PARTAGE INTERNATIONAL CANADA
Infolettre de juillet/août 2021- Première partie
POUR VISIONNER LES REPRISES DE L'UNE OU L'AUTRE DES CONFÉRENCES VIRTUELLES PRÉSENTÉES EN 2020 ET 2021
POUR VISIONNER LES REPRISES DE CES CONFÉRENCES, SUIVEZ CE LIEN :
LES TEMPS NOUVEAUX
par le Maître –,
par l’entremise de Benjamin Creme, avril 2001.
JOUR APRÈS JOUR, l’humanité se voit confrontée au spectacle des calamités qui résultent du mauvais usage de son libre arbitre. De nature divine, le libre arbitre de l’homme est son plus grand trésor, mais c’est seulement quand il est utilisé en harmonie avec le plan du Logos, qu’il est juste et conforme à la Loi. Cela, depuis longtemps l’homme n’en a plus conscience, et il récolte aujourd’hui la tempête engendrée par ses pensées et actions erronées. C’est ainsi que des millions d’êtres humains manquent de tout dans un monde d’abondance, privés des moyens d’existence que d’autres considèrent comme un droit élémentaire. L’homme ne pourra guère plus longtemps supporter une telle séparation : la Loi exige la juste répartition des ressources disponibles et si cette condition n’est pas remplie, elle entre en action pour rétablir l’équilibre et l’harmonie.
En outre, les nouvelles énergies de Synthèse cherchent de plus en plus à s’exprimer, conduisant l’humanité chaque jour davantage vers cet objectif. Partout dans le monde, les hommes peinent à supporter une tension qui va grandissant, et se débattent frénétiquement au milieu du chaos qu’elle engendre. Au plus profond d’eux-mêmes, ils pressentent que l’avenir repose sur le changement, mais ne voient guère le chemin à emprunter pour y parvenir. Ils attendent un signe leur indiquant que leurs besoins sont reconnus et pris en compte, mais n’accordent pas leur confiance à la multitude de signes qui, de toutes parts, montrent que notre aide est d’ores et déjà disponible. Ils vivent à la fois dans l’espoir et dans la peur, et rejettent la possibilité de ce à quoi ils aspirent. Ainsi en a-t-il toujours été.
Et puis, il y a ceux qui s’enivrent de leurs propres succès, s’émerveillant des fortunes faciles qui flattent leur nature cupide et insatiable. Ils n’ont d’yeux que pour leur réussite éphémère, et ignorent les signaux d’alarme qui se font entendre. La maladie de la spéculation les tient sous son emprise, évoquant le déclin et les excès de la Rome antique.
Dans cette situation pleine de disparités et d’antagonismes, la Hiérarchie cherche à porter assistance partout où elle le peut. Seul le respect du libre arbitre humain l’empêche d’intervenir directement, mais la Loi est la Loi, et doit toujours être respectée. Pourtant, beaucoup d’aide est fournie à l’humanité sans qu’elle en ait connaissance.
Maitreya évalue de jour en jour la situation et étudie la possibilité d’émerger avant l’effondrement boursier prévu. Déjà, certaines mesures sont prises à cet effet, ce qui laisse penser qu’il ne reste que peu de temps avant le commencement de sa mission publique. Regardez autour de vous, soyez attentifs et veillez à n’en pas manquer les premiers signes.
Maitreya galvanisera les hommes et femmes de bonne volonté à travers le monde, les poussant à agir. Beaucoup parmi eux n’attendent que son appel. Ainsi s’instaurera une consultation de grande envergure, dans le cadre de laquelle seront étudiés et évalués les besoins fondamentaux des hommes, où qu’ils se trouvent. De cette manière, on pourra découvrir les possibilités qu’offre le changement, éprouver leur validité, et on trouvera le courage d’entreprendre les transformations nécessaires. Ainsi en sera-t-il, ainsi le Grand Seigneur prodiguera-t-il aux hommes ses conseils, ainsi inaugurera-t-il les temps nouveaux.

Pendant près de quarante ans, le Maître de Benjamin Creme a fourni un article pour chacun des numéros de Partage international. L’article ci-dessus, pourtant écrit au début du siècle, semble avoir été rédigé pour le monde tel qu’il est aujourd’hui. 
Un livre de Jeremy Lent : Intégrer la science et la sagesse traditionnelle
par Phyllis Creme,
a été enseignante à l’université et est correspondante de Share International, basée à Londres. Elle était l’épouse de Benjamin Creme.
Mais, comme le souligne Jeremy Lent, la « perception du monde » la plus répandue va à l’inverse et conditionne l’essentiel de notre vie. Nous avons appris à nous comporter comme des unités distinctes s’opposant au reste du monde. Nous avons « maîtrisé » la nature, comme nous maîtriserons la pandémie. Les exigences d’un environnement dominé par cette perception du monde font de nous des machines avides de gagner de l’argent – souvent juste pour subsister, ou bien pour acheter plus que ce dont nous avons besoin, dans certains cas des milliers de fois plus.Le livre de Jeremy lent, The Web of Meaning1est un livre que notre époque attendait. Ceux qui manifestent lors des rassemblements Black Lives Matter (la vie des Noirs compte), qui compatissent à la souffrance quotidienne diffusée à la télévision, qui sont profondément inquiets pour notre planète et à cause de la pandémie, se voient rappeler chaque jour que nous sommes liés les uns aux autres, que nous appartenons à la nature, et que « nous ne serons en sécurité que lorsque nous le serons tous ». Nous ne pouvons pas survivre si la Terre meurt.
Notre époque nous demande de faire un choix. Notre planète s’épuise – et nous, les humains, en sommes la cause. L’avidité et l’orgueil menacent la Terre aussi sûrement que la pandémie dont nous ne pouvons nous départir. Nous voyons les pays riches amasser les moyens de survivre et de vaincre le coronavirus.
Nous avons vu le sacrifice d’innombrables personnes ordinaires soignant les malades au prix de leur vie. Mais la plupart d’entre nous avons peur et n’avons apparemment pas d’autre choix que de poursuivre notre vie, mus par le besoin de survivre et d’éviter les problèmes.

Changer la vision occidentale du monde

La pertinence de cet ouvrage réside dans son exploration de la manière de changer la vision occidentale du monde qui nous pousse à ne pas nous rendre compte que nous sommes tous interconnectés. Il retrace l’histoire de cet état d’esprit, fondé sur le réductionnisme scientifique, selon lequel nous sommes séparés les uns des autres et même en nous-mêmes. Cet état d’esprit se retrouve dans le Christianisme et dans la science du siècle des Lumières qui dissocient l’âme, ou l’esprit, du corps, ainsi que l’idée moderne et puissante du « gène égoïste » qui enracine la forme-pensée selon laquelle nous sommes génétiquement programmés pour nous préoccuper de nous-mêmes.
The Web of Meaning s’adresse à ceux qui ont été imprégnés par cette perception dominante du monde et qui en sont prisonniers, mais qui commencent à réaliser qu’elle ne correspond pas à leurs sentiments les plus profonds envers eux-mêmes et envers les autres.
Jeremy Lent nous propose un compte rendu approfondi et soigneusement étayé pour contrer l’idée du gène « égoïste » et séparatif, en s’appuyant sur un large éventail de sources, notamment la science, la philosophie, la littérature, l’anthropologie et la poésie.
Il associe les philosophies anciennes, en particulier le taoïsme, le bouddhisme et les croyances autochtones, à la théorie des systèmes et aux neurosciences, qui démontrent la « connectivité » à tous les niveaux – de la plus petite particule et de la cellule individuelle à des systèmes naturels entiers, voire au cosmos. Ainsi, par exemple, les arbres et les insectes « pensent » et coopèrent pour survivre ensemble, et sur le plan neurologique, nous sommes intrinsèquement connectés à nous-mêmes, sans séparation entre notre esprit et notre corps. [...]
 
 
Le pouvoir du peuple a fait échouer le projet
de l’oléoduc Keystone XL
par Valerie Schloredt,
Le 9 juin 2021, TC Energy (anciennement TransCanada) a annoncé l’abandon définitif de son projet d’oléoduc Keystone XL. C’est une grande victoire pour les écologistes, concluant une lutte épique qui aura duré treize ans dans les salles d’audience, les rues et sur le terrain. Il s’agit d’un revirement majeur dans les plans de cette société annoncés en juillet 2008 : un oléoduc de plus de 3 000 km de long reliant la province d’Alberta (Canada) aux raffineries de la Côte du Golfe du Mexique (Etats-Unis). Cet oléoduc devait transporter environ 100 millions de tonnes de pétrole issu de sables bitumineux par jour. Le ministère a estimé que Keystone XL aurait pu à lui seul rejeter 27 millions de tonnes de CO2 dans l’atmosphère par an.
Photo : Chesapeake Climate Ation Network (CCAN)
Bill McKibben lors d’une manifestation contre l’oléoduc.
Les militants indigènes ont pris la tête de l’opposition à l’oléoduc, la résistance a pris de l’ampleur, est devenue plus résolue et plus unie lorsque le mouvement environnemental au sens large s’est joint à la lutte. Le long combat pour empêcher la construction de l’oléoduc a contribué à la création du mouvement climatique actuel. Il a inauguré une nouvelle ère écologique ancrée dans la solidarité avec les communautés impactées, la justice climatique et une approche transversale de la lutte contre le changement climatique.
Le coup de sifflet final pour Keystone XL est une victoire pour le mouvement des tribus, des militants, des agriculteurs et des communautés locales qui se sont opposés avec courage et persévérance pour ralentir, bloquer et finalement arrêter la construction de Keystone XL. Ces champions du climat se sont battus bien au-delà de leurs capacités et ont persisté lorsqu’il semblait qu’ils étaient dépassés.
Le mouvement de résistance qui ne voulait pas abandonner a survécu au pipeline qui ne voulait pas mourir.
Source : Yes!Magazine.
COURRIER DES LECTEURS
 
INOUBLIABLE
Il y a vingt ans, ma femme et moi vivions dans un immeuble près d’un petit parc à Pasadena (Californie).
Habituellement, le samedi, j’allais voir un sans-abri qui dormait dans le parc et lui donnais de l’argent. En décembre, ma mère nous avait envoyé un paquet de biscuits de Noël faits maison. Elle était excellente cuisinière et je les attendais toujours avec impatience. J’en glissai plusieurs dans une boîte à café vide pour les emmener au parc. Mais mon sans-abri habituel n’était pas là. Cependant, je remarquai un autre sans-abri de l’autre côté du parc. En m’approchant de lui, je vis qu’il avait un chariot de supermarché contenant des vêtements. Il rangeait soigneusement ses vêtements sur un banc du parc. Il avait des cheveux bruns qui lui tombaient sur les oreilles et un teint cuivré, comme s’il avait passé beaucoup de temps au soleil et au vent. Je fus surpris de voir que ses vêtements semblaient très propres et presque sans plis. Je le saluai, lui donnai un peu d’argent et la boîte de biscuits en lui disant qu’ils venaient de ma mère. Il me répondit : « Merci. Je suis sûr que s’ils ont été faits par votre mère, ils sont très bons ! » Une fois de plus, je ne pus le chasser de mon esprit.
Nom et adresse non divulgués, Etats-Unis
Le Maître de Benjamin Creme a indiqué que l’homme sans abri était Maitreya.
EN PRÉSENTIEL
Le 27 mai 2021, nous avons de nouveau rencontré « Maitreya sous cette apparence » et discuté avec lui. Benjamin Creme (BC) avait parlé de lui comme d’« un visiteur spécial », des mois avant qu’il ne se présente réellement. Par la suite, BC et son Maître avaient indiqué qu’il s’agissait de Maitreya sous l’apparence particulière qu’il utilise pour visiter le Centre d’information d’Amsterdam et pour rencontrer divers membres du groupe à différentes occasions dans le quartier. Il avait parlé pour la dernière fois à un membre du groupe en juin 2020. A ce moment-là, il semblait indiquer que nous ne le verrions pas pendant un certain temps.
Sa première question fut : « Comment va le groupe ? » Il a ensuite demandé si le centre d’information était ouvert (nous sommes fermés depuis mars de l’année dernière en raison du confinement et nous n’y allons que pour nous occuper des commandes de livres, etc.) « Qu’en est-il des méditations, dans ce cas, les gens méditent-ils en ligne ? » Il dit que c’était très bien. « Donnez-vous des conférences publiques ? » Non, avons-nous répondu. Comme nous n’avons pas pu nous rencontrer physiquement, nous avons organisé des webinaires, ce qui est la meilleure solution. Sa réponse fut rapide : il n’était pas emballé par les webinaires. « Il n’y a rien de tel que le contact personnel, face à face. » Il ajouta que c’était « son opinion personnelle » mais qu’il constatait que pour le moment, c’était nécessaire. « Mais […] le face à face est préférable. » En ce qui concerne le centre d’information, il a déclaré qu’il nous rendrait visite dès que « le feu vert » serait donné.
Nous lui demandâmes pendant combien de temps le coronavirus allait encore sévir. Il répondit qu’il ne disparaîtrait jamais totalement. Il deviendra endémique. Puis il demanda de manière inattendue : « Le virus a-t-il été annoncé ? » Nous avons compris qu’il voulait dire par BC ou le Maître de BC. « Eh bien, non, peut-être pas explicitement, mais BC, son Maître et Maitreya nous ont déclaré à plusieurs reprises que si l’humanité ne changeait pas, ne réalisait pas l’impact que nous avons sur notre planète et la nature, alors, bien sûr, il y aurait des conséquences inévitables, c’est-à-dire des causes et des effets. » Il a acquiescé : « Oui, cause et effet, effet et cause », semblant suggérer un cercle vicieux. Ce n’est qu’en écrivant ce courrier que nous nous sommes souvenus qu’il y avait eu un avertissement ou une prédiction faite par « Ronnie Tsunami », en novembre 2019, juste avant les premiers signalements de la Covid en Chine (voir PI, décembre 2019). Il a ensuite abordé la question de savoir comment nous (le monde) aurions pu fournir des vaccins à tous les pays, en particulier aux pays en développement. « Nous avons les moyens d’aller sur la Lune, sur Mars ; nous savons comment le faire, nous aurions pu le faire. Nous le pouvons encore », a-t-il déclaré.
Nous vivons une époque difficile, pleine de défis. C’est dur pour les gens partout dans le monde. Mais nous ne serons pas détruits, le monde survivra. Mais pour des millions de personnes, c’est très dur, elles souffrent et subiront les conséquences de l’échec économique, de la perte de revenus, etc. »
Il ajouta qu’il était naturel pour les gens de s’inquiéter ou même de se mettre en colère parfois, et de se demander pourquoi les choses ne se passent pas bien. Et ce n’est pas grave, nous sommes pardonnés de nous être mis parfois en colère. Il pointa le doigt vers le ciel (il avait déjà fait ce geste dans le passé) et mima ensuite avec humour quelqu’un en colère contre Dieu, en disant : « Papa ! Pourquoi cela prend-il autant de temps ? » « Nous nous mettons en colère lorsque nous n’utilisons que notre mental plutôt que… » au lieu d’utiliser aussi la foi et l’intuition, semblait-il vouloir dire.
Tous les arbres, arbustes, plantes sont très verts et vigoureux après une bonne pluie suivie d’un temps chaud. Notre « visiteur spécial » fit remarquer qu’il n’a jamais cessé de profiter de la nature et de s’en délecter. « Regardez ! a-t-il dit en montrant toute la beauté qui nous entoure dans le parc, et elle revient tous les ans. Nous n’avons rien à faire pour cela, c’est juste là, cela nous est offert ! »
Il déclara pour clore notre conversation qu’il était dommage que nous ne puissions pas nous serrer dans les bras, mais qu’il nous donnait une « étreinte spirituelle » ; il ajouta que nous le reverrions au centre d’information. « A bientôt ! Et merci pour cette rencontre. » Il nous salua et partit sur un vieux vélo.
Des membres du groupe, Amsterdam
SIGNES DES TEMPS

Photos de la lune 

La nuit du 17 mai 2021, un peu avant 23 heures, je sortis pour promener mon chien et à l’Ouest, dans le ciel clair, je fus frappée par la beauté de la lune. Je pris une photo, ce que je n’ai pas l’habitude de faire. En la visionnant le lendemain matin, je remarquai immédiatement un grand objet ressemblant à un vaisseau spatial situé au-dessus de la lune. Je n’avais rien vu à cet endroit au moment où j’ai pris la photo.
Les nuits suivantes, je pris des photos de la lune à différentes heures, avec la lune dans différentes parties du ciel, et avec deux appareils différents (iPhone et iPad). L’objet apparut sur tous les clichés. J’ai également pris une vidéo de la lune et de l’objet au-dessus d’elle le 23 mai, et l’objet changeait brièvement de forme.
A. S., Long Island, New York, Etats-Unis
 

Un ovni à Denver – [sommaire]

 
photo : mufon.com
Etats-Unis – La nuit du 22 septembre 2015, à Denver (Colorado), un témoin a photographié un grand vaisseau aérien en forme de tube émettant de doux clignotements au-dessus de deux sphères aériennes brillantes. Il n’a communiqué son observation qu’en mai 2021.
[L’ovni observé à Denver en 2015 ressemble à celui photographié à Hangshou (Chine), en 2010, et confirmé par le Maître de Benjamin Creme comme étant un vaisseau spatial de Mars (voir PI, décembre 2010).]
Source : mufon.com
Un nouveau record dans le nombre des personnes déplacées
par Jake Johnson,
journaliste chez Common Dreams.
Un rapport publié le 18 juin 2021 par l’agence pour les réfugiés des Nations unies révèle que, fin 2020, plus de 82 millions de personnes à travers le monde ont été déplacées de force par la guerre, la persécution, la crise climatique et d’autres facteurs, un record qu’un groupe d’aide internationale a qualifié d’» énorme échec de l’humanité ».
L’évaluation annuelle des « tendances mondiales des déplacements forcés » de l’Onu estime que les filles et les garçons de moins de 18 ans représentent 42 % des 82,4 millions de personnes qui ont fui leur foyer en quête de sécurité et de dignité humaine élémentaire. Près d’un million d’enfants sont nés en tant que réfugiés entre 2018 et 2020, indique le rapport.
« Derrière chaque chiffre se cache une personne forcée de quitter son foyer et une histoire de déplacement, de dépossession et de souffrance. Ces personnes méritent notre attention et notre soutien, non seulement en matière d’aide humanitaire, mais aussi pour trouver des solutions à leur détresse, a déclaré Filippo Grandi, haut-commissaire des Nations unies pour les réfugiés (HCR). La tragédie de tant d’enfants nés en exil devrait être une raison suffisante pour déployer des efforts bien plus importants afin de prévenir et mettre fin aux conflits et à la violence. » [...]
Mettre fin à l’apartheid contre les Palestiniens
Si beaucoup associent ce mot à l’Afrique du Sud, « apartheid » est un terme juridique qui désigne une oppression discriminatoire grave. La Convention internationale sur l’élimination et la répression du crime d’apartheid de 1973 et le Statut de Rome de la Cour pénale internationale (CPI) de 1998 définissent l’apartheid comme un crime contre l’humanité composé de trois éléments principaux :
– Une intention de maintenir la domination d’un groupe racial sur un autre.
– Un contexte d’oppression systématique par le groupe dominant sur le groupe marginalisé.
– Des actes inhumains.
Le crime de persécution contre l’humanité, tel que défini par le Statut de Rome et le droit international coutumier, consiste en une privation grave des droits fondamentaux d’un groupe racial, ethnique ou autre avec une intention discriminatoire. Human Rights Watch (HRW) a constaté que les éléments constitutifs de ces crimes sont réunis dans le cas de la politique du gouvernement israélien visant à maintenir la domination des Israéliens juifs sur les Palestiniens en Israël et dans les territoires palestiniens occupés (TPO).
Prisonniers politiques israéliens vs palestiniens
Probablement aucun Israélien n’est retenu prisonnier par des Palestiniens, tandis que 6 279 Palestiniens sont actuellement emprisonnés par Israël.
« Depuis l’occupation israélienne des territoires palestiniens en 1967, plus de 800 000 Palestiniens ont été détenus sur ordre de l’armée israélienne dans les territoires palestiniens occupés (TPO). Ce nombre représente environ 20 % de la population palestinienne totale des TPO et jusqu’à 40 % de la population masculine palestinienne.
Huit mille enfants palestiniens ont été arrêtés depuis 2000. »
[Source : Addameer Prisoner Support and Human Rights Association. En août 2017, 6 279 prisonniers politiques palestiniens sont détenus dans les prisons et centres de détention israéliens, dont 465 détenus administratifs, 65 femmes et 300 enfants.]
 
S’appuyant sur des années d’études de cas, HRW a comparé les politiques et les pratiques à l’égard des Palestiniens dans les TPO et en Israël avec celles concernant les Israéliens juifs vivant dans les mêmes zones. Il en ressort que pour maintenir leur domination, les autorités israéliennes pratiquent une discrimination systématique à l’encontre des Palestiniens. [...]
Source : Human Rights Watch
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Le retour à la normale serait la pire des choses

par Felicity Eliot,

rédactrice de Share International, basée à Amsterdam (Pays-Bas).
En 1942, le Maître Djwal Khul (DK) mettait en garde contre certains dangers auxquels les gens devaient être sensibilisés au lendemain des deux guerres mondiales, alors que les pays commençaient leur reconstruction. Un danger majeur, disait-il, qui s’applique également aujourd’hui, est « le danger d’un retour à la prétendue normalité. Le principal désastre qui menace l’humanité actuellement serait un retour à l’état de choses précédent l’ouverture des hostilités, et le rétablissement du vieux monde familier, avec son impérialisme (d’empire ou de finance), ses viles distinctions et barrières séparatives entre riches et pauvres, entre Orientaux et Occidentaux, entre castes et classes, qui existent dans tous les pays – sans exception. » [L’extériorisation de la Hiérarchie, p. 369]
A titre d’hypothèse, j’établis une comparaison entre les causes et les circonstances des Première et Deuxième Guerres mondiales et leurs effets, les développements récents en 2020 et 2021, et l’apparition d’une maladie respiratoire, actuellement et à l’époque atlante. Dans cette époque oubliée, on nous a offert l’opportunité d’apprendre quelques leçons précieuses : la loi de cause et d’effet ; le pouvoir de la pensée et de l’émotion pour effectuer des changements – en bien ou en mal. Bien que la première leçon nous ait été donnée à cette époque ancienne, ce que nous semblons ne pas avoir appris, c’est le fait de l’Unité essentielle de l’humanité et de notre interdépendance sociale. Nos médias confirment quotidiennement notre ignorance ou notre incapacité à accepter un simple fait : ce qui peut toucher un individu peut toucher tous les autres. Puisque l’unicité est notre réalité fondamentale, tout ce qui va à l’encontre de ce fait doit avoir des conséquences négatives inévitables.
Nous voici à nouveau à un moment décisif de l’histoire du monde. Cela soulève la question de savoir ce qui rend la situation actuelle différente des 100 000 dernières années ou des 100 dernières années, par exemple. Qu’est-ce qui rend le moment présent si crucial et nous donne une occasion si extraordinaire d’opérer un changement mondial radical ? Et le monde a-t-il déjà été confronté à des circonstances identiques ou similaires ?
Sans aucun doute, la complexité de la situation actuelle est extraordinaire. Nous ne sommes pas seulement confrontés à une catastrophe, la Covid, mais à plusieurs autres qui requièrent toutes une attention urgente et simultanée. La Covid a fait apparaître les failles et il est évident que les principaux systèmes du monde s’effondrent : soins de santé, économie, environnement, politique et social. Nous vivons une époque presque unique, si ce n’est que des circonstances similaires se sont produites il y a un peu plus de 100 ans. En 1918, un monde d’après-guerre, épuisé et psychologiquement choqué, s’est soudain retrouvé aux prises avec un ennemi encore plus mortel – une pandémie – la grippe espagnole. Une maladie respiratoire causée par un virus de la grippe, pour laquelle il n’existait aucun vaccin. « On estime qu’environ 500 millions de personnes, soit un tiers de la population mondiale, ont été infectées par ce virus. Le nombre de décès a été estimé à au moins 50 millions dans le monde, dont environ 675 000 aux Etats-Unis. » [cdc.gov]
Une comparaison peut être faite avec des événements clés de la civilisation atlante, des catastrophes du XXe siècle et de notre époque : les lecteurs peuvent noter que, lorsque les eaux se sont refermées sur l’Atlantide, les Maîtres de Sagesse se sont retirés de la vie quotidienne. Aujourd’hui, 100 000 ans plus tard, les Forces de Lumière reviennent à nouveau dans notre monde de tous les jours.
Les points communs de ces époques sont : le fléau d’une maladie respiratoire potentiellement mortelle, la croissance et la prédominance de l’avidité et de la séparativité qui ont conduit à de terribles conflits et guerres et, dans le cas de l’Atlantide, ont entraîné la fin de cette civilisation.
Je ne pense pas à la fin de notre civilisation, mais plutôt à la meilleure occasion jamais offerte de repenser et de transformer radicalement les signes extérieurs de ce que nous considérons comme « normal ». Compte tenu de ce que nous savons du passé, la convergence de nos crises actuelles doit-elle nous persuader de tirer les leçons de nos erreurs et d’écarter définitivement la « normalité » ? Les personnes qui souhaitent un retour rapide à la normale ont-elles réellement examiné ce qu’est la « normalité » ? Elle consiste à laisser perdurer l’injustice sociale, la faim, la pauvreté, la guerre, la corruption, le manque de compassion et la destruction écologique. Est-ce cela que nous voulons ? [...]

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  • Un regard synthétique sur les transformations politiques, économiques et sociales qui se déroulent sur la planète.
  •  Des témoignages d’actions concrètes visant à reconstruire notre monde dans le sens du partage, de la justice et de la fraternité. 
  • Des informations sur la présence dans le monde de Maitreya et des Maîtres de Sagesse, et sur les signes qui accompagnent leur venue.
 
 
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