Partage International Canada
     

  

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Conférences de Benjamin Creme et du Réseau sur la méditation de Transmission et la présence des Maîtres et de Maitreya, l'Instructeur mondial  

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Radio Partage présente des Émissions consacrées à l'émergence de Maitreya et des Maîtres de Sagesse  



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     ÉMERGENCE
 Infolettre de juillet 2017  

Perle de Sagesse !

 Le sentier qui mène à Dieu
 
NOMBREUSES SONT LES VOIES menant à la perfection, mais les plus simples sont les meilleures. Ma voie, la voie de l’Amour est celle qui amènera l’homme le plus rapidement à sa source. Si vous pouvez voir cela, vous vous engagerez sur un chemin infaillible et sûr, et il en va de même pour tous les hommes.
 
[Message no 58, (Maitreya)] 
Compilé dans la revue Partage International, octobre 2016

 
    
Le fléau du mercantilisme
par le Maître-, par l'entremise de Benjamin Creme
 
SI L'HUMANITÉ doit sauver cette planète des suites du réchauffement global, il lui faut prendre des mesures autrement drastiques pour limiter les émissions de carbone, et ce, dans un délai plus court qu'on ne l'admet généralement. Les hommes ont tardé à reconnaître les dangers, et aujourd'hui encore nombreux sont ceux qui refusent de prendre le problème au sérieux. Il est hors de doute qu'une telle attitude met en péril l'avenir de la planète Terre. Il reste tout au plus dix à quinze ans* pour créer une situation d'équilibre avant que des dommages irréparables ne se produisent.
 
Pour y parvenir, les hommes doivent changer radicalement leur manière de vivre, et adopter des modes de vie et de travail plus simples. L'époque est révolue où ils pouvaient violer et ravager la planète à leur guise, sans penser un seul instant aux générations à venir, sans se soucier le moins du monde d'un environnement qui, c'était inévitable, n'a cessé de se dégrader. Chaque année, depuis longtemps déjà, d'immenses étendues de forêt primaire se voient dépouillées de leurs arbres, vecteurs de vie séculaires, à des fins purement mercantiles.
 
Le mercantilisme, cette calamité, saisit l'humanité à la gorge et ne cesse de resserrer son étau. Comme le dit Maitreya, la course au profit est plus dangereuse pour les hommes que la bombe atomique, et c'est par le chaos économique qui règne aujourd'hui dans le monde que se manifeste sa puissance de destruction. Combien de temps faudra-t-il pour que les gouvernements et les peuples du monde le comprennent ? Combien de temps faudra-t-il pour que le mercantilisme vide l'humanité de son sang, avant de s'étioler et de mourir lui-même?  [ ...]
 
Pour lire les extraits de la revue Partage international des années antérieures, ainsi que ceux du mois en cours  Cliquez ici !
 

 
 

AGENDA 2017 - 2020

AGENDA DES ACTIVITÉS PROPOSÉES
PAR DES GROUPES DE MÉDITATION DE TRANSMISSION
POUR INFORMER DE L'ÉMERGENCE DE MAITREYA ET DES MAÎTRES DE SAGESSE
 
Conférences, salons et programmes de radio pour la France, la Belgique et la Suisse
 

 
Prochaines Activités au Québec - Bienvenue ! 
 
 Lévis - Salon International du Mieux-être
 Lieu : Centre des Congrès et d'Exposition de Lévis, 5750 rue J.B. Michaud
   Date : 18, 19 et 20 août 2017 

   Heures d'ouverture : vendredi et samedi de 9 h 30 à 18 h 30 et dimanche de 9 h 30 à 17 h 
   Nos activités lors de ces journées : 
 
Animation du kiosque # 04
Conférence : le samedi 19 août 2017, à 11 h 55
Titre : Créer un monde nouveau par le partage avec l'aide des Maîtres de Sagesse et de Maitreya.
 
Conférence gratuite
Prix d'entrée au salon : 10$ par jour, 5$ par jour pour les 15-16 ans, gratuit pour les 14 ans et moins.
Pour des informations complémentaires :
Sans frais : 1-888-886-TARA (8272)
 

Prochaines conférences à Londres
 
Diffusion de la vidéo d'une conférence de Benjamin Creme, séance de questions-réponses par des co-workers et méditation de transmission : les jeudis 20 juillet et 14 septembre  2017 de 19 h à 21 h 30. Méditation de transmission avec une vidéo de B. Creme le samedi 18 août 2017, de 13 h 30 à 17 h. Friends House, 173 Euston Road, London NW1 (en face de la station Euston). Entrée libre.
  
Renseignements : Tél.00 44 20 7482 1113
  

 
S.O.P. SAUVONS NOTRE PLANÈTE
 
« Hormis la guerre, rien ne compromet aussi gravement l'avenir de l'humanité que la pollution. Constatant qu'il en est ainsi, certains pays ont pris des mesures pour la réduire et pour limiter le réchauffement climatique. D'autres, parfois parmi les plus gros pollueurs nient la réalité d'un tel réchauffement en dépit des preuves qui s'accumulent. À tout moment, dorénavant, les changements climatiques montrent sans l'ombre d'un doute que la planète est malade, qu'elle a besoin de soins immédiats et attentifs pour retrouver l'équilibre. Le temps nous est compté pour mettre fin aux ravages que subit quotidiennement la planète Terre. Chaque homme, chaque femme, chaque enfant a son rôle à jouer dans sa restauration. Oui, le temps presse. Save Our Planet (S.O.P.), sauvons planète! » [Source: Le Maître de B. Crème, Partage international, octobre 2012]
 
Le nouveau film d'Al Gore : « Une suite qui dérange: la vérité au pouvoir »
                 
La suite du documentaire d'Al Gore de 2006, Une vérité qui dérange, qui remporta un Oscar, a été présentée en janvier dernier au Festival du Film de Sundance et a reçu une standing ovation. La présentation de Une suite qui dérange : la vérité au pouvoir, accompagnée de l'injonction « Il est temps de se battre comme si le sort du monde en dépend », a coïncidé avec l'arrivée à la Maison Blanche de l'administration Trump. Le film passe en revue les progrès réalisés depuis dix ans pour renforcer la protection de l'environnement et présente les Accords de Paris dont l'objectif est de réduire les émissions de gaz à effet de serre dans le monde entier. A Sundance, Al Gore a été interviewé par Amy Goodman de Democracy Now, et a parlé de ce qu'il appelle « la révolution du développement durable » qui prend son essor en ce moment. « Ça a l'envergure et la portée de la révolution industrielle mais la rapidité de la révolution de l'information. » Le film a également été présenté e au Festival de Cannes où on a entendu Al Gore dire que le président Trump ne pourrait pas arrêter le mouvement sociétal de sortie des carburants fossiles. « Nous savons maintenant, après quatre mois d'administration Trump, que personne même un président, ne peut arrêter la progression de la vague climatique », a déclaré Al Gore au cours d'une conférence de presse organisée dans le cadre du festival du film français. Un qui dérange, la vérité au pouvoir sortira dans les salles de cinéma à partir d'août 2017.
 
Vers un monde sans plastique
 
La scène grotesque où l'on voit 38 millions de morceaux de plastique qui envahissent les plages de l'île déserte de Henderson, une île inhabitée située dans le récif corail du Pacifique, nous a tristement rappelé le fléau des plastiques qui envahissent les océans. En juin 2017, la Marine Conservation Society (MCS) a lancé son « défi du plastique » afin d'alerter l'opinion sur l'urgence de réduire notre consommation et notre dépendance au plastique.
 
Au Royaume-Uni, il existe de grande différence entre les comtés quant aux obligations de recyclage des plastiques. Les recycleurs consciencieux s'alarment des quantités de plastique qu'ils n'arrivent pas à recycler. Par exemple, en Ecosse, les résidents disposent de cinq poubelles pour cyclage et peuvent recycler les brosses à dent et les couvercles de pots de yaourt, alors que dans le Nord du Yorkshire les gens ne peuvent même pas recycler du plastique noir.
 
Selon la MCS, pour relever le défi du plastique, il faudrait arriver à contrôler les quantités de plastique qui sont jetées chaque semaine, en séparant ce qui peut être recyclé du reste. Siobhan McCready, habitante du Nord du Yorkshire horrifiée de constater que tant de plastique s'accumulait en l'espace d'une semaine. « Ma pile de matières plastique recyclables était beaucoup plus haute que ma pile de recyclables et je réalisais que tout ceci allait se retrouver quelque part dans un dépotoir. C'est complètement absurde et triste en même temps. »
 
Ne plus acheter de denrées alimentaires emballé dans du plastique lui a permis de réduire sa consommation de plastique d'environ 25 %. Toutefois, Siobhan dut admettre en contrepartie, ses émissions de CO2 augmentaient. « J’ai été obligée d'aller en voiture dans différents endroits pour ne pas acheter d'articles emballés dans du plastique. Et cela m'a fait perdre pas mal de temps. » 
 
La MCS reconnaît que le défi est ardu et que pour l'instant, son objectif n'est pas de vivre dans un monde totalement débarrassé du plastique. « A l'heure actuelle, ce serait presque impossible », a-t-elle  déclaré. Sa mission est de faire prendre conscience aux consommateurs qu'ils peuvent faire la différence en renonçant à des      produits en plastique comme les bouteilles, les sacs ou les aliments emballés sous plastique. Elle conseille également d'utiliser des pains de savon au lieu de savon liquide en bouteille plastique, des articles de toilette sans plastique et des articles ménagers écologiques réutilisables ; d'acheter en vrac des denrées alimentaires comme le riz, les noix, ou le couscous ; de se faire livrer le lait      à domicile dans des bouteilles de verre ; de mettre les fruits et légumes dans des sacs réutilisables ; de consommer du thé qui n'est pas en sachets car ils contiennent un peu de plastique. 
[Sources : mcsuk.org ; guardian.com]      
 

Himalaya : des stupas de glace
 
Les glaciers de l'Himalaya sont des « réservoirs du ciel » qui produisent en fondant une eau dont toute vie dépend. Dans le Karakorum, situé dans les hauteurs désertiques du Ladakh (Inde du Nord), les eaux de fonte des glaciers viennent gonfler le fleuve Indus et s'ajouter de manière conséquente aux maigres 50 mm d'eau de pluie qui tombent chaque année. Quatre-vingts pour cent de cette eau provient du glacier de Drang-drung dont la taille diminue rapidement et qui n'arrive plus à fournir la quantité d'eau nécessaire pour recharger les réservoirs d'eau.
 
Tsewang Dolma, scientifique écologiste de Clark University, Worcester (Royaume Uni), a étudié les effets du changement climatique sur les communautés des montagnes à Leh, la capitale du Ladakh. Au printemps, au cours de ces mois cruciaux que sont avril et mai, les torrents de la région sont maintenant à sec alors que les fermiers ont un besoin vital d'eau pour leurs cultures nouvellement plantées. « II existe des gens qui littéralement se battent pour de l'eau, a-t-elle déclaré. La situation devient de plus en plus critique. »
 
Sonam Wangchuk, ingénieur local, a mis au point une solution innovante. A la fin de l'hiver, il crée des stupas (suivant la forme des temples bouddhistes) de glace en récupérant l'eau de fonte des glaciers. Ces pyramides de glace fondent graduellement et fournissent de l'eau tout au long du printemps. Ce projet a été piloté par l'institut alternatif Secmol en collaboration avec le monastère de Phyang. « Nous voulions réaliser deux choses, a déclaré S. Wangchuk, montrer comment bâtir un stupa de glace et comment rendre fertile un morceau de désert. Nous voulons créer des vergers et construire des serres pour cultiver des légumes [. . .1. C'est à la fois une activité économique et écologique. »
 
Sous l'action de la gravité, l'eau fondue est acheminée par des tuyaux vers le bas des pentes et monte ainsi en pression. L'eau est ensuite dirigée verticalement vers le haut et vaporisée dans un air glacé à -20° C. L'eau retombe et se cristallise sur les branches épineuses d'argousier qui ont été empilées par des habitants de la région. Chaque nuit, de l'eau vient ajouter de nouvelles précieuses couches de glace sur le stupa.
 
La forme du stupa est cruciale. La surface exposée au soleil doit être la plus réduite possible ; ainsi le stupa peut-il durer jusqu'à quatre mois. Si le même volume de glace était disposé à plat comme dans un glacier, il fondrait en quelques jours. Deux millions de litres d'eau peuvent être ainsi stockés dans des stupas de glace de 30 m de haut posés sur de l'argile étanche, interdisant ainsi à l'eau de s'infiltrer dans les sables du désert. Une fois les tuyaux posés, les stupas peuvent être reconstruits année après année sans aucun coût supplémentaire, avec si possibles des réservoirs pour stocker l'eau.
 
En 1988, S. Wangchuk a fondé Secmol, l'école des montagnes à vocation écologique où il enseigne maintenant à se élèves comment créer des stupas de glace. Il a expliqué : « Les personnes qui seront responsables de ce monde dans les 40 ou 50 an à venir sont maintenant dans les écoles et les collèges. Je voudrais qu'elles s'engagent dans ces voies innovantes, qu'elles soient sensibilisées aux questions environnementales dans ces montagnes afin que la Terre à l'avenir soit entre de bonnes mains. »
[Sources : aljazeera.com ; The Guardian, G.-B]     
 

 
Des vélos qui dépolluent l'air
 
L'artiste néerlandais Daan Roosegaarde a conçu une bicyclette qui contribue à dépolluer l'air ambiant. Les vélos aspirent l'air pollué, un système d'ionisation positive le purifie et l'air recyclé est rejeté dans un nuage autour du cycliste.
 
En décembre 2016, « l’air-pocalypse » a exposé 460 millions de Chinois à un niveau de pollution de l'air six fois supérieur aux préconisations de l'OMS. Les avions sont restés au sol, les écoles ont été fermées, et 24 villes ont été mises en alerte rouge pour pollution extrême.
 
« Les vélos ont toujours été un symbole de respect de l'environnement et de fluidité du trafic routier, explique D. Roosegaarde, mais ces vélos-là ont une double fonction : ils nettoient l'air tandis que vous pédalez. »
D. Roosegaarde a initié son projet en 2013 pour concevoir et fabriquer des prototypes, parmi lesquels une « tour sans smog » qui purifie l'air dans un parc de Tianjin. L'ionisation positive élimine les particules fines de l'air et l'air purifié est relâché par des orifices sur les côtés.
 
« A grande échelle, l'environnement et les innovations urbaines nécessiteront toujours des investissements publics d'envergure, explique D. Roosegaarde. Mais je suis trop impatient pour attendre que les changements se répercutent. Le gouvernement agit du sommet vers la base, les ingénieurs, les universitaires, les ONG du bas vers le haut. Avec un peu de chance, nous nous rencontrerons au milieu. » [Source : theguardian.com]
 

 
Réactions au retrait des États-Unis de l'Accord de Paris
 
De la part des gouvernements
 
Narendra Modi, premier ministre indien a promis d'aller bien au-delà de cet accord : L'Accord de Paris est un bienfait pour toutes les nations du monde, et également pour les générations futures. il traduit notre devoir de protéger la Terre, ainsi que nos ressources naturelles. Pour nous, c'est un article de foi. Nous disposons de ressources naturelles parce que les générations précédentes les ont protégées. Nous devons faire de même pour les générations suivantes.
 
Angela Merkel, chancelière d'Allemagne : Nous rassemblerons toutes nos forces - en Allemagne, en Europe et dans le monde - pour affronter les plus grands défis de l'humanité comme le changement climatique, et pour les maîtriser. A tous ceux qui sont concernés par l'avenir de notre planète, je dis : faisons ce chemin ensemble, afin d'aider avec succès notre Mère la Terre.
 
Emmanuel Macron : Où que nous vivions, qui que nous soyons, nous partageons tous la même responsabilité : rendre sa grandeur à notre planète.
 
Jerry Brown, gouverneur de Californie : Notre président s'est empressé de dire que le changement climatique est un canular, ce qui contredit exactement l'opinion de presque tous les scientifiques, et celle du monde entier. Je ne crois pas que combattre la réalité soit une bonne stratégie pour qui que ce soit. Si le président se décharge d'une entreprise humaine aussi cruciale, la Californie et d'autres États prendront sa place.
L'avenir du monde repose sur ses ressources renouvelables. Le président a choisi la direction opposée. C'est une tragédie, mais je crois que pour lui faire face, l'Amérique et le reste du monde vont se mobiliser, que nos efforts en seront galvanisés au point que D. Trump pourrait bien obtenir l'exact opposé de ce qu'il souhaitait.
 
Bernie Sanders, sénateur du Vermont : La décision du président Trump de retirer les Etats-Unis de l'Accord de Paris signifie l'abdication de l'hégémonie américaine autant qu'une disgrâce internationale. Au moment même où le changement climatique occasionne déjà des dégâts dévastateurs dans le monde entier, nous n'avons pas le droit de renoncer à nous mobiliser afin de préserver 1 planète pour les générations futures.
Les Etats-Unis ont le devoir de jouer un rôle de premier plan dans la campagne mondiale pour mettre un terme au changement climatique et pour remplacer rapidement les combustibles fossiles par des sources d'énergie renouvelables et plus performantes, avec ou sans le soutien de D. Trump et des industries fossiles.
 
De la part des écologistes
 
Michael Bloomberg, ancien maire de New York et représentant d l'Onu pour le changement climatique : Il n'est pas vrai que les Américains ont quitté l'Accord de Paris sur le climat. C'est même tout le contraire : nous allons de l'avant. Des gouverneurs et des entrepreneurs des deux partis politiques sont en train de signer une déclaration de soutien à cet accord, que nous soumettrons à l'Onu et, ensemble, nous honorerons les engagements que les États-Unis ont signés à Paris en 2015.
Les Américains honoreront ces engagements en partant de la base - et Washington n'aura aucun moyen de nous en empêcher.
Al Gore, écologiste et ancien vice-président des Etats-Unis : Retirer les Etats-Unis des Accords de Paris est un acte irréfléchi et indéfendable qui sape le prestige de l'Amérique dans le monde et risque de miner la capacité de l'humanité à résoudre à temps la crise climatique. Mais ne vous y trompez pas : si D. Trump abandonne, le peuple américain reprendra le flambeau.
 
Bill McKibben, auteur écologiste et fondateur de 350.org : Not résisterons. Puisque le gouvernement fédéral renie ses engagements nous doublerons les nôtres. Déjà des grandes villes et des États s 'engagent à atteindre 100 % d'énergies renouvelables. Atlanta a été la dernière à s'engager. Nous ferons en sorte que tous les dirigeants qui hésitent et utilisent la langue de bois au sujet du climat soient considérés comme des jumeaux de Donald Trump, et que ce nom entre dans l'histoire auréolé du mépris qu'il mérite. Pas seulement pour n'avoir pas pris au sérieux le changement climatique, mais aussi pour n'avoir pas pris la civilisation au sérieux.
 
Naomi Klein, auteur écologiste : La menace est si grave qu'il est immoral de gaspiller ne fût-ce qu'un instant à soupeser nos chances succès. Tant qu'il nous reste une chance de maintenir la température sous des niveaux vraiment catastrophiques, nous avons l'obligation absolue de faire tout ce qui est en notre pouvoir pour la saisir.
Et cela implique d'utiliser tous les moyens possibles, écologiques et judiciaires, pour réduire ces émissions. Depuis que D. Trump a fait transformé le gouvernement fédéral en filiale d'ExxonMobil chacun des secteurs qu'il ne contrôle pas doit s'engager sans réserve à devenir le pire cauchemar d'ExxonMobil.
 
Mark Hertsgaard, journaliste et auteur écologiste : Le retrait D. Trump n'empêchera pas k reste du monde de continuer sa progression vers un avenir dépendant exclusivement d'énergies propres. Les batteries, les technologies solaires éoliennes, et autres, connaissent une croissance extrêmement rapide, très bénéfique pour les investisseurs et pour l'emploi - bien davantage que les carburants du passé.
 

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Dossier spécial
L'Art de Benjamin Creme  
 
La revue Partage international présente dans le numéro de juillet-août 2017, un dossier spécial sur l'Art de Benjamin Creme. Ce dossier comprends 6 articles décrivant la carrière de peintre de Benjamin Creme. Ces articles incluent de nombreuses photographie en couleurs de peintures créées par M. Creme.
 
Voici le titre et les auteurs de ces articles :
 
Les peintures de jeunesse de Benjamin Creme par Jane England
Benjamin Creme : un art ésotérique avancé par Phyllis Power
Abstraction et unité dans l'art de Benjamin Creme par  Marc Gregory
Ratisser les cieux en quête de beauté - et servir par Felicity Eliot
Le musée Benjamin Creme : deux ans d'expérience par Olga et Scott Champion
Vivre et travailler hors du temps par Gill Fry
 

 
Questions - réponses dans la revue Partage international de juillet-août 2017
 
Benjamin Creme ne s’est jamais posé en juge de l’authenticité des activités et communications des autres groupes. Partage international continuera de suivre cette politique.
 
À chacune de ses conférences de par le monde, et pratiquement chaque jour de sa vie, Benjamin Creme répondait à de nombreuses questions sur un très grand nombre de sujets. Nous puiserons dans cette importante réserve et publierons dans cette rubrique les réponses de B. Creme et de son Maître encore inédites.
 
Q. Pourriez-vous expliquer ce qui se passe en politique à l'heure actuelle ?
R. Il y a une montée du fascisme dans de nombreux pays. Elle est due à l'effondrement des pratiques du passé, et aux succès des nouvelles voies. La situation ne va pas tarder à s'améliorer. La tempête est presque terminée. D'après mon Maître, elle perd en intensité, même si nous ne nous en apercevons pas encore.
 
Q. Les Maîtres sont-ils surpris par le niveau du conflit actuel?
R. Mon Maître dit que l'on s'attendait à une bataille, mais pas avec cette barbarie. Il ajoute que le conflit ne durera pas très longtemps, mais qu'il doit aller à son terme si nous voulons retrouver la paix : « Le chaos doit suivre son cours, mais un nouveau monde ne tardera pas à apparaître. »
 
Q. D'autres facteurs doivent-ils être pris en compte ?
R. La surpopulation est un problème brûlant. Le monde n'est pas assez grand pour la population mondiale actuelle, qui croît très rapidement. Il y a un combat pour la suprématie sur les territoires. Le passage d'un état cosmique à un autre se fait presque toujours dans le chaos. Beaucoup de gens sont encore attachés aux voies du passé. Le bouleversement est le résultat de l'abandon d'un ancien ordre mondial au profit d'un nouveau. Mon Maître dit : « Nombre de gens sont trop angoissés ou trop peu conscients pour se rendre compte du besoin d'une nouvelle façon d'agir et d'être. » Ils ne s'aperçoivent pas non plus que le niveau des difficultés actuelles est en train de baisser d'intensité.
 
Q. Les énergies de Shambaila sont-elles devenues plus puissantes - particulièrement au cours des deux dernières années ? Est-ce là la cause du grand nombre de tensions et de conflits ?
R. Oui, c'est vrai, elles sont plus puissantes. Mais aussi, les gens riches sont devenus indépendants et très avides. Ils ont peur de ne pas pouvoir profiter de tout. Ils ont peur de perdre leurs richesses. [Les réponses aux quatre questions ci-dessus ont été données en juillet 2016.]
 
Q. Maitreya est-il Dieu ?
R. Maitreya est omniscient et omniprésent. Rien ne se produit où que ce soit sans qu'il soit au courant. Il est dit dans la Bible que lorsque la moindre feuille tombe au sol, Dieu le sait. Maitreya n'est pas Dieu - à ceci près que nous sommes tous Dieu - mais il est beaucoup plus conscient de la nature de cette divinité que nous ne le sommes. C'est là la différence entre nous, mais ce n'est qu'une différence de circonstances et d'opportunité. Il est au travail depuis beaucoup plus longtemps que nous - littéralement des millions d'années - et il n'a jamais fait la moindre erreur. C'est pourquoi il réussit à faire ce dont nous nous pensons incapables. Mais nous sommes divins : Maitreya dit que tout le monde sur Terre est divin, que l'on a besoin de tous et de chacun, que chaque personne compte. Donc il vient pour enseigner simplement l'art de vivre à l'humanité, en exprimant l'intérieur à l'extérieur, au lieu de vivre mécaniquement en fonction de l'extérieur, en suivant les gouvernements qui suivent des choses fallacieuses comme le marché. Selon Maitreya, le marché est aveugle, et les politiciens sont des aveugles qui suivent les marchés aveugles. Il dit qu'ils nous conduiront au bord du précipice. Il vient pour veiller à ce que nous ne tombions pas dans le précipice.
 
Q. Maitreya dispose-t-il d'assez d'individus pour que ses idées l'emportent?
R. Au Jour de Déclaration, Maitreya appellera la totalité de l'humanité à répondre. Tout le monde ne répondra pas. Des millions de gens seront contre lui, il le sait déjà. Il n'est pas question de compter chaque individu et de lui demander son avis, il faut atteindre une masse critique. Quand ce seuil est atteint, tout se met en marche, et il y a un effet boule de neige. Certains resteront sur le côté pour voir ce que les autres feront. D'autres comprendront immédiatement, accepteront avec joie et essaieront de faire ce que Maitreya dira. D'autres refuseront absolument et diront : « Débarrassons-nous de cet homme », en le traitant d'antéchrist, voire pire, et seront prêts à tout pour se débarrasser de lui. Mais cela ne se reproduira pas. Ils ont déjà essayé et se sont débarrassés de Jésus, par l'entremise duquel Maitreya a agi il y a 2 000 ans, mais c'était le passé. C'est un monde totalement différent que celui d'aujourd'hui, avec une humanité instruite, et des milliers de disciples supplémentaires à différents niveaux dans le monde, qui travaillent avec lui, et par l'entremise desquels il travaille.
 
Au Jour de Déclaration, c'est en frère aîné que Maitreya parlera au monde. Il nous expliquera que nous sommes dans le monde depuis bien, bien longtemps. Il nous montrera que nous sommes tombés bien, bien bas dans le matérialisme vulgaire d'aujourd'hui, et il nous donnera une vision du monde à venir, de la civilisation qu'il nous incombe de créer, il nous montrera tout cela. Personne n'aura jamais vu pareille chose auparavant. Son énergie, appelée principe christique, s'écoulera avec une puissance inouïe à travers le cœur de tous les hommes. Les gens redeviendront des petits enfants et diront « Dites-nous ce que nous devons faire. Nous sommes prêts. Nous savons que c'est la vérité. Nous savons que c'est la voie de l'avenir pour l'humanité. » Et ils se sentiront honorés de découvrir leur vraie divinité intérieure, et de la voir même à leur niveau moins élevé, un peu comme des enfants, après toutes ces années de dureté et de déni de leur divinité.
C'est ainsi que le monde se retrouvera, et, une fois les plans établis, les disciples entraînés se feront connaître et montreront à l'humanité ce que nous devrons faire. Cela aura lieu partout dans le monde. Des hommes et des femmes formés dans tous les domaines de la vie, qui, pendant des années ont été préparés par les Maîtres pour nous indiquer la voie de l'avenir, appelleront tous les humains, hommes, femmes, enfants, à participer à cette création. Ainsi en sera-t-il. 
 
Partage international 30e année • n° 347 • juillet-août 2017, page 39

 
 
La méditation de Transmission
 
En réponse à l'appel de leur âme, beaucoup de gens ressentent le besoin de se mettre au service du monde. Pour ce faire, la médita­tion de transmission est une méthode simple et efficace. Elle pro­duit des résultats remarquables pour la planète et stimule l'évolu­tion personnelle de ceux qui la pratiquent. La méditation de trans­mission est un moyen de servir le inonde.
 
 
Les Maîtres ont à leur disposition d'immenses énergies spiri­tuelles. Une grande partie de leur travail consiste à répartir ces énergies à travers le monde afin de mettre en œuvre le plan d'évo­lution de cette planète. Les groupes de méditation de transmis­sion agissent comme des « transformateurs » d'énergies.
 
Il existe plusieurs centaines de groupes de transmission à travers le monde, dont les membres se réunissent régulièrement.
 
Pays

    
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« Chers lecteurs,
Alors que nous nous apprêtions à fêter le trente-cinquième anniversaire de notre revue Share International (Partage international en français) son fondateur vient de nous quitter. Pendant plus de quarante ans, Benjamin Creme a servi sans relâche son Maître et Maitreya, le monde, ainsi que le groupe de co-workers qui l'a accompagné dans sa mission. Fidèle à sa vocation hier comme aujourd'hui, notre publication n'a cessé de prodiguer espoir, inspiration et in­formations, grâce à la vision et à la sagesse infinies auxquel­les nous a permis d'accéder le contact intime et permanent que Benjamin Creme entretenait avec son Maître.
    Notre reconnaissance va aux divers collaborateurs, passés et présents, qui ont travaillé pour la revue. Qu'il nous soit permis de remercier ici pour leur contribution fondamentale tous ceux qui ont si fermement fixé le cap de notre publica­tion dès son lancement et assuré ainsi la continuité de sa pa­rution.
Notre détermination reste sans faille. En vérité, la situa­tion nouvelle qui est la nôtre nous a donné l'occasion d'éva­luer le travail accompli, ce qui nous incite aujourd'hui à re­doubler d'efforts. Benjamin Creme est mort conscient d'avoir laissé le travail entre les mains de tous ceux qui, pendant tou­tes ces années, ont œuvré à ses côtés.
     Benjamin Creme est parti en paix, certain d'avoir fait tout ce qui était en son pouvoir pour remplir sa mission d' « am­bassadeur itinérant » de Maitreya. L'œuvre de sa vie étant achevée, il nous a quittés conscient que l'Émergence com­plète de Maitreya était imminente, et que, en conséquence, il pouvait compter sur nous pour continuer sans lui. Il savait également que même s'il ne lui était pas donné de voir le Jour de Déclaration sur le plan physique, il serait néanmoins « dans les parages », pour reprendre son expression, pour la vivre sur un autre plan.
     L'émergence de Maitreya, l'Instructeur mondial, et des Maîtres a déjà eu lieu : ils sont dans le monde depuis des décennies - depuis 1977. Maitreya, pour l'instant encore incognito, est déjà apparu à des millions de personnes à la télévision et sur internet. Nous attendons maintenant qu'il émerge en pleine lumière et annonce publiquement le rôle qui est le sien. Selon les informations que nous tenons de Benjamin Creme et de son Maître, ce moment n'est plus très loin.
     Le Maître de M. Creme a déjà indiqué que la revue continuerait de bénéficier de son soutien et que, dans l'avenir, elle jouerait un rôle dans l'éducation du public. Forts de cette assurance, nous ne pouvons que réitérer notre engagement dans le travail de diffusion du message d'espoir auquel Benjamin Creme a consacré sa vie extraordinaire.
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