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PARTAGE INTERNATIONAL CANADA
Infolettre de décembre 2022
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LES BÉNÉVOLES DU RÉSEAU VOUS SOUHAITENT UN
Les ténèbres se dissipent
par le Maître –,
par l’entremise de Benjamin Creme, Share International, juillet/août 2008
NULLE PART AILLEURS que sur Terre la division et la discorde ne dominent autant la vie planétaire. Aucune autre planète de notre système n’est aussi immergée dans la compétition, aucune n’ignore à un tel point les bienfaits de la coopération. En aucun autre lieu ne s’observent les résultats de pareille folie : l’anxiété et les maladies de toute nature, la richesse et la misère qui se côtoient, l’insécurité et la guerre.
Pourquoi devrait-il en être ainsi ? Pourquoi faudrait-il que les habitants de ce monde extraordinairement fertile s’en disputent à ce point la possession ? Dans une certaine mesure, la réponse tient à la richesse même des ressources terrestres. La Terre est, de tous les mondes, le plus densément matériel, et depuis une époque archaïque, les hommes, sous l’emprise de la fascination qu’exercent ses richesses, se sont affrontés pour s’en assurer le contrôle. Cela a conduit le règne humain (et avec lui le règne animal) au bord de la destruction. Avec la bombe atomique, c’est son existence même que l’homme a mise en danger.
Plus que toute autre chose, ce péril a joué un rôle déterminant dans la décision qu’a prise Maitreya de revenir avec son groupe dans le monde moderne, au moins mille ans avant la période fixée initialement. Il entend user d’une bienveillante persuasion pour détourner les hommes de l’abîme, et leur montrer tout le danger et la destructivité de leur soif de pouvoir, leur cupidité et leur propension à la compétition. Il leur proposera une approche plus simple, celle de la coopération, de la justice et de la confiance.
Nombreux déjà sont ceux qui, dans leur cœur, renoncent à l’iniquité du matérialisme qui sature la planète. Ils aspirent à la justice et à la paix, et descendent dans la rue pour réclamer leur instauration. De plus en plus, les peuples du monde prennent conscience que s’ils s’unissent, ils auront le pouvoir de changer l’action des puissants. Ainsi Maitreya fait-il confiance au peuple et se fait-il l’écho de ses revendications. Ainsi, se joint-il à ses manifestations pour y faire entendre sa voix.
Si la cupidité reste globalement prévalente, on assiste dans plusieurs pays à un éveil des consciences, notamment dans les milieux politiques. On annule les dettes des pays les plus pauvres et l’on aborde d’une manière nouvelle l’écrasante pauvreté de tant d’hommes. On commence ainsi à recueillir les fruits de vingt années de labeur. Les énergies bénéfiques de Maitreya exercent leur magie, et un nouvel état d’esprit gagne en puissance.
Ainsi, des habitudes et des comportements immémoriaux commencent-ils à perdre de leur emprise face à la vague d’énergies nouvelles et irrésistibles que manient Maitreya et son groupe. Les hommes n’ont à avoir peur de rien ; les humbles, les pauvres, ceux qui n’ont d’autre pouvoir que de s’échiner à la tâche hériteront de la Terre. Les hommes apprendront la beauté de la coopération et du service et, l’un après l’autre, les bastions du pouvoir s’effondreront. Les empires de puissance et de richesse disparaîtront alors qu’une nouvelle propension au partage et à l’unité s’emparera de l’esprit des hommes. Ainsi en sera-t-il ; ainsi l’homme mettra-t-il fin à son égarement, ainsi reprendra-t-il son ascension.
Activité au Québec en 2023 (en planification)
Participations à des Salons ésotériques : https://www.partageinternational.ca/salons
Conférences : https://www.partageinternational.ca/conferences-ateliers
Signes des temps nouveaux (2)
L’heure approche où ils se rappelleront les signes, et accepteront d’y voir d’authentiques présages de l’avenir. Ils comprendront que leur manifestation a été programmée et synchronisée avec l’émergence de Maitreya et de son groupe de Maîtres, en cette période unique dans l’histoire du monde. Aussi divers que nombreux, ces miracles annoncent aux hommes qu’il se prépare quelque chose d’extraordinaire, d’une importance capitale pour la Terre. Ceux qui ont des yeux pour voir comprennent que de tels phénomènes sont là pour rappeler à l’humanité que bien des aspects de la vie demeurent mystérieux et inconnus, qu’il existe des lois dont elle ne sait peu et, surtout, que l’homme n’est pas seul. [Une profusion de signes (Maître –)]
La venue du Christ […] n’est pas tributaire de signes tels que l’authentification du suaire ou autres ; mais tous ces signes montrent à l’humanité que quelque chose de tout à fait extraordinaire est en train de se produire, et ils restaurent non seulement la foi des chrétiens, mais l’espoir de l’humanité. [La Réapparition du Christ et des Maîtres de Sagesse (B. Creme)]
De tous côtés les signes s’offrent au regard, indiquant clairement que l’« ère des miracles » n’a pas de fin. Nul ne saurait nier cette profusion de signes, qui chaque jour désignent, bien qu’indirectement, la présence du miracle parmi les hommes. Bientôt, le monde aura la certitude que le Fils de l’Homme est bien de retour parmi les siens, que la longue attente est terminée, que l’Instructeur est prêt à entamer publiquement sa mission, et qu’une voie nouvelle s’ouvre devant les hommes, les appelant à s’engager vers l’avenir qui leur est promis. [La fin du siècle (Maître –)]
La « main » de Maitreya
La main de Maitreya
Le miracle le plus puissant de tous est certainement l’empreinte de la main de Maitreya, miraculeusement apparue sur un miroir de salle de bain à Barcelone (Espagne) en 2001. Il ne s’agit pas d’une empreinte ordinaire, mais d’une image en trois dimensions avec tous les détails photographiques.
En posant votre main sur elle, ou simplement en la regardant, vous pouvez invoquer l’aide et l’énergie de guérison de Maitreya (ceci restant soumis à la loi du Karma). Dans l’attente de son émergence complète et du moment où nous verrons son visage, c’est à travers cette main que Maitreya est le plus proche de nous. Maitreya nous dit : « Mon aide est à votre disposition, vous n’avez qu’à la demander »
Je viens vous dire que vous allez me voir très bientôt, chacun d’une manière qui lui sera propre. Ceux qui cherchent en moi les attributs de mon bien-aimé disciple, le Maître Jésus, trouveront en moi ses qualités. Ceux qui cherchent en moi un instructeur sont plus près de la vérité, car c’est ce que je suis. Ceux qui cherchent des signes les trouveront, mais ma méthode de manifestation est plus simple. Rien ne vous sépare de moi et, bientôt, beaucoup en prendront conscience. [Message n° 10 (Maitreya)]
Sous peu, tous les miracles dont il est l’auteur toucheront de nombreux hommes et femmes, qui le porteront dans leur cœur. L’une après l’autre, des sources aux vertus curatives seront découvertes, et grâce à ces eaux bénies commencera une grande purification des temples de l’humanité. [Celui qui frappe à la porte (Maître –)]
Maitreya énergétise l’eau de la source avec des énergies provenant de la constellation du Verseau. Ces eaux curatives contiennent des atomes d’hydrogène positifs et leur pH est modifié. En tout, il énergétisera 777 sources à travers le monde, qui amélioreront considérablement la santé de l’humanité. [Le Grand Retour (B. Creme)]
Rappelez-vous que nous nous trouvons à la fin d’une civilisation et au début d’une autre, à un moment extraordinaire de l’histoire du monde […]. Pour certains, c’est une libération. Pour d’autres, cela rime avec détresse et insécurité. Mais, mes frères, la souffrance n’aura qu’un temps, et nombreux sont ceux qui le savent déjà. Vous trouverez de l’aide en abondance pour franchir ce cap difficile. Accueillez avec joie l’âge qui commence, et sachez reconnaître les signes du renouveau. [PI, mai 2016 (Maitreya)]
Les miracles foisonnent et continueront de stupéfier le monde […]. Grâce au regain d’espoir que susciteront ces manifestations, les hommes feront un rapprochement avec les sages paroles de Maitreya, et ils suivront ses directives. [L’ère des miracles ne connaît pas de fin (Maître –)]
L’« Étoile »
L’étoile de Maitreya
Le 12 décembre 2008, la fondation Share International a publié un communiqué de presse annonçant qu’allait très bientôt apparaître dans le ciel « une source de lumière d’un puissant éclat ressemblant à une étoile » annonciatrice de la première interview de Maitreya à la télévision américaine. Aux alentours de Noël 2008, l’« étoile » était vue en Norvège. Le phénomène continuera jusqu’au Jour de Déclaration. L’« étoile » est l’un des quatre gigantesques vaisseaux spatiaux qui sont disposés autour de la Terre, au nord, à l’est, au sud et à l’ouest, de façon à pouvoir être vus dans le monde entier. [Le Rassemblement des Forces de lumière (B. Creme)]
Il apparaîtra comme un homme parmi les hommes, formulant à voix haute les besoins et les pensées de ses frères. Avec le temps, ceux qui répondront à son appel seront si nombreux que son identité et sa stature véritables pourront être confirmées. Cette confirmation devrait survenir dans un bref délai, mais ce sont les hommes qui tiennent entre leurs mains le rythme de la reconnaissance. L’actuelle vague de miracles, qui prend aujourd’hui une dimension mondiale, se poursuivra et accompagnera ce processus jusqu’à ce que nul ne puisse plus en nier la signification. [Une esquisse de l’avenir (Maître –)]
Ces signes indiquent que nous sommes arrivés à la fin d’une ère et au commencement d’une nouvelle, et que le Christ est revenu dans le monde pour inaugurer ce nouveau cycle. Ces signes sont donnés pour soutenir les gens dans leur foi et dans les espoirs qu’ils ont dans l’avenir et dans la valeur spirituelle de la vie, pour leur rappeler que nous vivons dans un monde qui ne cesse de changer et que l’époque des miracles n’est pas révolue. Les miracles bibliques, par exemple, ainsi que tous ceux des temps plus reculés, se répètent maintenant quotidiennement, à chaque heure, presque partout dans le monde. Ces événements concordent avec des signes indubitables qui montrent que l’apparition publique du Christ dans le monde est imminente. [La Mission de Maitreya, tome III (B. Creme)]
Des croix de lumière
Dans le monde entier, les signes ont accompli leur tâche. De plus en plus, les hommes en mesurent toute importance, et remercient le Ciel du réconfort qu’ils leur apportent. Une joie nouvelle emplit le cœur de ceux qui connaissent la vérité, ceux qui savent que le Messager se tient prêt à apparaître au grand jour, n’attendant que l’appel pour commencer sa mission. Bientôt cet appel retentira, bientôt une ère nouvelle commencera. [L’heure fixée par le destin (Maître –)]
Les droits des animaux, des arbres et des rivières – [sommaire]
Un rapport intitulé Law in the Emerging Bio Age (Le droit à l’aube de l’ère de la bio) plaide pour la création de cadres juridiques régissant les interactions humaines avec l’environnement et la biotechnologie.
Ce rapport de la Law Society du Royaume-Uni, rédigé par Wendy Schultz, futurologue, et Trish O’Flynn, chercheuse interdisciplinaire, explore l’évolution des relations entre l’homme et les systèmes vivants et souligne la nécessité de nouvelles réglementations, notant que le monde juridique se confrontait déjà à des changements d’attitude.
L’idée d’accorder à la nature des droits comme en bénéficient les individus est défendue depuis des années par les groupes de défense de l’environnement et a déjà été réalisée dans certains pays. Influencés par les croyances indigènes, l’Équateur et la Bolivie ont tous deux accordé des droits à la nature.
Un tel droit pourrait s’appliquer aux truies dans les élevages porcins intensifs, aux veaux retirés à leur mère et même aux animaux de compagnie, a déclaré T. O’Flynn, ajoutant : « Je dis cela en tant qu’amoureuse des chiens. Nous contraignons leur comportement pour qu’il nous convienne. Nous nous considérons parfois comme extérieurs à la nature, et pensons que la nature est quelque chose que nous pouvons manipuler, mais en réalité, nous sommes de la nature, nous sommes dans la nature, nous sommes juste une autre espèce. Il se trouve que nous sommes au sommet de l’arbre de l’évolution à certains égards, si vous le regardez de cette façon linéaire, mais en fait l’écosystème mondial est beaucoup plus puissant que nous. Et, je pense que cela commence à transparaître dans notre façon de voir les choses. »
Source : The Guardian, Royaume-Uni
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Un modèle pour l’avenir – la pensée utopique (1) – [sommaire]
par Corné Quartel,
Pourquoi la pensée utopique suscite-t-elle si souvent le scepticisme ? Nos systèmes politiques, économiques et sociaux actuels ne parviennent pas à lutter contre les inégalités croissantes, la pauvreté sordide dans un monde d’abondance, le changement climatique, les migrations et l’épuisement des écosystèmes. On peut affirmer que la pensée utopique n’est pas simplement une fantaisie idéaliste, elle est essentielle pour redéfinir notre avenir – un avenir à même de susciter un sentiment d’anticipation positive, par opposition à la réalité inquiétante et stressante dépeinte par les médias grand public. La pensée utopique n’est pas non plus de la science-fiction, qui peut être divertissante mais ne montre bien souvent qu’une continuation dystopique de la monotonie et de la laideur actuelles, une vue matérialiste du monde dans laquelle les valeurs humaines et le développement moral de l’humanité sont largement dépassés par la technologie – autant de visions qui nous condamnent à un avenir sombre et à la fin probable de notre civilisation.
De son côté, la littérature ésotérique expose nombre de visions inspirantes de civilisations incarnant nos valeurs les plus élevées, susceptibles de stimuler notre imagination d’une façon plus constructive. Une étude approfondie a été commandée par la Banque mondiale en 1980 et a débouché sur le Rapport Brandt, un document visionnaire présentant des recommandations pratiques pour une stabilité mondiale à long terme. Pourtant, le premier ministre néerlandais néolibéral a déclaré : « Une vision, c’est comme un éléphant qui bloque la vue », en d’autres termes, un obstacle au profit à court terme. Alors encore une fois, pourquoi le scepticisme, l’inertie et la résistance au changement sont-ils si courants ?
Découragement, peur du changement ou indifférence ?
Nombreux sont ceux qui sont déçus par le « système » (ou par la race humaine), se détournent de la politique et craignent qu’il n’y ait pas de solution à l’agitation croissante du monde. Ils se posent une question légitime : ces visions utopiques du futur offrent-elles de réelles solutions et sont-elles réalisables ?
La peur que le changement soit synonyme de détérioration, une peur profondément ancrée de devoir se priver, et la peur de devoir renoncer à ses privilèges ou à sa liberté sont présentes. Il y a une attitude complaisante et peu charitable chez les privilégiés, selon laquelle « moi, ça va, merci. Pourquoi changer ? » Cela soulève deux questions pertinentes auxquelles le grand public devrait trouver des réponses afin d’aller de l’avant : ces visions utopiques sont-elles bénéfiques pour tous, y compris pour les personnes économiquement privilégiées ? Et, si oui, sont-elles réalisables pratiquement ?
On peut trouver des réponses convaincantes à ces questions dans les Enseignements de la Sagesse éternelle, ainsi que dans des politiques avant-gardistes, en particulier celles présentées dans le Rapport Brandt, qui illustrent comment une société qui instaure un partage équitable des ressources et la coopération devient beaucoup plus efficiente. En abandonnant la compétition, la confrontation, la division et l’appât du gain, les gens se sentent beaucoup plus heureux, en sécurité, et jouissent de davantage de temps de loisirs. De telles sociétés sont décrites par exemple dans Operation survival Earth [non traduit en français] de Stefan Denaerde, A l’intérieur des vaisseaux de l’espace de George Adamski et Du Banal au magnifique de Vera Stanley Alder (récits cités par la revue Partage international et authentifiés par Benjamin Creme.
Pour ceux qui sont familiers des Enseignements de la Sagesse éternelle, l’idée que l’univers entier est plein de vie (et de formes de vie humaine similaires à la nôtre) et que nous, sur la planète Terre, ne sommes pas la civilisation la plus avancée, n’est pas surprenante. Si nous examinons les descriptions de civilisations avancées, il est intéressant de constater que, au-delà de leurs particularités, elles sont toutes basées sur les mêmes valeurs humaines et spirituelles, et le principe sous-jacent de l’« unité dans la diversité ».
Loin d’être un fantasme vague ou mystique, une utopie peut se définir comme « un lieu, un état ou une condition qui sont parfaits sur les plans de la politique, des lois, des coutumes et des conditions sociales ». Cela ne signifie pas que tous les gens y sont parfaits (ou « illuminés »), mais que le système l’est : il favorise l’épanouissement de toute vie et crée les circonstances favorables au développement spirituel de chacun et à l’approfondissement de leur connaissance de l’univers et des lois de la vie. Il n’est pas statique. Il accélère le voyage spirituel vers la « perfection », même si, comme le savent les ésotéristes, l’évolution de la conscience n’a pas de fin et le concept de perfection est donc relatif.
L’efficience de la justice
Dans Operation Survival Earth, l’auteur Stefan Denaerde [pseudonyme d’Ad Beers], un homme d’affaires réputé, raconte comment le yacht dans lequel il naviguait avec sa famille s’est échoué dans la mer du Nord sur un ovni immergé dans lequel, pendant quelques jours, il a eu des conversations avec les membres de l’équipage qui provenaient d’une planète appelée Larga. Ils lui ont expliqué qu’une utopie n’est que la vision d’une « super-civilisation » où règnent la liberté, la justice et l’efficience, où « grâce à des valeurs morales correctes, les gens se libèrent de leur égoïsme et deviennent inoffensifs pour leurs semblables ». Les merveilleuses descriptions de l’habitat, des transports publics et des infrastructures sur Larga brossent le tableau d’une société hautement efficiente et socialement stable, dans laquelle les gens sont libérés du matérialisme car les besoins de chacun sont satisfaits. C’est ce qu’on appelle « l’efficience de la justice ».
Il ne s’agit pas de communisme comme on l’a vu en Union soviétique, un système dont le défaut majeur résidait dans le fait qu’il était imposé au peuple, et où la justice existait au détriment de la liberté. Les mécanismes de contrôle ont entraîné la corruption, la démoralisation et l’indifférence, et une grande partie du potentiel et de la créativité des habitants n’était pas utilisée. La vie sur Larga est également beaucoup plus efficiente que notre système capitaliste (dans lequel la liberté se fait au détriment de la justice). Un membre de l’équipage, s’adressant à S. Denaerde, a déclaré : « Dans une économie totalement libre, c’est la loi de la jungle – la survie du plus fort et le maintien du statu quo dans l’équilibre des forces, qui nécessite l’usage des forces militaires. » (Une parenthèse illustrant notre inefficience : selon l’Onu, les pays « développés » pourraient mettre un terme au problème de la faim avec seulement 10 % de l’argent qu’ils consacrent à leurs dépenses militaires).
« Par l’automatisation et la limitation de la capacité de production [dans les limites de l’écosystème], on vise une prospérité maximale. Cette prospérité est ensuite équitablement partagée par tous, ce qui crée une sécurité totale. » La convoitise et la cupidité disparaissent. Les membres de l’équipage ont affirmé que « l’instauration d’une vraie justice » sur la Terre permettrait de décupler notre prospérité. (Autre parenthèse : selon la FAO, 50 % de tous les légumes et fruits produits sur la planète sont gaspillés.)
Sur Terre, de nombreuses entreprises similaires se livrent une concurrence féroce, chacune faisant sa propre recherche et développement, son propre marketing, etc. Sur Larga, deux organisations mondiales de consommateurs sont responsables de toutes les études de marché et informent le public des meilleures manières de fabriquer les produits nécessaires. Ensuite, quelques grandes entreprises, dont les présidents sont choisis démocratiquement, organisent la production. C’est simple et efficace ; on a besoin de beaucoup moins d’ouvriers et personnels divers, et les gens ne « travaillent » qu’un jour par semaine ! C’est la fin de l’aliénation du travail. Sur Larga, de nombreuses professions n’existent pas, ou n’interviennent pas dans le processus de production comme chez nous : les banques, les assurances, la bourse, les avocats, les agences de publicité et de relations publiques, les bureaux des impôts, les comptables, les consultants, les ministères, les armées et toute l’industrie de l’armement.
Les entreprises n’ont pas le droit d’influencer les consommateurs. Selon eux, notre modèle de publicité est une forme de propagande éthiquement inacceptable et une atteinte au libre arbitre. Dans une société socialement stable, chacun jouit non seulement de la liberté d'expression, mais encore de la liberté de forger sa propre opinion. L’obsolescence programmée des produits dans l’objectif de maximiser les profits est également inacceptable. Sur Larga, « les biens de consommation sont d’une très haute qualité, car leur réparation, ou leur remplacement, sont non seulement coûteux mais sont aussi un exemple de grande inefficience. » Un autre objectif est de faire travailler les gens de leur domicile, au lieu de déplacer tous les employés vers leur lieu de travail dans des transports publics bondés qui les dépriment et les rendent malades.
La prospérité pour tous élimine le désir de propriété personnelle, au profit d’un sentiment de propriété collective, dans lequel les gens acquièrent un droit d’usage équitable. L’absence d’argent simplifie la société et l’absence de frontières artificielles permet aux gens de voyager librement.
L’interdépendance de toutes choses
Dans À l’intérieur des vaisseaux de l’espace, l’auteur George Adamski raconte comment il a été invité à bord de vaisseaux extraterrestres pour s’entretenir avec les membres des équipages. On lui a montré ce qu’est la vie sur Vénus (dont les habitants se trouvent sur les plans éthériques de la matière, visibles uniquement pour ceux qui ont la « vision éthérique », selon les Enseignements de la Sagesse éternelle). Ses conversations avec un Maître vénusien lors d’un de ces voyages sont particulièrement inspirantes : « Vous, hommes de la Terre, vous appelez continuellement le désastre en créant des combinaisons qui s’opposent les unes aux autres au lieu de travailler ensemble. […] Un esclavage qui est le résultat de siècles d’incompréhension, de divisions et de soif personnelle de pouvoir est difficile à briser. […] C’est seulement quand un nombre d’hommes suffisant réalisera ce qu’ils sont et qu’avec tout leur cœur ils désireront changer en abandonnant leurs activités personnelles et leur désir de briller l’un par rapport à l’autre, que le changement s’effectuera. […] Nous, des autres mondes, n’avons pas de telles divisions. Nous réalisons la parenté et l’interdépendance de toutes choses. »
Le Maître vénusien décrit l’être humain comme une manifestation éternelle dans un univers aussi vaste que l’éternité. « Et ceux de nous qui ont appris cette vérité vivent dans un continuel présent, car c’est toujours le présent. »
Les habitants de Vénus peuvent s’habiller et faire beaucoup de choses comme nous les faisons ; mais eux, connaissent leur vraie nature, ils savent qui ils sont. « Depuis que nous avons appris que la vie comprend tout et que nous sommes cette vie, nous savons que nous ne pouvons rien détériorer sans nous détruire nous-mêmes. […] Il y a une loi naturelle d’équilibre à laquelle nous restons fidèles. » Voilà qui est très différent de notre objectif de croissance économique constante qui exclut et aliène l’homme.
Les Vénusiens ont montré à Adamski plusieurs villes de leur planète. Leurs rues étaient bien tracées et joliment bordées de fleurs de toutes les couleurs. « J’avais l’impression d’avoir été transporté dans un pays féérique. Les structures étaient belles. Beaucoup avaient des dômes irradiant les couleurs du prisme d’où semblait émaner une force revivifiante. La nuit, […] les couleurs s’estompent et les dômes deviennent lumineux, d’une douce lumière jaunâtre. Toutes les cités étaient disposées en cercle ou ovale. Entre ces communautés concentriques, il y existait encore beaucoup de territoires inhabités. Dans les rues des cités les gens semblaient vaquer à leurs occupations comme ici sur la Terre, à l’exception près qu’ils semblaient détendus, tranquilles, comme cela est rarement le cas chez nous. »
Bien que nous, sur Terre, ayons une compréhension limitée de la vie, de la composition de l’univers, des autres mondes et de nous-mêmes, de nombreuses personnes montrent un désir croissant et sincère de mieux comprendre. Le Maître vénusien explique : « Le but de la vie sur les autres mondes est le même que le vôtre. Il y a chez les êtres humains de tous les mondes une aspiration profonde à quelque chose de plus haut. Nous, qui avons déjà emprunté le sentier que vous parcourez, nous pouvons vous aider et partager nos connaissances, du moins avec ceux qui voudront les accepter. »
Une meilleure compréhension de notre nature spirituelle et de notre place dans le grand ordre des choses nous permet de mieux maîtriser les lois de la nature. Bien que les civilisations avancées utilisent une technologie très évoluée, celle-ci n’est jamais dominante, elle n’est pas la priorité. La priorité est de vivre en harmonie avec la nature, car ces civilisations ne se considèrent pas comme séparées de la nature. Concernant la technologie qu’ils utilisent pour les voyages dans l’espace, l’annulation de la gravité et le fait de tirer de l’énergie de l’éther, le Maître Vénusien a déclaré : « Nous vous transmettrions volontiers ces connaissances, mais vous n’avez pas encore appris à vivre les uns avec les autres dans la paix et la fraternité, pour le bien-être de tous, comme nous l’avons appris sur les autres mondes. […] Si nous vous révélions cette technologie, quelques-uns des vôtres bâtiraient rapidement des vaisseaux pour voyager dans l’espace, ils y installeraient des canons et partiraient à la conquête des autres mondes. »
Nous pouvons déjà trouver quelques réconforts dans l’idée que l’aide de nos frères de l’espace et leurs connaissances sont disponibles, pour le jour où nous aurons commencé à mettre de l’ordre sur notre planète et aurons atteint un certain degré d’innocuité.
Dans la deuxième partie de cet article, nous parlerons d’une étape importante dans ce processus : le rapport Brandt.
Taxer les super-bénéfices des grandes compagnies pétrolières
par Jake Johnson,
Le 15 novembre 2022, plus de 30 grands médias, issus de pays de presque tous les continents, ont publié un éditorial appelant les gouvernements à imposer une taxe sur les bénéfices exceptionnels aux géants des combustibles fossiles qui ont fait fortune alors que les nations pauvres sont confrontées à des impacts climatiques dévastateurs et que les populations du monde entier luttent pour chauffer leur maison, nourrir leur famille et payer leur loyer.
« Il est temps d’instaurer, au strict minimum, un impôt exceptionnel sur les bénéfices – estimés à près de 100 milliards de dollars au cours des trois premiers mois de l’année – réalisés par les plus grandes compagnies pétrolières et gazières », peut-on lire dans cet éditorial, publié par The Guardian au Royaume-Uni, The Nation et Rolling Stone aux États-Unis, The Hindu en Inde, Camunda News en Angola, El Espectador en Colombie et des dizaines d’autres publications.
« Les Nations unies demandent à raison que l’argent soit utilisé pour soutenir les plus vulnérables. Mais, un tel prélèvement ne serait qu’un début, poursuit l’éditorial. Les nations pauvres ont également des dettes qui les empêchent de se relever après des catastrophes liées au climat ou de se protéger contre de futures catastrophes. Les créanciers devraient se montrer généreux en annulant les prêts accordés à ceux qui sont en première ligne de l’urgence climatique. »
Des dizaines de médias de plus de 20 pays ont lancé cet appel conjoint alors même que les dirigeants du monde entier se sont réunis en Égypte pour la COP27 et que les responsables des pays les plus riches sont à Bali pour le tout dernier cycle de négociations du G20.
L’incapacité des nations riches comme les États-Unis, le Royaume-Uni et le Canada à respecter leurs engagements en matière de « réparation des dommages » envers les pays pauvres qui subissent les pires conséquences de la crise climatique a été au cœur de la COP27. Les dirigeants des petits pays insulaires et le secrétaire général des Nations unies ont fait valoir qu’on pourrait utiliser une taxe sur les bénéfices exceptionnels des grands pollueurs à l’origine des émissions responsables du réchauffement de la planète pour financer une aide climatique indispensable.
« Les producteurs de combustibles fossiles ont bénéficié de profits exorbitants aux dépens de la population humaine, a déclaré Gaston Browne, premier ministre d’Antigua, dans un discours prononcé le 8 novembre 2022. Pendant qu’ils profitent, la planète brûle. »
Si certains pays, dont le Royaume-Uni, ont imposé des taxes exceptionnelles aux géants du pétrole et du gaz, elles ont jusqu’à présent été limitées et n’ont eu qu’un impact minime sur les entreprises de combustibles fossiles telles que Chevron, Exxon, Shell et BP, qui continuent d’afficher des bénéfices records alors que la population du monde entier doit faire face à des prix élevés à la pompe.
Au cours de la présentation des résultats du mois dernier, les dirigeants de Shell ont révélé que la société n’avait pas encore payé d’impôt exceptionnel au Royaume-Uni, malgré leurs bénéfices faramineux de l’an dernier.
La position de The Guardian sur la crise climatique
Il est temps d’agir
Le changement climatique est une urgence mondiale qui exige la coopération de toutes les nations. C’est pourquoi The Guardian s’est associé aujourd’hui à plus de 30 médias dans plus de 20 pays pour présenter une vision commune sur la marche à suivre pour empêcher la planète de se diriger vers le point de non-retour, – alors que le chaos climatique devient irréversible.
A l’ouverture de la COP27, le secrétaire général des Nations unies, António Guterres, a exhorté « tous les gouvernements à taxer les bénéfices exceptionnels des entreprises de combustibles fossiles et à rediriger cet argent vers les personnes qui luttent contre la hausse des prix de la nourriture et de l’énergie et vers les pays qui subissent des pertes et des dommages causés par la crise climatique.
Les impacts mortels du changement climatique sont ici et maintenant. Les pertes et les dommages ne peuvent plus être mis sous le tapis. Il s’agit d’un impératif moral. C’est une question fondamentale de solidarité internationale – et de justice climatique. Ceux qui ont le moins contribué à la crise climatique récoltent le tourbillon semé par d’autres. L’éditorial publié par les principaux médias le 15 novembre fait écho à ce message, en notant que « les populations les plus pauvres du monde supporteront l’essentiel des destructions causées par la sécheresse, la fonte des calottes glaciaires et les mauvaises récoltes.
Pour mettre ces groupes à l’abri des pertes de vies et de moyens de subsistance, il faudra de l’argent, précise l’éditorial. Les pays en développement, selon un rapport qui fait autorité, ont besoin de 2 000 milliards de dollars par an pour réduire leurs émissions de gaz à effet de serre et faire face à la dégradation du climat.
Les pays riches ne représentent qu’une personne sur huit dans le monde actuel, mais sont responsables de la moitié des gaz à effet de serre, poursuit l’éditorial. Il est de la responsabilité évidente de ces nations de leur venir en aide. Les nations en développement devraient recevoir suffisamment d’argent pour s’attaquer aux conditions menaçantes qu’elles n’ont guère contribué à créer – surtout à l’approche d’une récession mondiale. »
QUESTIONS-RÉPONSES DE BENJAMIN CREME (EXTRAIT)
Pourriez-vous expliquer les catastrophes dites « naturelles », telles que les tremblements de terre et autres ? Pourquoi sont-elles si nombreuses ? (Entretien radio diffusé le 23 juin 1993 à Détroit, aux États-Unis)
Le déséquilibre de notre monde est la conséquence de nos formes-pensées destructrices, de nos comportements destructeurs. Ainsi, nous continuerons de subir un nombre croissant de tremblements de terre aussi longtemps que nous procèderons à des explosions nucléaires souterraines. C’est inévitable, et nous en portons la responsabilité.
Je ne dis pas que nous sommes responsables de tous les tremblements de terre, mais, de nos jours, la grande majorité d’entre eux résultent directement de ces explosions nucléaires souterraines soi-disant contrôlées. Elles provoquent presque inévitablement un séisme quelque part dans le monde.
Mais ce n’est pas le seul effet de nos pensées et actions erronées : elles influencent aussi le temps qu’il fait. Tout dans la nature est interconnecté. Les formes-pensées destructrices de l’humanité s’opposent et, pour ainsi dire, détruisent l’équilibre des forces élémentales qui veillent sur les grandes tendances climatiques. C’est pourquoi nous voyons se produire partout dans le monde de si extraordinaires épisodes météorologiques. Dès que nous retrouverons notre équilibre, dès que nous ferons régner la paix et la justice – et par conséquent l’harmonie – dans le monde, les élémentaux eux-mêmes s’équilibreront à leur tour, et les tendances climatiques retrouveront leur rythme d’antan.
En est-il de même pour les inondations qui se produisent actuellement dans les Etats du Mississipi et du Missouri ?
Les inondations, les séismes, les pluies torrentielles, les ouragans et les épisodes climatiques hors-saison, tout cela a toujours existé, mais jamais avec une telle intensité et une telle fréquence. Tout cela résulte directement des formes-pensées destructrices de l’humanité. Il nous faut reconnaître ici la grande loi de cause et d’effet. Chacune de nos pensées, chacune de nos actions détermine une cause qui affectera négativement ou positivement notre propre vie.
Alors notre conscience change réellement le monde ?
Ce qu’affirme Maitreya, c’est que l’harmonie de notre monde intérieur détermine l’harmonie de notre environnement. La disharmonie du monde vient de notre propre déséquilibre intérieur : c’est pourquoi nous sommes en train de détruire notre planète.
Restaurer notre environnement sera une priorité dans le monde, juste après le retour de la paix et la fin de la malnutrition dont souffrent des millions de personnes. Si nous ne restaurons pas notre environnement, notre planète ne pourra pas survivre.
Toutes ces choses sont donc connectées ?]
Nous finirons par nous rendre compte que ce que nous appelons Dieu, la nature, l’humanité, ne sont qu’une seule et même chose. Vous ne pouvez pas nuire à un seul aspect de vous-mêmes ou de l’environnement sans nuire à l’ensemble. Nous devons entretenir notre foi et le sentiment que Dieu et l’humanité sont toujours étroitement reliés. Cette interconnexion entre Dieu et l’homme détermine le besoin de paix, de justice, et la nécessité absolue de remédier aux problèmes qui affectent toute l’humanité.
Tout ceci témoigne de l’élévation de la conscience, et je suppose que ce n’est pas dans nos églises que nous trouverons une telle hauteur spirituelle.
Maitreya dit : « Il n’est qu’un lieu où vous pouvez me trouver, et c’est dans votre cœur. Là je demeure toujours, pourvu que vous soyez détachés. » Il affirme donc bien qu’il est toujours avec vous : « Cherchez-moi dans votre cœur. » Il ajoute : « Cherchez-moi dans les lieux sombres où la faim et les conflits abondent. Je suis partout où les gens souffrent. » Il est venu nous aider à mettre fin à la souffrance de l’humanité parce qu’il est le Seigneur de l’Amour. Il est le serviteur de toutes les âmes souffrantes car il vient restaurer le bonheur dans le monde. Maitreya signifie bonheur, « le bienheureux », celui qui apporte le bonheur au monde.
La nuit dernière, j’ai eu l’impression de vous interviewer dans mon sommeil. Vous aviez l’air vraiment là, vous et Maitreya. C’est bien la première fois que je fais une interview en rêve.
Et c’est bien ainsi que Maitreya apparaît : dans les rêves le plus souvent, et comme une forme-pensée que les gens peuvent reconnaître. Il peut aussi apparaître comme une vision d’une certaine sorte, pas vraiment matérielle, mais pas entièrement onirique non plus. Enfin, il apparaît à certains individus et groupes sous des formes réellement physiques et variées : c’est de cette façon miraculeuse qu’il apparaît en personne à des groupes fondamentalistes, par exemple.
Que faire contre les préjugés, la colère, la haine ?
Ils représentent le côté tragique de la condition humaine, car ils proviennent du plan de l’illusion et, surtout, nous nous identifions à eux – c’est-à-dire à des aspects erronés de nous-mêmes. Bien sûr, certains s’identifient en tant qu’aspect de leur âme immortelle, comme le font les grands êtres divins. Mais la plupart d’entre nous nous identifions avec notre corps, nos émotions, notre mental, qui ne sont que ce que nous appelons des véhicules au moyen desquels l’âme s’exprime sur le plan physique. Nous nous identifions avec nos colères, nos peurs, nos haines, notre jalousie, etc. comme autant d’extensions de ces véhicules. Or nous ne sommes rien de tout cela. Nous devons nous identifier avec notre âme, qui est le véritable reflet de Dieu, et, derrière elle, avec le Soi. Alors disparaissent la colère, la haine, la peur, et toutes les autres illusions du plan astral.
Qu’en est-il de la représentation que nous nous faisons du paradis et de l’enfer ?
Eh bien, Jésus l’a affirmé : « Le Royaume des Cieux est à l’intérieur de vous. »
Autres articles dans ce numéro de la revue
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- De l'énergie en abondance.
- Vanessa Kagate fustige les dirigeants mondiaux.
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- Courrier des lecteurs.
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- Un regard synthétique sur les transformations politiques, économiques et sociales qui se déroulent sur la planète.
- Des témoignages d’actions concrètes visant à reconstruire notre monde dans le sens du partage, de la justice et de la fraternité.
- Des informations sur la présence dans le monde de Maitreya et des Maîtres de Sagesse, et sur les signes qui accompagnent leur venue.
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