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                         Partage International Canada
 
ÉMERGENCE
 

 
Infolettre de mai 2020   
      

 

Maitreya, tel qu'il est apparu, à Nairobi, en 1988


 


Invitation à visionner des vidéos sur  YouTube ! 

Chaîne Partage International Canada 

Conférences de Benjamin Creme et du Réseau sur la méditation de Transmission et la présence des Maîtres et de Maitreya, l'Instructeur mondial 

 


 Radio Internet 

Radio Partage présente des Émissions consacrées à l'émergence de Maitreya et des Maîtres de Sagesse  

 
Un message d'espoir pour   l'humanité -
Benjamin Creme
avec sous-titres en français  
    
« La paix et la justice commencent à occuper une place centrale dans l'esprit des multitudes. Quand les hommes se rendront compte que seul le partage peut donner corps à ces précieux concepts, ils se lanceront dans une transformation de la société qui dépasse tout ce qu'on a pu imaginer jusqu'à présent. Étape par étape, les changements seront adoptés et implantés à grande échelle. Le douloureux sentiment de vide qui prévaut aujourd'hui cédera la place à un nouvel espoir les hommes auront la satisfaction de savoir le monde enfin sur la bonne voie, et de nou­velles expériences pourront ainsi être menées en toute sécurité.
Ainsi disparaîtra la peur du changement. Les transformations de grande envergure se succéde­ront rapidement à mesure que les hommes prendront conscience de la beauté des formes nou­velles. Peu à peu les vieilles attitudes séparatistes seront perçues comme des erreurs du passé et disparaîtront, inutiles dans la nouvelle unité.
     Les paroles et l'exemple de Maitreya stimuleront la perception de cette unité qui manifestera de plus en plus les énergies du Verseau, et réunira les hommes en une synthèse aujourd'hui ignorée. »        
         
Le Héraut du renouveau, Partage international, décembre 2011.
 

Méditations lors des Les Fêtes du printemps
La Fête du Christ au Québec
 
Compte tenu des circonstances, cette année elles s'effectueront à distance dans de nombreux pays.
 
La méditation de transmission lors de la Fête du Christ, se tiendra le samedi 6 juin de 10 à 14 heure. Nous vous invitons à méditer avec nous en esprit, dans votre domicile, durant cette période.
 
Bénédiction de Maitreya lors des fêtes du printemps
 
Comme chaque année, Maitreya donnera une bénédiction d'une heure, lors des fêtes du printemps, le dimanche 7 juin 2020 à 15 heure (heure de l'endroit où vous vous trou­vez).
 
 
Cette infolettre mensuelle contient de nombreux extraits de cette revue. Nous espérons que ces lectures vous inciteront à vous abonner. 
Partage international est la version française de Share International, revue mensuelle de langue anglaise (bimestrielle en janv./fév. et juil./août), publiée par la fondation Share International.
 
Le travail de création de la revue est effectué par des bénévoles.
Nous rappelons que Partage international est entière­ment financée par ses lecteurs. Elle ne contient aucune annonce publicitaire.

Abonnement à Partage International ou Share International (revue originale en anglais) : bulletin d'abonnement
 
 

 
 Ce mois de mai dans la revue Partage International
 
Les co-workers de Partage international partagent la tristesse et les difficultés de l'ensemble du monde alors que nous traversons, tous ensemble, une  terrible période pour bien des gens et pour notre précieuse planète. L'humanité apprend, quoique douloureusement, que nous sommes un, interdépendants et vulnérables, ainsi que tous nos systèmes.
 
 
  Ce mois de mai dans la revue Partage International  (suite) 
 
     Nous devons créer un monde très différent, fondé sur notre humanité commune et notre devoir de prendre soin de toute vie. Les temps sont durs, des millions de personnes souffrent et, face à nos difficultés communes, ce numéro examine les problèmes offre un certain espoir et des idées positives, pour expliquer et remédier à la situation désastreuse à laquelle 1’humanité est actuellement confrontée.
    
     Il est désormais clair que le monde ne pourra plus jamais revenir au « business as usual ». Mais les banques centrales, les marchés boursiers, les conglomérats multinatio­naux surdimensionnés et les intérêts particuliers acceptent-ils cette réalité ? Alors que les systèmes mondiaux sont au bord de l'effondrement, les gouvernements et les « hommes d'argent » planifient déjà des moyens de consolider les structures qui ont conduit à la division, à l'injustice sociale et au malaise actuel. Dans ces pages, nous nous faisons l'écho des appels à une transformation mondiale, comme par exemple la demande croissante d'un revenu de base universel tandis que le Maître de Benjamin Creme indique la solution évidente « Le principe du partage est le seul susceptible de répondre aux besoins de l'homme et de résoudre ses nombreux problèmes, car il est au coeur même du Plan de Dieu. »    
    
     Et dans son message no 101, Maitreya pointait l'origine du problème et sa solution : «  Le monde implore la justice. La véritable raison des problèmes de l'homme est l'absence de justice et d'amour. Si ces aspects divins étaient en vigueur demain, une nouve­lle douceur colorerait vos vies […]. C'est simplement le manque d'amour qui est la racine des souffrances de l'homme aujourd'hui. Rien d'autre ne l‘empêche de manifester son divin potentiel »
     
     Beaucoup considèrent cette crise comme une opportunité. Des voix respectées et familières, dont nous aurions aimé qu'elles soient incluses dans ce numéro, appellent à un « changement radical ». Pour citer. l'auteur Jeremy Lent, nous devrions voir plus grand : Quoi que vous pensiez des impacts à long terme de 1’épidémie de coronavirus vous ne pensez probablement pas assez grand. » Le pape François a parlé de la « contagion de l'espoir » « Maintenant plus que jamais les personnes, les communautés et les peuples doivent être mis au centre, unis pour guérir, pour prendre soin et pour partager […]. Notre civilisation si compétitive si individualiste, avec ses rythmes frénétiques de production et de consommation, ses luxes extravagants, ses profits disproportionnés pour quelques-uns seulement a besoin de ralentir, de faire le point et de se renouveler. »
    
     Nos correspondants ce mois-ci soulignent les opportunités que la crise du coronavirus apporte avec elle, en observant la résilience et la gentillesse innée qui fleurissent dans la morosité. Dans la compilation de ce mois-ci, le Maître de Benjamin Creme nous met tous au défi,  mais nous donne la réponse, lorsqu'il pose la question : « Comment peut-il exister deux mondes alors que le monde est Un.? Comment la division peut-elle régner alors que la loi est la même pour tous? Bientôt, les hommes comprendront que la souffrance du grand nombre est la maladie de tous, et que seule la justice apportera la guérison. »
 

ACTIVITÉS À VENIR AU QUÉBEC EN 2020 
Pour des informations complémentaires :
 
Compte tenu des circonstance, les activités prévues dans les salons sont annulées.
Si certaines de ces activités sont réorganisées durant l'automne, nous vous en aviserons.
 

AGENDA 2018 - 2020 POUR L'EUROPE
AGENDA DES ACTIVITÉS PROPOSÉES PAR DES GROUPES DE MÉDITATION DE TRANSMISSION
Conférences, salons et programmes de radio POUR LA FRANCE, LA BELGIQUE ET LA SUISSE
POUR INFORMER DE L'ÉMERGENCE DE MAITREYA ET DES MAÎTRES DE SAGESSE

 
L'article du Maître
 
Depuis le lancement de la revue Partage international, le Maître de Benjamin Creme a fourni de nombreux articles sur quantité de sujets. Les Maîtres de Sagesse écrivent de manière toujours pertinente et intemporelle, et nombre de ces articles semblent aussi actuels que lorsqu'ils ont été publiés initialement. L'article ci-dessous, bien qu'écrit en 1987, nous touche au coeur compte tenu de la crise mondiale actuelle, tout comme le message n' 101. Leurs conseils sont simples et sans complaisance.
 
PlAIDOYER POUR LE PARTAGE
par le Maître -, par l'entremise de Benjamin Creme.
 
LE MOMENT VIENDRA BIENTÔT où l'humanité devra prendre une décision majeure. Déchirée comme elle l'est par les divisions et clivages qui l'assaillent de toutes parts, il lui faudra trouver une manière nouvelle d'aborder ses nombreux problèmes. Faute de quoi son avenir s'annonce­rait sous de sombres auspices.
    
     D'un point de vue historique, la situation actuelle sur la Terre est sans précédent. Jamais auparavant autant d'âmes n'ont cohabité sur la planète. Rarement les divisions entre les groupes ont été si cruelles et si profondes. Jamais aupara­vant l'homme n'a disposé de forces de destruction si considérables, au point de pouvoir anéantir la vie dans tous les règnes. Face à une menace de cette ampleur, l'homme doit faire le point de la situation et concevoir de nouvelles façons d'agir.
    
     De toutes les voies possibles, il est une qu'il n'a encore jamais empruntée - une voie simple qui au fil de son histoire lui a toujours échappé. Le principe du partage est le seul susceptible de répondre aux besoins de l'homme et de résoudre ses nombreux problèmes, car il est au coeur même du Plan de Dieu. Par l'absence de partage, l'homme renie sa divinité et se prépare un avenir chargé de tous les maux. Sans le partage règne un chaos contre nature qui interdit à l'homme la justice qui lui revient de droit. Seul le partage fournit à l'homme l'opportunité de mettre en oeuvre le Plan divin de fraternité, et d'extirper à jamais du monde le péché de la séparation. Comment, sans partage, l'homme pourrait-il poursuivre sa route ? Com­ment, sans partage, pourrait-il espérer survivre ?
    
     Si grands sont les dangers inhérents au désé­quilibre actuel entre les nations qu'il ne peut s'en remettre à la chance pour se tirer d'affaire. Une maladie mortelle - la séparativité et la cupidité - fait rage sur la terre et nécessite des mesures dra­coniennes pour en assurer la guérison. Malgré le chaos ambiant, un traitement simple est à portée de main. Les épreuves endurées de longue date par l'humanité touchent à leur fin.
   
     Mobilisée contre les forces qui tiennent encore l'homme en esclavage, la Hiérarchie de Lumière, réunie sous la bannière de la Vérité, revient sur ses pas. Maitreya commence sa mis­sion en lançant un appel au partage. Il connaît le coeur des hommes et il est certain de leur choix, certain qu'ils sont prêts à réaliser les change­ments nécessaires.
    
     « L'homme doit partager ou mourir », a-t-il déclaré, sachant bien que les hommes choisiront de partager et de vivre pour créer avec lui un avenir meilleur. Jusqu'à présent, tous les efforts visant à résoudre les problèmes du monde ont été consa­crés à la préservation des structures existantes, si injustes qu'elles se soient révélées. Les clivages qu'on observe de toutes parts exigent d'être résolus par l'application de la Loi de justice.
    
     Nombreux sont ceux qui aujourd'hui sont saisis par la peur face aux querelles de leurs diri­geants ; nous sommes pourtant proches du mo­ment où ils laisseront ces dirigeants loin derrière eux. L'homme s'éveille à l'appel de la liberté et a seulement besoin d'un vrai leadership pour résou­dre les problèmes du monde.
    
     Maitreya est venu pour montrer la voie et conduire les hommes vers la fraternité et la jus­tice. Une ère nouvelle s'ouvre sous sa sage direc­tion, dans laquelle la vraie divinité de l'homme se manifestera par la mise en oeuvre du partage et de la coopération, réalisant ainsi le Plan de Dieu.

 
LE MOMENT EST VENU DE METTRE EN PLACE LE REVENU DE BASE UNIVERSEL
par Elisa Graf
 
Qui aurait pu prédire en janvier que, d'ici mars, ce serait la fin du monde tel que nous le connaissions ? Avec l'arrivée de la pandémie de coronavirus, la vie quotidienne s'est arrêtée dans presque tous les coins du monde. Sur tous les conti­nents, les gens restent chez eux, potentiellement pendant de longues périodes, car la moitié de la population mondiale se conforme aux exigences de quarantaine et d'auto-isolement nécessaires pour stopper la propagation du virus, ce qui en­traîne des conséquences financières désastreuses pour les sa­lariés, ainsi que pour les millions de travailleurs indépen­dants. Tous les aspects de la vie moderne reflètent l'incerti­tude et les experts financiers ont suggéré que le ralentisse­ment économique mondial pourrait être profond et long.
 
     En décrivant le problème actuel dans un article du Guar­dian, Karl Widerquist, professeur associé de philosophie à l'université de Georgetown, au Qatar, déclare : « La récession induit un effet multiplicateur; lorsque les gens perdent leur emploi et que les entreprises se contractent, ils dépensent moins. D'autres per­sonnes perdent alors leur emploi ou voient l'activité de leur entreprise se réduire, et cet effet multiplicateur se poursuit. L'économie se con­tracte, les revenus diminuent et l'argent disparaît de la circulation. »
 
     Avec la hausse du chômage, les fluctuations des marchés boursiers et des industries entières au bord de l'effondrement, les gouvernements sont rapidement intervenus pour arrêter l'hémorragie, mais les stratégies habituelles employées pour stimuler les dépenses de consommation et l'économie ne fonc­tionneront pas cette fois-ci. Daniel Susskind, auteur de A World Without Work (Le monde sans travail), explique dans le Financial Times : « Les diminutions des taux d'intérêt n'aident pas les travailleurs indépendants qui sont confrontés à la disparition de leurs revenus et à l'absence d'indemnité de maladie. Les mesures de stabilité financière ne renflouent pas le grand nombre de restaurants, théâtres, cafés, pubs et magasins qui continueront à voir leur fréquen­tation s'effondrer dans les semaines à venir. Les gros investissements dans les infrastructures ne soutiennent pas les petites entreprises - qui représentent 99 % de toutes les entreprises du Royaume-Uni -parce que leurs réserves de trésorerie ne sont pas assez grandes pour survivre aux perturbations des prochains mois. »
 
     À la mi-mars, la Réserve fédérale américaine a annoncé qu'elle augmenterait considérablement les liquidités en injec­tant jusqu'à 1 500 milliards de dollars dans l'économie grâce à une série d'achats d'actifs sans précédent. Dans ce cas, les gouvernements créent des milliards de dollars de monnaie à partir de rien, pour mettre plus d'argent en circulation, sou­vent en rachetant leur propre dette, dans l'espoir de stimuler la demande. Mais, selon K. Widerquist, cet argent « ... va sur­tout aux personnes qui sont déjà riches, et elles ont très peu d'inté­rêt à investir alors que tous les autres perdent leurs revenus. »
     Le temps est venu d'adopter une nouvelle stratégie. Le Pr Widerquist explique : « Un revenu de base universel (RBU) d'ur­gence semble être le meilleur stimulus économique à l'heure ac­tuelle, car il permet de mettre de l'argent entre les mains de chacun. Le revenu de personne ne tomberait à zéro en raison des licencie­ments liés à la chute des bourses ou des précautions à prendre face au coronavirus. Ce revenu aiderait les gens à maintenir une partie de leurs dépenses, ce qui permettrait d'éviter que d'autres ne perdent leur emploi à cause de l'effet multiplicateur. »
 
     Suite aux études qu'il a effectuées ces vingt dernières années sur le RBU, K. Widerquist explique qu'il y a générale­ment deux arguments principaux qui s'opposent au concept d'abord, il y a l'idée que tout le monde devrait travailler, et ensuite que ce serait trop cher à mettre en oeuvre. Cependant, il soutient que ces arguments, débattus depuis des décennies, s'appliquent en temps normal mais dans la situation d'urgence actuelle, « la plupart des économistes s'accorderont à dire que l'économie a besoin d'injections de liquidités dès maintenant ».
 
     Daniel Susskind note que le revenu de base universel « émerge comme l'une des rares propositions qui peut faire l'unani­mité au niveau politique, avec des gens aux antipodes qui se retrou­vent d'accord ». Selon lui, ses partisans l'ont souvent considéré comme une réponse nécessaire à la menace imminente de l'automatisation, un moyen de soutenir les travailleurs qui pourraient un jour se retrouver sans emploi et sans revenu. Mais, explique-t-il, dans ses propres travaux sur l'impact de la technologie sur le marché du travail, « j'ai eu tendance à con­sidérer le RBU comme une réponse imparfaite à un défi auquel nous ne sommes pas encore confrontés. […] L'arrivée des coronavirus a changé mon attitude. Les robots n'ont peut-être pas encore pris tous les emplois, mais la pandémie décime la demande sur laquelle repo­sent ces emplois. » Il cite Andrew Yang, le candidat démocrate à la présidence des Etats-Unis, dont le programme de campagne était basé sur la promesse d'un RBU.
      
     Il est en effet ironique qu'un mois juste après la fin de la campagne de A. Yang, le gouvernement américain approuve l'envoi d'un paiement unique de 1 200 dollars à chaque Américain (sous condition de ressources), dans le cadre d'un plan de relance de 2 000 milliards de dollars. A. Yang fait remar­quer que, bien qu'il n'aurait jamais souhaité que le revenu de base soit catalysé par ce genre de crise, il pense que cette vaste expérience assimilable au RBU va « complètement dé­mentir l'idée que l'argent peut tout faire sauf nous rendre plus forts, en meilleure santé, plus sains mentalement, plus productifs et plus confiants envers nos concitoyens et notre gouvernement ».
 
     À ce jour, aucun gouvernement n'a encore officiellement lancé le RBU, même si certaines des mesures adoptées pré­voient des paiements directs en espèces aux citoyens concer­nés. Aux Etats-Unis, le sénateur Bernie Sanders fait pression pour que chaque citoyen reçoive un paiement mensuel de 2 000 dollars le temps de la crise épidémique, affirmant que payer les travailleurs sera finalement moins coûteux que l'ef­fondrement économique. L'Espagne, durement touchée par le coronavirus, vient d'annoncer qu'elle travaille à la mise en place d'un système de primes à la consommation dès que possible. La ministre espagnole de l'économie, Nadia Calvifio, a déclaré que cette initiative visait à aider les familles pendant la pandémie, mais que l'objectif du gouvernement était que le RBU « reste pour toujours et devienne un instrument structurel, un instrument permanent ». Si le plan était mis en oeuvre, l'Espagne deviendrait le premier pays au monde à lancer le RBU à l'échelle nationale sur le long terme.
 
     Guy Standing, professeur à la School of Oriental and African Studies de l'Université de Londres, et co-fondateur du Basic Income Earth Network, espère qu'avec le RBU qui libère les gens de l'insécurité économique, plus de temps pourra être consacré au travail communautaire, aux arts aux loisirs productifs. Il suggère que si de nombreux gouvernements peuvent adopter le RBU comme une mesure d'urgence temporaire, cette politique perdurera une fois que les citoyens en verront les nombreux avantages, en prédisant que « le RBU deviendra très rapidement un pilier de notre société ».
[ Source : forward.com]
 

 
LA PROCHAINE VAGUE DU TSUNAMI
par Luc Guillory
 
« Quoi qu'il en coûte ». Tel est le nouveau mantram claironné par les principales banques centrales du monde dans leur ten­tative de sauver les marchés financiers. La paternité de cette expression revient à Mario Draghi, en 2012, alors qu'il était le président de la Banque centrale européenne (BCE). À la suite du krach financier de 2008, l'euro a connu une crise sans précédent. M. Draghi a alors lancé un train de mesures ad hoc, dont un programme d'achats illimités de dettes souve­raines au sein de la zone euro, car il était bien déterminé à sauver l'euro « quoi qu'il en coûte ».
 
Le Covid-19 et les banques centrales
     Au début de la crise du Covid-19, nombre de gouverne­ments ont annoncé que cette crise allait coûter « quelques points de PIB » à l'économie mondiale. Mais il est rapidement devenu évident que le monde allait connaître une récession économique sévère. Les marchés financiers ont commencé à chuter. Par exemple, l'indice CAC 40 de la Bourse de Paris avait perdu 37 % au 22 mars 2020 par rapport à son pic at­teint le 19 février 2020. L'indice Dow Jones à Wall Street a connu une dégringolade similaire. Une même vague de pani­que s'est emparée de toutes les places financières du monde.
 
     Jusqu'alors, les grandes banques centrales étaient restées plutôt silencieuses. Mais la BCE, la Réserve fédérale améri­caine (Fed), la Banque du Japon et d'autres encore ont sou­dain cédé à l'affolement et ont annoncé des mesures fortes, comportant notamment leur arme monétaire favorite, quoi­que non orthodoxe, dite de « l'assouplissement quantitatif».
 
    La BCE a annoncé un programme d'achats de dettes souve­raines et autres obligations pour un montant de 750 milliards d'euros. Tandis que la Fed décrétait de son côté un « programme illimité d'assouplissement quantitatif », et se disait prête à racheter des bons du Trésor, des prêts hypothécaires, des obligations municipales, des prêts à court terme - quasiment tout, en quel­que sorte. Fournir aux banques un accès illimité aux liquidités est devenu la priorité absolue des banques centrales d'Améri­que du Nord, d'Europe, du Royaume-Uni, du Japon, de l'Aus­tralie, et qui sait de quels autres pays encore...
 
     Au même moment, les hôpitaux et le personnel médical des pays aux économies dites « avancées» en étaient réduits à quémander des équipements de protection et des respirateurs dont ils avaient désespérément besoin. La pénurie de ces équipements a exposé ces personnels médicaux à un danger extrême et s'est traduite par la mort tragique de médecins et d'infirmières.
 
     De surcroît, l'engorgement dans les services de soins intensifs des hôpitaux a littéralement contraint certains médecins à devoir choisir parmi les patients sévèrement at­teints du Covid-19 qui survivrait et qui ne survivrait pas.
     Vingt-cinq années d'austérité des budgets sociaux ont ainsi révélé le déficit de capacité des hôpitaux, le manque de per­sonnels qualifiés, d'équipements et même de nourriture, de tout ce qui devient une nécessité absolue dans le cas d'une telle pandémie. Plusieurs épidémies, comme celle de la fiè­vre Ébola, le SRAS, le H1N1 ou d'autres, avaient sévi à une échelle moindre, mais elles n'avaient pas semblé justifier des investissements adéquats dans les systèmes de santé.
 
     La réalité brute est que les forces du marché, et les marchés financiers en particulier, ont imposé aux gouvernements des restrictions dans les budgets de la Santé car ils considèrent ces dépenses comme des « coûts sociaux » et non des « actifs sociaux ». La perception qu'en ont les gens ordinaires est certainement très différente et la crise actuelle du Covid-19 va éveiller nom­bre de nos concitoyens du monde à leur droit à un système de santé décent et correctement équipé. Si une banque centrale peut créer des milliards d'euros ou de dollars à partir de rien afin de racheter des obligations, des actions ou des dettes, dans le seul but de maintenir à flot des marchés financiers qui péri­clitent, elle peut sans aucun doute créer de l'argent pour la santé ainsi que d'autres besoins vitaux des populations.
 
     Le monde financier ne représente pas une sorte de « pou­voir feutré », il constitue la force dominatrice qui recourt au système économique néolibéral pour imposer aux popula­tions du monde un système féodal prédateur. Citant le Wall Street Journal dans son tout dernier livre, la célèbre activiste indienne Vandana Shiva affirme que « les 1 % les plus riches ont accaparé depuis 2008 95 % de la croissance économique mondiale ».
 
     En 2019, la Cnuced (Conférence des Nations unies pour le Commerce et le Développement, organisme de l'Onu) a publié un rapport intitulé Un nouveau multilatéralisme pour un prospérité partagée, dans lequel elle fournit des chiffres compa­ratifs sur l'évolution du PIB mondial et de l'industrie de la finance. Entre 1980 et 2016, le PIB mondial a augmenté de 11 200 milliards de dollars à 76 000 milliards de dollars.

     Dans le même temps, les actifs financiers sont passés de 12 000 milliards de dollars à 300 000 milliards de dollars - une hyperinflation déconnectée de la réalité économique. L'inégalité économique est devenue comme une cellule can­céreuse dans le corps de l'humanité.
 
     À cet égard, il est remarquable de noter que le Maître Djwhal KJiul (DK) a écrit dans le livre Éducation dans le nouvel âge, transmis par l'entremise d'Alice Bailey, que la Seconde Guerre mondiale pouvait être comparée à une opération chirurgicale, entreprise dans le but de sauver la « vie » de l'humanité, au détriment de la « forme ». Mais, a-t-il prévenu, le « germe » n'a pas été totalement extirpé à l'époque et une nouvelle intervention pourrait s'avérer in­dispensable pour dissiper l'infection et se « débarrasser de la fièvre ». Les marchés financiers, dans leur forme actuelle, pourraient effectivement être comparés à un « streptoco­que » (le terme exact employé par le Maître DK pour dé­crire « l'infection ») qu'il faille éradiquer avant toute possi­bilité de régénération de notre vie.
 
     Les marchés financiers sont devenus pour l'essentiel le lieu d'une spéculation effroyable qui a en fait peu de consi­dération pour les questions d'investissements à long terme. Les spéculateurs ont contraint les entreprises cotées à publier des bilans trimestriels, ce qui met en lumière leur intérêt unique pour les gains à court terme et démontre leur total manque de préoccupation pour tout ce qui a trait à « l'investissement » véritable. Comme nous le savons, les marchés financiers sont par excellence un champ d'expres­sion de pure cupidité.
 
La prochaine vague
     Une récession économique est quasi certaine et des mar­chés financiers en berne risquent de ne pas s'en remettre. Il n'y aura probablement pas de retour au « business as usual » (les affaires habituelles). Malgré les immenses efforts entrepris par les banques centrales, la crise ne disparaitra pas. La Cnuced a récemment publié des prévisions qui indiquent que la crise du coronavirus pourrait réduire les investissements (réels) dans le monde de 40 %. L'étude menée sur un panel composé des 5 000 plus grandes sociétés multinationales montre que les perspectives d'investissements directs à l'étranger (IDE) sont bien pires que les pronostics avancés au début de la crise. De larges secteurs de l'industrie et des services se re­trouvent déjà piégés dans une situation critique. L'industrie aéronautique par exemple a récemment réclamé un « Plan Marshall » car elle est en détresse.
 
     En mars dernier, Steven Mnuchin, le secrétaire américain au Trésor, faisait part de ses craintes d'une montée du taux de chômage à 20 % aux Etats-Unis pour les mois à venir. La célè­bre banque étatsunienne Goldman Sachs anticipait quant à elle une chute de l'économie américaine d'environ 24 %. L'un des pires cauchemars des financiers a trait aux sociétés et banques potentiellement « zombies » : la masse des transactions et les ac­quisitions de titres « hors bilan » effectuées par les banques, les fonds d'investissement et autres institutions financières pour­raient déclencher des réactions en chaîne dans tout le système. De même, nombreuses sont les grandes entreprises qui ont profité des taux d'intérêt extrêmement bas pour racheter leurs propres actions sur les marchés, non seulement dans le but d'accroître le contrôle de ces entreprises, mais également pour soutenir leur valeur en bourse. À tout moment un acteur ma­jeur du système pourrait s'effondrer, provoquant des faillites en cascade et une réaction en chaîne, comme ce fut le cas avec la banque Lehman Brothers en 2008. Si une telle situation se produit, elle deviendra hors de contrôle. Lorsque tous les mé­canismes financiers et monétaires à disposition des banques centrales auront été utilisés et épuisés, il n'y aura plus de porte de sortie, plus de sauvetages possibles.
 
     Les lecteurs de Partage international savent de longue date que des changements majeurs à l'échelle mondiale ne seront possibles que lorsque le système économique international sera à genoux. Ce moment n'est, à l'évidence, pas éloigné. La tentative des banques centrales d'allonger artificiellement l'es­pérance de vie du système pourrait retarder de quelques mois l'échéance inéluctable, mais cette tentative même de prolonger le temps de vie du « virus financier » aura pour inévitable consé­quence l'éclatement du furoncle - la source de l'infection.
 
     Pour les peuples du monde entier, viendra alors le temps de demander des comptes à leurs gouvernements et de faire entendre leurs voix en faveur de la justice, du partage et de l'équité. Et après des mois de confinement strict, nous pou­vons anticiper que la grande majorité de l'humanité aura eu le temps de méditer sur les valeurs essentielles de la vie pour un avenir plus sain.
 
     Pour l'heure, les médias sont totalement focalisés sur le Covid-19. Mais nous ne devons pas oublier que sur le front de la lutte contre la faim et l'extrême pauvreté, chaque jour ressemble à un tsunami. D'après la FAQ (l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture) environ 820 millions de personnes ont souffert de la faim en 2018, et plus de deux milliards sont sujettes à une insécurité alimen­taire modérée ou forte.
 
     En tant que lecteurs de Partage international, nous avons conscience que la « voix des peuples », que stimulent les Maî­tres, constituera le pouvoir principal dans le monde pour ame­ner les profondes et nécessaires transformations dans nos vies, dans notre système économique, financier et monétaire en par­ticulier. Il ne fait aucun doute que nombreuses seront les voix à se faire entendre pour exiger les changements indispensables. Il ne fait aucun doute que Maitreya lui-même se tiendra au pre­mier rang de ce mouvement. Ce sera le temps de prendre tou­tes les mesures possibles pour sauver l'humanité et la planète, « quoi qu'il en coûte ». Qu'on le nomme « Green New Deal » ou bien « Plan Marshall et écologique mondial » il ne faudra rien de moins qu'un effort colossal et coordonné à l'échelle internatio­nale pour transformer l'économie mondiale.
[Sources : Le Monde; Mediapart, France ; UNCTAD News]
 

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MÉDITEZ AVEC NOUS DURANT LA PÉRIODE DE CONFINEMENT !
 
Durant cette période de confinement, nous vous invitons à méditer, soit seuls, soit en vous joignant mentalement aux nombreux groupes de méditation de Transmission à travers le monde, qui ont établi des horaires de méditation à distance pour remplacer leurs rencontres de méditation de groupe régulières.
Voici les jours et heures de telles méditation de groupe au  Québec : 
Mardi à 20 heure.
Mercredi à 19 h 30.
Dimanche à 9 heure du matin. Nous sommes alors aussi reliés au groupe de France.
 
 

 
QUESTIONS-RÉPONSES (extraits)
Lors des conférences qu'il a données dans le monde entier, Benjamin Creme s'est vu poser de nombreuses questions couvrant une vaste gamme de sujets. Nous nous appuyons sur cette importante res­source enregistrée et publions ici certaines réponses.
 
Q. Après le Jour de la Déclaration, lorsque l'humanité aura changé, les religions s'effondreront-elles ?
R. Absolument pas. Bien au contraire. Mais elles seront re­nouvelées, rajeunies et purifiées, débarrassées de leurs anti­ques dogmes et doctrines. Aux yeux des gens, elles y gagne­ront une nouvelle vie et une nouvelle vigueur, une pureté et une réalité renouvelées. Et elles ne cesseront pas d'évoluer. Petit à petit, par les diverses religions les fidèles arriveront à une nouvelle approche de la divinité. Ce ne sera pas une nou­velle religion elle ne sera fondée ni sur la foi, ni sur la croyance. Ce sera la science de l'évolution. En d'autres ter­mes, les personnes s'intéressant suffisamment au processus scientifique de l'évolution comprendront progressivement, grâce à Maitreya, que ce que nous appelons le divin n'est pas seulement au-delà de nous - là-haut, dans le ciel, dans l'uni­vers - mais qu'il est aussi tout autour de nous. En fait, où que vous puissiez porter le regard, vous ne trouverez pas le moin­dre atome d'espace d'où le divin serait absent. Il n'y a qu'une seule réalité le divin. Et grâce à Maitreya, bien des adeptes des diverses religions découvriront ensemble une autre ap­proche de la divinité : ils comprendront que la divinité et le divin qui demeure en chacun de nous ne sont qu'une seule et même chose. Il n'y a aucune séparation ni différence entre notre divinité intérieure et ce que nous appelons Dieu en-dehors de nous. Alors, si vous voulez appeler cela une reli­gion, eh bien oui, ce sera la religion des temps à venir.
     En attendant, les différentes religions subsisteront encore longtemps, après avoir été purifiées. Par exemple, le Maître Jésus se trouve à présent à la tête de tous les groupes chré­tiens, où qu'ils se trouvent. Sa tâche est de débarrasser ces groupes de tous les dogmes et doctrines qui, inventés par les hommes, jouent aujourd'hui un rôle si important dans la reli­gion chrétienne.
 
Q. Maitreya est-il le seul et unique fil de Dieu ?
R. Pas du tout! Un tel être n'existe nulle part dans tout l'uni­vers. Aucun homme, aucune femme n'est le seul et unique enfant de Dieu. Tout homme, toute femme, tout enfant est un être divin - un fils ou une fille de Dieu. Demandez donc à Maitreya, lorsque vous le verrez : « Êtes-vous le seul et unique fils de Dieu ? » Ou bien demandez à Jésus, qui était le porte-parole de Maitreya en Palestine, s'il est le fils unique de Dieu, comme cela est écrit à plusieurs reprises dans la Bible. Il ne pourra que répondre : «Non, comment pourrais-je l'être ? Une telle personne n'existe pas. »
     C'est une légende inventée et largement répandue par le grand être qu'était le disciple Paul, appelé aussi saint Paul1. Ce dernier mit exagérément l'accent sur le caractère divin du Christ - lequel s'exprimait par l'intermédiaire de Jésus. En réalité, saint Paul n'a jamais rencontré le Christ. C'était un « gauleiter », et il persécutait les chrétiens. Et comme c'était un initié du troisième degré, il le faisait très bien. Jusqu'à ce qu'il se rende à Damas : en route, il tomba de cheval, perdit la vue, et ne la retrouva que trois jours plus tard.
     À l'époque, il s'appelait Saul. Sur le chemin de Damas, il devint Paul. C'était un grand initié, un homme d'une force et d'un courage extrêmes. Mais c'était aussi un fanatique. Et ce fanatisme altéra la réalité du Christ ; en fait, il sépara le Christ de l'humanité. Par ses enseignements, Paul sépara Dieu des hommes. En réalité, personne n'est Dieu mais tous les hommes sont des dieux. Personne n'est l'unique fils de Dieu.
 
1. Paul était certes inspiré, mais il n'était pas adombré par Maitreya. C'était un initié du troisième degré (événement symbolisé dans la Bible de façon spectaculaire par sa « conversion » sur le chemin de Damas et par sa cécité de trois jours). Ce que le Maître DK reproche à saint Paul (qu'il appelle néanmoins « ce grand Initié »), c'est d'avoir partiellement altéré ce nouvel enseignement pour le rendre compatible avec l'ancien enseignement juif, si bien qu'aujourd'hui encore, le mysticisme de saint Paul colore toujours l'approche des églises chrétiennes. (Benjamin Creme, La Mission de Maitreya, tome. I (extrait de la conférence de BC donnée à Paris en 2008)
Partage international 33e année • n° 381 • mai 2020
 
 

SIGNES DES TEMPS
 
En mars 2020, on a raporté qu'une statue de Sai Baba de Shirdi semblait boire le lait qu'on lui offrait, dans un temple de Tenali, Andhara, (Inde).
     En 19995, des rapports similaires de statues buvant du lait ont été signalé par les médias du monde entier.
     Le Maître de Benjamin Creme avait confirmé le phénomène, précisant que les statues ne boivent pas le lait, mais que Maitreya et un groupe de Maîtres le font disparaître. Les Maîtres ont simplement transformé le lait physique en sa contrepartie éthérique, qui est invisible pour la majorité des humains.
     Dans le cas de Tenali,nous ne pouvons confirmer que Maitreya ou Sai Baba ont fait disparaître le lait.
Ces photos, séparées de quelques secondes, proviennent de la caméra de surveillance du temple.
[Source : YouTube : San Bandhan Foundation Trust]
 

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