient prêts â traverser nos cours d'eau et nos sources. S'il y a des fuites de pétrole sur ces terres, cela détruira complètement nos cours d'eau, qui sont nos autoroutes culturelles. C'est aussi là que vivent les saumons, et les saumons constituent une grande partie de notre culture.
 
Donc si l'on détruit une chose, on détruit l'ensemble de l'écosystème. C'est comme un jeu de dominos : si vous le perturbez, tout commence à s'effondrer. Je n'arrivais pas à croire qu'ils étaient prêts à traverser les Montagnes Rocheuses et à risquer que le pipeline soit touché par une avalanche ou par un feu de forêt. La question n'est pas de savoir si une fuite va se produire, mais quand.
Je voulais diffuser tout de suite mon message à travers ce que j'aime faire : chanter. C'est pourquoi j'ai écrit Shallow Waters, une chanson qui parle de ce qui se passera lorsque le pétrole s'échappera du pipeline et des sables bitumineux. Le message de la chanson est que si nous ne faisons rien, il ne restera plus rien.
 
Ta'Kaiya Blaney : "Si vous êtes passionné et concerné, alors vous devez vous lancer." 
 
PI. Quel a été l'accueil à Vancouver et en Colombie britannique quand vous avez parlé du projet de pipeline du Northern Gateway ?
TB. Nous sommes nombreux à vouloir que nos terres restent comme elles sont parce que, en Colombie britannique, nous avons cette magnifique forêt primaire qui est unique sur terre. Mais il y a l'appât du gain, et c'est triste que notre culture tourne autour du tout puissant dollar. Cela rend beaucoup de gens aveugles parce qu'ils ne pensent qu'au dollar.
Je pense donc que l'accueil est partagé : la moitié d'entre nous s'inquiète pour nos terres, l'eau et le ciel, alors que l'autre ne voit que le profit. Même s'ils ne souhaitent pas que leur territoire soit détruit, pour eux l'appât du gain dépasse le risque de perdre définitivement cette beauté.
 
PI. Vous et votre mère êtes allées voir la direction d'Enbridge à Vancouver afin d'essayer de leur parler mais on ne vous a pas lais­sées entrer.
TB. Oui. J'étais très troublée parce qu'à l'époque j'avais dix ans (j'en ai onze aujourd'hui) et ils n'ont pas voulu me laisser entrer. J'étais très déçue parce que j'étais impatiente de leur parler de mes inquiétudes. Ce fut la première action que j'ai entreprise contre Enbridge, et je pense qu'elle fut quand même positive puisque elle a montré qu'ils ne voulaient pas parler à une fillette de dix ans, ce qui fait mauvais effet.
 
PI. Vous avez ensuite envoyé une lettre au président d Enbridge. La réponse a été que ce projet concernait la prochaine génération, comme la vôtre, afin de lui assurer des emplois et de l'énergie.
TB. Je pense que c'est l'argent qui est à l'origine du pipeline. Puisque je fais cela pour ma génération, quand j'aurai son âge, je veux pouvoir pêcher sans risquer de prendre un pois­son à trois têtes. Je veux pouvoir faire les choses dont parlait mon kookpa (grand‑père) et jouir de la forêt primaire que nous avons ici, parce que c'est aussi notre forêt et pas seulement celle des animaux. Les gens peuvent oublier que cet endroit est aussi à nous et que nous ne pouvons pas simplement louer un bunker et y vivre pour le reste de l'éternité. Avec tout ce que nous polluons et détruisons, nous faisons du mal â notre Mère la Terre. Cela finira par se retourner contre nous, et alors que ferons‑nous ?
Je veux conserver ce territoire net et propre. Je veux proté­ger la Terre. Ils peuvent considérer ce projet bon pour l'avenir, mais je ne vois là que de la destruction, le silence moqueur de ce que nous pourrions sauver.
 
PI. Pouvez‑vous parler de vos origines dans les Nations premières et comment cela à pu influencer vos perspectives sur l'environnement ?
TB. J'avais l'habitude que mon kookpa et mon père me racon­tent comment ils allaient sur la côte et dans la baie pour attra­per des harengs et voir les baleines. Ils ne se préoccupaient pas de savoir si le hareng et les plantes pouvaient être toxiques. Mon père m'a expliqué que la vie, la terre et l'eau sont sacrées. Cet enseignement m'a été transmis par mon kookpa et les ancêtres de nos ancêtres. Quand je repense à ces histoires, je suis triste car je réalise que je ne pourrai jamais faire ce dont ils me parlaient. Nous avons dû quitter le village, Toshusum, dont le nom décrit l'eau quand les harengs viennent frayer. Notre village a été inondé pour faire place à une usine de pâte à papier.
 
PI. Dans plusieurs de vos discours, vous parlez de la guérison de la Terre et de la guérison des traditions ?
TB. Dans notre culture, tout est connecté ‑ la terre, l'eau et l'air font partie d'un tout et ne doivent pas être séparés. Un des messages de ma chanson Shallow Waters est que si nous ne fai­sons rien, il ne restera plus rien. Je crois que nous avons pollué notre Terre pendant des dizaines d'années, et aujourd'hui, après tant de destructions, le temps de la guérison est venu. Si nous voulons continuer à vivre sur ce monde, il faut beaucoup de soins et non de destructions. Cela demandera la participa­tion de beaucoup de gens, mais nous avons déjà quelques solu­tions : nous avons l'énergie du soleil, du vent et de la géother­mie. Nous devons prendre des mesures afin que ces énergies soient plus durables. Nous ne pouvons pas attendre que les corporations et les gouvernements changent les choses pour nous. Nous devons être nous‑mêmes le changement.
 
PI. Vous avez récemment participé à la conférence de l'Onu, Rio+20, sur le développement durable. Pouvez‑vous parler de votre vécu lors de cette conférence ?
TB. J'étais très excitée à l'idée d'y aller parce que je croyais que le moment était venu pour les gouvernements et que les représentants du monde allaient se réunir et parler d'un monde durable, ce qui ne leur arrive pas souvent. J'ai pensé « Formidable ! Nous allons enfin prendre des décisions sur un sujet important. » Mais j'ai été très déçue parce que cette conférence était très encadrée par les multinationales. Nous sommes arrivés dans de grands autocars noirs au nom de « Petrobras », une des grandes compagnies pétrolières brésiliennes. Ils ven­daient aussi des diamants « Sommets de la Terre » , ce que j'ai trouvé très indécent vis‑à‑vis des gens qui avaient voyagé de­puis leurs villages avec très peu d'argent et qui protestaient contre les compagnies minières, et les effets de ces exploita­tions minières sur leurs communautés. Certaines des pires multinationales sponsorisaient l'événement, comme Coca Cola.
 
Il y eut aussi quelques aspects positifs. J'ai rencontré des in­digènes comme moi qui avaient la même culture que moi, se­lon laquelle la terre et l'eau sont sacrées. Ils devaient faire face aux mêmes problèmes que beaucoup des habitants des Nations premières du Canada, comme les barrages hydroélectriques menaçant d'inonder le pays, ou des entreprises, accaparant leurs ressources et menaçant leur mode de vie. J'ai pu rencon­trer beaucoup de gens venant de différentes régions avec le même message. C'était surprenant parce que j'ai rencontré des chefs de l'Amazone, ce qui n'arrive pas tous les jours. Ce fut l'un des aspects les plus encourageants pour moi, plus le fait de rencontrer d'autres enfants et adolescents portant le même re­gard sur la Terre et le monde. C'est encourageant de savoir que je ne suis pas seule dans ma lutte. Je suis avec des gens de mon âge avec la même passion et les mêmes intérêts.
 
J'ai l'habitude d'entendre mon père me dire que le Créa­teur a donné à chacun de nous un don et que je devrais être reconnaissante pour ce don et ne pas le cacher mais le partager. Il m'a aussi dit que j'avais une voix et que je ne devais pas avoir peur. Lorsque je me sens concernée et passionnée, je dois parler et faire entendre ma voix. C'est ce que je dis aux gens parce que je sais qu'il y a plein de gens, surtout des enfants ‑ mais aussi des adultes ‑ qui ont peur de s'exprimer.
 
Ce que je dis aux jeunes de mon âge, c'est que nous sommes la génération d'aujourd'hui, nous sommes la « génération maintenant ». Les multinationales qui exploitent les mines et creusent des trous dans notre futur sont en train de brader notre avenir, la terre, l'air et l'eau. Elles ne seront pas toujours là et un jour elles devront transmettre cette terre aux enfants de ma génération et aux enfants à naître. Qu'est‑ce qu'elles nous donneront ? Des forêts privées de leurs arbres, des rivières devenues des mares remplies de déchets de minerais, des montagnes qui un jour furent belles devenues des dépotoirs ? Ce n'est pas l'avenir que je souhaite et ce n'est pas le futur qu'attendent beaucoup d'enfants. C'est notre avenir, si bien que je demande aux gens de s'occuper de leur avenir.
 
Je ne m'adresse pas seulement aux enfants. Nous avons be­soin d'un maximum de gens parce que les gouvernements et les multinationales ne font rien pour un avenir durable. C'est nous qui devons faire le nécessaire. J'ai fait un voyage en train à tra­vers le Canada avec un groupe du Sommet de Rio appelé Nous Canada et j'ai parlé dans plusieurs écoles élémentaires. Ce fut une magnifique expérience de parler à des enfants de mon âge et de les informer de ce qu'ils peuvent faire.
 
PI. Qu'aimeriez‑vous partager pour conclure ?
TB. N'ayez pas peur de prendre position pour votre propre avenir. Levez‑vous, exprimez‑vous et ne laissez pas les gens vous dire que vous êtes trop jeunes. Vous n'avez pas besoin d'être la personne la plus géniale du monde ‑ je ne suis pas la personne la plus géniale du monde ‑ mais si vous êtes passionné et concerné, alors vous devez vous lancer.
 
Pour plus d'informations : www.takaiyablaney.com
 
Révolution de la Terre
 
Chanson de Ta'Kaiya Blaney et Aileen De La Cruz
 
Venue de très loin,
J'ai encore des millions de kilomètres à parcourir
Pour faire la différence. [ ...]
Nous savons qu'il existe des solutions
Mais les actes ont plus de valeur que les mots
Oh cesse de remettre à demain, cesse de vivre hier
Parce qu'il n'y aura pas de lendemain
Si nous ne changeons pas aujourd'hui
La création pleure et je ressens sa douleur,
Je ne peux partir. [ ...]
Rejoignez‑moi dans la Révolution
Parcourons les routes
Nous sommes des millions de voix. [...]
J'ai parcouru ce grand pays, il était beau,
c'était notre foyer
J'ai vu les rivières s'assécher
et des communautés sans logement
Où sont les oiseaux et les arbres
Ils les ont remplacés par des rêves en béton
Nous pouvons inverser cela.
Nous pouvons réparer tout cela.
 

Le discours visionnaire du président Ahmadinejad à l'Onu
 
Le 26 septembre 2012, lors de la 67° session de l'Assemblée générale de l'Onu, le président Mahmoud Ahmadinejad a prononcé un discours extraordinaire, bien que notoirement boycotté par les délégués des États-Unis, du Canada et d'Israël (voir les commentaires de Benjamin Creme dans notre rubrique Questions‑Réponses et à la fin de cet article).
 
Pour ceux qui l'ont écouté avec objectivité, ce fut un dis­cours à la fois exaltant et édifiant, brossant la fresque d'un avenir basé sur la tolérance et la justice pour tous, sous la conduite et grâce aux conseils d'un nouvel instructeur : le nouveau Messager de Dieu.
 
Le dirigeant iranien demanda aux auditeurs de se repré­senter un monde où tout irait bien, où la confiance, la tolé­rance et l'amour seraient à l'ordre du jour. Puis il traça à grands traits, mais avec perspicacité, l'histoire de l'humanité jusqu'à nos jours, regrettant les faiblesses et les torts des hom­mes, avant d'en venir à la vision de ce que ce monde aurait pu être : « Imaginez à quel point nos vies auraient été belles et heu­reuses, et l'histoire de l'humanité plaisante. »
 
Il analysa ensuite minutieusement les crises mondiales actuelles ‑ économique, culturelle et morale ; la faiblesse de l'Onu et la nécessité de réformer le Conseil de sécurité ; la dégradation de notre environnement, le matérialisme ou­trancier et l'accumulation des armes nucléaires ‑ avant d'as­séner : « Il ne fait aucun doute que le monde a besoin d'un nouvel ordre et d'une nouvelle façon de penser. » Puis il entreprit d'énu­mérer les valeurs qui pourraient être acceptées de tous.
 
Dans ce nouvel ordre, la nature spirituelle de l'homme se­rait reconnue ; les valeurs telles que la justice, la vérité, la dignité humaine et la paix seraient universellement accep­tées. A l'avenir il règnera « un ordre juste et équitable au sein duquel chacun sera égal devant la loi, car il n'y aura pas deux poids et deux mesures. Les dirigeants du monde devront se considérer comme les serviteurs zélés de leurs peuples, et non comme leurs supé­rieurs. L'autorité est un don sacré que les peuples font à leurs diri­geants, pas une occasion d'amasser pouvoir et richesses. » L'huma­nité a besoin de donner sa confiance au divin et de résister au matérialisme ; nous devrions chercher le divin « dans l'intégra­tion et l'unité des sociétés humaines... » ; nous devrions préparer l'avènement d'un gouvernement mondial en insistant sur la justice dans tous ses aspects, renforcer l'unité et l'amitié entre les hommes, et développer les interactions sociales, culturel­les et politiques par l'intermédiaire d'organisations indépen­dantes et spécialisées.
 
« Heureusement, nous vivons actuellement une période histori­que cruciale. D'un côté, le marxisme a été pratiquement éliminé de tous les systèmes de gouvernement, et, de l'autre, le capitalisme s'en­lise dans le bourbier qu'il a lui‑même créé. Il est véritablement dans une impasse et ne paraît pas capable de produire la moindre solu­tion valable aux différents problèmes du monde ‑ économiques, po­litiques, sécuritaires et culturels [..]
L'Onu, créée dans le but de faire régner la justice dans le monde et d'y instituer de nouveau les droits universaux, fait preuve eu fait de discrimination, ouvrant ainsi la voie à la domination de quel­ques superpuissances... »
 
L'avènement du « Sauveur ultime »
 
« Dieu Tout‑Puissant ne nous abandonne pas dans cette mission, car il a dit que tout ceci se produira de façon certaine... Il nous a promis l'avènement d'un homme tout de bonté, qui aime les gens et la justice absolue, un être humain parfait nommé l'Imam Al­Mahdi, qui viendra accompagné de Jésus Christ et des Justes. En révélant le potentiel inhérent à tous les hommes et les femmes méri­tants de toutes les nations, il mènera l'humanité à la réalisation de ses idéaux glorieux et éternels.
 
L'avènement du Sauveur ultime marquera un nouveau com­mencement, une renaissance et une résurrection. Ce sera le début de la paix, de la sécurité pérenne et d'une vie authentique.
 
Sa venue marquera aussi la fin de toute oppression, immoralité, misère, discrimination, et l'avènement de la justice, de l'amour et de l'empathie.
 
Il viendra déraciner l'ignorance, la superstition et les préjugés eu ouvrant les vannes de la science et de la connaissance. Il établira un monde avisé et sans violence, établissant les structures nécessaires à la participation collective, active et constructive de tous à la gouver­nance mondiale.
 
Il viendra offrir à toute l'humanité de la bonté, de l'espoir, de la liberté et de la dignité.
II viendra pour que les humains goûtent le plaisir d'être des hommes, et d'être en compagnie d'autres humains. [ ...]
 
II viendra pour que les mains se joignent, pour que les coeurs se gonflent d'amour et que les pensées soient purifiées, au service de la sécurité, du bien‑être et du bonheur pour tous.
 
Après une si longue histoire de séparation et de division, il Vien­dra ramener tous les fils d'Adam, sans distinction de couleur de peau, à leur origine naturelle, les reliant ainsi au bonheur éternel.
 
L'avènement du Sauveur ultime, de Jésus Christ et des Justes ap­portera à l'humanité un avenir éternellement lumineux, non par la force ou les guerres, mais par l'éveil de la pensée et le développement de la bonté en chacun. Leur arrivée insufflera une vie nouvelle dans le corps glacé de ce monde. Il bénira l'humanité d'un printemps qui mettra fin à l'hiver de notre ignorance, à la misère et à la guerre.
 
Déjà nous sentons la brise embaumée et émouvante du printemps, d'un printemps qui vient d'apparaître, n'appartenant à aucune race, ethnie, nation ou région spécifiques, et qui, bientôt, se répandra sur toutes les terres d Asie, d Europe, d Afrique et des Etats‑Unis.
 
Il sera le printemps de tous les assoiffés de justice, de tous les amoureux de la liberté, et des fidèles des saints prophètes. Il sera le printemps de l'humanité et l'épanouissement de toutes les époques.
 
Donnons‑nous la main et ouvrons‑lui la voie avec empathie et coopération, avec harmonie et unité, pour permettre enfin son avène­ment. Marchons sur cette voie du salut, afin que les âmes assoiffées des hommes goûtent la joie et la grâce immortelles. Vive ce prin­temps, vive ce printemps, et vive ce printemps ! »
 
[Source : Mission permanente de la République islamique d'Iran auprès de l'Onu.]
 
Question à Benjamin Creme. Mahmoud Ahmadinejad, le président de l'Iran, a récemment fait un discours aux Nations unies. On aurait cru qu'il lisait Share International. Comment cela se fait‑il ?
 
R. Je ne pense pas qu'il lise la revue Share International, mais qu'il la lise ou non, il a fait un discours extraordinaire, sans agressivité, sans hostilité, sans menaces. Il avait déjà déclaré dans le passé que l'apparition de l'imam Mahdi (le Christ, ou le Bouddha Maitreya pour les bouddhistes) était imminente, et il a répété la même chose cette fois‑ci. Il a fait un appel à la paix et à la coopération des nations. Cela a été un discours extraordinaire, délivré « au pas de charge ».
 
Dans de nombreuses régions du monde, y compris auprès de ses ennemis en Iran, M. Ahmadinejad est connu pour son intolérance et son fanatisme. Comment a‑t‑il pu faire un ap­pel aussi général à la paix et à la justice ?
 
A ma connaissance, M. Ahmadinejad est un médium. Ses idées, pour l'essentiel, lui ont été données sur les plans de l'astral par Maitreya. Ensuite, elles ont percolé petit à petit dans son cerveau, d'où elles sont passées aux Nations unies, puis au monde.
 
Il est quelque peu inhabituel que les Maîtres recourent à un sensitif astral pour transmettre un message, mais cette mé­thode est parfois utilisée avec plus ou moins de succès.
 
Questions - réponses de Benjamin Creme dans la revue Partage international de novembre 2012 (extraits)
 
Benjamin Creme traite, dans cette rubrique, toutes questions ayant trait aux activités de Maitreya et de la Hiérarchie des Maîtres de Sagesse, ainsi qu’aux enseignements de la Sagesse éternelle, auxquelles il n’a pas répondu dans ses livres. Benjamin Creme ne souhaite pas se poser en arbitre de l’au­thenticité de l’activité et des communications des autres groupes. Veuillez donc vous abstenir de poser des questions sur ces sujets.
Les questions doivent être adressées à  : Share Internatio­nal/Questions,
PO Box 36-77, London NW5 IRU, G.-B.
 
Q. Combien d'interviews Maitreya a‑t‑il données à ce jour ?
R. Un total de soixante‑dix‑huit, dont trente‑cinq au Brésil [au 9 octobre 2012].
 
Q. [I] Parmi les personnes ayant entendu les idées de Maitreya, le pourcentage reste‑t‑il aux environs de soixante‑dix pour cent de réactions favorables et de trente pour cent de réactions négatives ? [2] Le chiffre de soixante‑dix pour cent en faveur de ses propositions est‑il le meilleur que l'on puisse attendre de l'humanité ? [3] Dans l'ensemble, les « trente pour cent contre » sont‑ils des gens riches qui ont intérêt au maintien du statu quo et cherchent à sauvegarder leurs avoirs ?
R. [1] Oui, plus ou moins. [2] Probablement. C'est un très bon résultat. [3] Pas nécessairement, mais c'est vrai de certains, bien entendu.
 
Q. Pourriez‑vous nous dire pourquoi Maitreya est interviewé da­vantage dans certains pays que dans d'autres ?
R. Cela dépend de l'intérêt que les médias trouvent à lui don­ner la parole.
 
Q. J'éprouve en permanence le besoin urgent (pas frénétique, mais constant et ferme) d'annoncer à un public aussi large que possible la réapparition de Maitreya, l’Instructeur du monde. J'ai le sentiment qu'il est essentiel qu'une masse critique de personnes soient infor­mées le plus vite possible. Quel est votre sentiment ?
R. Vous êtes sur la bonne voie. C'est la meilleure attitude que l'on puisse avoir. Si tout le monde ressentait la même chose et agissait en conséquence, nous verrions Maitreya d'autant plus vite.
 
Q. A en juger d'après le dernier article de votre Maître « S. O. P. ‑ Save Our Planet » et à l'objectif déclaré que S.O.P. devienne aussi connu dans le monde que S.O. S. ou d'autres cris de ralliement simi­laires, il semble que la mission du groupe qui travaille avec vous soit d'informer le public de la réapparition imminente de l'Enseignant du monde. Est‑ce exact ?
R. Ces deux tâches ne sont pas mutuellement exclusives : elles font partie d'un tout.
 
Q. Certains co‑workers ont entrepris de fabriquer des autocollants de pare‑chocs, des badges, etc., pour promouvoir le message de S.O.P.. Ils veulent aussi encourager les gens (peut‑être ceux qui sont déjà engagés dans la défense de l'écologie) à relayer cet appel. Que pensez‑vous de leur initiative ?
R. C'est l'une des nombreuses bonnes idées qui ont été lancées.
 
Q. J'ai entendu dernièrement un co‑worker de l'un des groupes de méditation de transmission parler du « travail en vue de l'Emer­gence » comme s'il s'agissait d'une mission distincte n'ayant rien à voir avec celle de Partage international, qui informe le public de la réapparition de Maitreya, (Instructeur du monde. Je dois dire que je ne comprends pas de quoi il retourne. S'agit‑il d'un groupe dans le groupe ? D'un sous‑groupe ? D'un groupe totalement différent ? Pourriez‑vous m'éclairer, s'il vous plaît ?
R. Il y a, dans les groupes Partage international, des personnes qui aiment se faire remarquer dès qu'elles parlent de l'émer­gence de la Hiérarchie spirituelle. Elles aiment bien présen­ter leur travail comme relevant de l'« Emergence » plutôt que de le mettre sous la bannière de Partage international. Je con­sidère pour ma part que cela affaiblit l'impact de l'information et met en danger l'unité fondamentale du travail de Par­tage international dans le monde entier. J'ai parlé de cette question à différents groupes qui ont modifié leur politique de communication et de sensibilisation en conséquence.
Ce danger s'accentue avec l'approche du Jour de Déclara­tion. Des personnes jusqu'à présent insensibles au message commencent à le voir d'un autre oeil, maintenant que les évé­nements mondiaux tendent à en confirmer l'exactitude. Cela éveille chez certains la grande ambition de revendiquer une part dans cet événement considérable, mais sous des appella­tions différentes. Le nom « Partage international » m'a été donné par mon Maître au début de ma mission. C'est une appellation vraiment internationale. Lorsque des informations seront dif­fusées sous la bannière de Partage international, de plus en plus d'individus les considéreront comme fondamentalement exac­tes. Sans la garantie de cette bannière, des centaines de mil­liers, voire des millions de personnes ne sauront plus à qui se fier si les informations émanent d'un grand nombre de sources. Ainsi, le nom Partage international est une garantie d'authenti­cité et d'exactitude : tout le monde peut lui faire confiance, et l'indispensable unité d'action peut être préservée.
 
Q. IL y a bien sûr quelques personnes jeunes ou relativement jeunes dans les groupes de Share International, mais, en règle générale, il semble que les jeunes se préoccupent davantage de leur démarrage dans la vie, de leur carrière, etc.. Même s'il y a des exceptions, ne se­rait‑il pas correct de dire que, dans l'ensemble, il en est bien ainsi ? (Nous ne connaissons pas en Occident le concept indien des différen­tes étapes de la vie, dont chacune a son objectif propre.)
R. Un processus aussi important et complexe que l'extériorisa­tion de la Hiérarchie spirituelle prend du temps : ceux qui s'y engagent doivent être prêts à y prendre de l'âge. Il est donc es­sentiel que les groupes ouvrent leurs portes aux personnes plus jeunes tout au long du chemin. Sinon, comme c'est le cas à l'heure actuelle ici et là, le groupe originel devient trop vieux et voit ses capacités de travail décliner, sans s'être donné les moyens de déléguer et de former des personnes plus jeunes. Les jeunes rechignent peut‑être à s'engager pleinement à cause de leurs responsabilités dans la vie, mais ils doivent néan­moins être accueillis à bras ouverts pour ce qu'ils ont à donner.
 
Q. Votre Maître fera‑t‑il partie du groupe de Maîtres qui apparaî­tra publiquement le Jour de Déclaration ou quelque temps après ?
R. Je connais la réponse à cette question mais ne suis pas autorisé à faire de commentaires.
 
Q. Peut‑on dire d'êtres aussi évolués que Maitreya et les Maîtres qu'ils « attendent avec impatience » un événement tel que le Jour de Déclaration ?
R. Oui, bien sûr !
 
Q. Mahmoud Ahmadinejad, le président de l'Iran, a récemment fait un discours aux Nations unies. On aurait cru qu'il lisait Share International. Comment cela se fait‑il ?
R. Je ne pense pas qu'il lise la revue Share International, mais qu'il la lise ou non, il a fait un discours extraordinaire, sans agressivité, sans hostilité, sans menaces. Il avait déjà déclaré dans le passé que l'apparition de l'imam Mahdi (le Christ, ou le Bouddha Maitreya pour les bouddhistes) était imminente, et il a répété la même chose cette fois‑ci. Il a fait un appel à la paix et à la coopération des nations. Cela a été un discours extraordinaire, délivré  « au pas de charge ».
Dans de nombreuses régions du monde, y compris auprès de ses ennemis en Iran, M. Ahmadinejad est connu pour son intolérance et son fanatisme. Comment a‑t‑il pu faire un ap­pel aussi général à la paix et à la justice ?
A ma connaissance, M. Ahmadinejad est un médium. Ses idées, pour l'essentiel, lui ont été données sur les plans de l'astral par Maitreya. Ensuite, elles ont percolé petit à petit dans son cerveau, d'où elles sont passées aux Nations unies, puis au monde.
Il est quelque peu inhabituel que les Maîtres recourent à un sensitif astral pour transmettre un message, mais cette mé­thode est parfois utilisée avec plus ou moins de succès.
 
Q. Le prix Nobel vient d'être attribué à l'Union européenne. Qu'en pensez‑vous ? Etant donné les circonstances, que peut‑on faire pour résoudre la crise économique actuelle ?
R. Quand j'ai appris la nouvelle, j'ai trouvé étrange que l'Union européenne soit ainsi honorée au moment où elle est sur le point de s'effondrer. Mais à la réflexion, je me suis dit que cela avait peut‑être été fait pour lui remonter le moral. Il ne fait aucun doute que l'Union européenne a apporté la paix à l'Europe : plus personne désormais ne craint une guerre en­tre la France et l'Allemagne. Si tel était le but de l'Union en 1950, il a été atteint. L'UE a été élargie récemment par l'arri­vée de sept pays d'Europe de l'Est, ce qui, du point de vue économique, constitue pour elle un défi majeur.
Nombreux sont ceux qui voudraient voir l'UE devenir un état intégré de quelque cinq cent millions d'habitants, et qui soutiennent que seul ce type d'intégration étroite rendrait l'Union viable pour les Etats membres. J'ai déjà déclaré dans le passé qu'il n'est pas dans le plan de notre Logos planétaire ‑ plan qui est connu des Maîtres de Sagesse ‑ que l'Europe devienne un Etat intégré. Chaque pays membre a sa propre destinée et sa propre structure de rayons : tout cela doit être conservé. Chaque pays a des qualités spécifiques à donner à l'Union et au monde dans son ensemble.
Que doivent faire les pays membres pour surmonter la crise économique actuelle ? A mon avis, les pays les plus ri­ches devraient aider les pays accablés par la dette en leur ac­cordant des prêts sans intérêt ou à intérêt réduit, ce qui aug­menterait la capacité commerciale de ces derniers pour le plus grand bien de tous en allégeant leur fardeau. Si cela n'est pas fait, l'Union européenne n'aura d'union que le nom.
 
Q. Les événements qui ont lieu en Birmanie tiennent du miracle, ne pensez‑vous pas ? Thein Sein, le président birman, fait aujour­d'hui référence â la volonté du peuple. Il déclare que si la volonté du peuple est que Aung San Suu Kyi soit choisie comme leader, il coo­pérera. Comment expliquer ce virage à cent quatre‑vingts degrés en Birmanie ? Cela a‑t‑il quelque chose à voir avec Maitreya ?
R. Sans aucun doute. C'est encore une fois l'expression de la transformation qui a lieu progressivement dans le monde et qui voit les citoyens ou leurs représentants exiger la li­berté et la participation à leur propre développement, tandis que dans le même temps nombre de ceux qui étaient jusque­là des réactionnaires subissent une relative et étrange trans­formation.
Je suis persuadé que ce phénomène deviendra de plus en plus apparent partout dans le monde dans les temps à venir. Les gens ne doivent pas oublier que nous sommes maintenant dans l'ère du Verseau, dont les puissantes énergies, focalisées par Maitreya, commencent leur travail de transformation.
 
Q. Le rover Curiosity a trouvé des traces de ce qui semble avoir été une rivière coulant sur Mars. A‑t‑il vraiment existé une rivière sur le plan physique dense â cet endroit ?
R. Oui.
 
Q. Le bruit court qu Al‑Quaida serait derrière les terribles incendies qui ont éclaté ces derniers temps dans de nombreuses régions d'Eu­rope. Est‑ce une réalité ou de la paranoiâ ?
R. Je pense que c'est de la paranoïa.
 
Q. Dans leur campagne électorale, ni le président Obama ni Mitt Romney ne disent grand‑chose sur l'état de la planète, le réchauffe­ment climatique et la nécessité d'agir. Ignorent‑ils délibérément le problème de peur de perdre le soutien du monde des affaires qui met peut‑être le profit avant la planète, ou bien ne sont‑ils pas cons­cients de la gravité de la situation ?
R. Beaucoup d'Américains n'acceptent pas pleinement le principe de la responsabilité de l'humanité dans le déséquili­bre que connaît la planète aujourd'hui.
 
Q. Les Frères de l'espace, qui sont les habitants des planètes voisines de la nôtre, ont‑ils ces derniers temps redoublé d'efforts pour infor­mer l'humanité de leur existence ? Si oui, pourquoi ?
R. Pas particulièrement. Leur travail est en totalité gouverné par la loi du karma.
 
Q. J'ai trouvé très éclairante et joyeuse votre conférence du 13 sep­tembre 2012 à Friends' House. Vous y avez utilisé les termes « ccles » et « rondes » à propos du processus évolutionnaire et des phases que connaissent l'humanité et les planètes. Tous y avez fait une compa­raison entre notre Terre, qui en est à sa quatrième ronde avec une humanité dans sa cinquième race racine, et Vulcain, planète plus évoluée qui a terminé sa septième ronde ‑ processus qui a culminé dans son invisibilité.
Pourriez‑vous nous en dire plus à ce propos s'il vous plaît ? Cela signifie‑t‑il que la sphère physique qui était autrefois identifiée sous le nom de Vulcain a aujourd'hui atteint un niveau de fré­quence vibratoire hors de portée de notre vue et de notre conscience, tout en restant activement présente in situ ? Ou bien s'est‑elle dis­soute avant de connaître une transmutation et une relocalisation en un autre état et dans un autre lieu ?
Qu'est devenue la planète Vulcain originelle et à quel niveau se trouvait l'humanité de Vulcain à la fin de la septième ronde ? Que sont devenus les habitants de Vulcain aujourd'hui ?
R. Vulcain est constituée de matière éthérique du plus haut niveau. Planète la plus évoluée de notre système solaire, Vul­cain est le siège du Parlement interplanétaire. Le représentant de Vulcain à cette assemblée est le plus éminent.
 

    
La méditation de Transmission
 
En réponse à l'appel de leur âme, beaucoup de gens sentent le besoin de se mettre au service du monde. Pour ce faire, la méditation de transmission est une méthode simple  et efficace.
 
La Transmission est une forme de méditation de groupe ayant pour objet de transmettre des énergies spirituelles, au bénéfice de l’humanité. Il s’agit d’un acte de service, qui s’effectue en coo­pération avec les Maîtres de Sagesse. Les Maîtres de Sagesse sont les êtres éclairés qui nous ont précédés sur le chemin de l’évolution.
 
 

 
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Partage international est la version française de Share International, revue mensuelle de langue anglaise (bimestrielle en janv./fév. et juil./août), publiée par la fondation Share International, organisation non gouvernementale enregistrée auprès du Département de l'Information des Nations unies.

Partage international, réunit deux courants majeurs de la pensée contemporaine : la pensée politique et la pensée spirituelle. Elle porte un regard synthétique sur les transformations politiques, sociales, économiques et spirituelles qui se déroulent sur la planète et cherche à stimuler la reconstruction de notre monde sur des bases plus justes.

Partage international rend compte d’événements, d’informations, d’analyses allant dans le sens des priorités de Maitreya : une juste répartition de la nourriture, des logements convenables pour tous, le droit universel à l'éducation ainsi qu'aux soins médicaux, la restauration et la préservation de l'équilibre écologique de la planète.
Extrait de : Partage International
 
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