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Infolettre de juillet/août 2021- Deuxière partie
POUR VISIONNER LES REPRISES DE L'UNE OU L'AUTRE DES CONFÉRENCES VIRTUELLES PRÉSENTÉES EN 2020 ET 2021
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LES LEÇONS DE LA PANDÉMIE
Le 28 mai 2021, invité de l’émission The Mehdi Hasan Show sur Peacock,  l’écrivain Anand Giridharadas a exposé certains enseignements de la pandémie en se demandant si la « mémoire collective » de la crise obligerait le gouvernement et les citoyens américains à investir de manière significative dans les infrastructures de soins, à poursuivre une « véritable justice raciale » et à adopter une approche des soins de santé efficaces qui privilégie la sécurité mondiale plutôt que le profit des entreprises. « Actuellement le désespoir pourrait nous gagner », a-t-il déclaré alors que l’on recensait 600 000 victimes de la Covid aux Etats-Unis.
 
« Mais, dans des moments comme celui-ci, on peut élargir le champ des possibles. Selon moi, nous avons appris depuis le début des confinements que la garde des enfants est une charge collective à partager ; à quel point il peut être difficile de travailler, en particulier pour les femmes, et à quel point nous marginalisons l’intelligence féminine, tant que nous faisons de la garde des enfants un produit de luxe.
 
Nous avons appris que nous ne sommes en bonne santé que dans la mesure où la personne qui se trouve à côté de nous l’est aussi, et que si elle n’a pas accès aux soins, nous en pâtissons tous, a-t-il poursuivi. Nous avons appris, dans le même temps, qu’il n’y a pas de grand facteur égalisant, pas même les virus – que l’inégalité est une condition préexistante, et que les virus, comme tant d’autres catastrophes, frappent les gens en fonction de leur position sociale.
 
Nous avons appris que le travail n’était pas adapté aux travailleursNous avons appris que la machine à broyer hyper-capitaliste a appauvri nos relations, nous laissant si peu de temps à la fin de la journée […]. Que lorsque nous laissons les monopoles accaparer tous les marchés, nous devenons vulnérables aux pénuries et aux problèmes d’approvisionnement autrefois connus en Union soviétique – même si les propriétaires de ces monopoles profitent de la crise. »
 
A. Giridharadas a ensuite évoqué les leçons tirées des manifestations Black Lives Matter (la vie des Noirs compte) déclenchées par les meurtres de George Floyd, Ahmaud Arbery, Breonna Taylor et d’autres. Il a également souligné qu’« il ne peut y avoir de démocratie sans une reconnaissance commune des faits » et qu’« une mobilisation mondiale du type de celle qui sera nécessaire pour lutter contre le changement climatique est possible.
 
Nous avons appris que la santé mentale est la base de la bonne santé ; que nous, aux Etats-Unis, avons souvent une compréhension enfantine de la libertéNous avons appris que nous avons besoin d’un filet de sécurité pour rattraper les gens, […] qu’un système qui favorise le bipartisme plutôt que la résolution réelle des problèmes finit par être inefficace et entraîner la mort de la démocratie.
 
Nous avons appris que les militants, que notre société refuse si souvent d’écouter – ceux qui nous interpellent – nous révèlent souvent des vérités difficiles à admettre sur le moment. La question qui se pose à nous maintenant est la suivante : Que ferons-nous de ces leçons ? »
 
Changement climatique : les compagnies pétrolières en proie aux attaques
par Mark Hertsgaard,
correspondant pour l’environnement et rédacteur en chef d’investigation à The Nation et cofondateur de Covering Climate Now. Il couvre le changement climatique depuis 1989, effectuant des reportages dans 25 pays et sur une grande partie des Etats-Unis.
Shakespeare avait peut-être tort de dire, dans Henry VI : « Pour commencer, tuons tous les avocats. » Hier, aux Pays-Bas, des avocats ont gagné un procès historique contre la compagnie pétrolière Royal Dutch Shell, dont les implications seront profondes pour désamorcer l’urgence climatique. Le tribunal a ordonné à Shell d’aligner ses activités mondiales sur l’objectif de l’accord de Paris, qui consiste à limiter l’augmentation de la température à 1,5 degré Celsius. Pour ce faire, Shell devra réduire d’ici à 2030 ses propres émissions de gaz à effet de serre et celles de ses clients de 45 % par rapport aux niveaux de 2019.
Procès historique et révolte des actionnaires
Conjuguée à la révolte des actionnaires qui exigent d’ExxonMobil et de Chevron qu’ils prennent des mesures plus énergiques en faveur du climat, la décision de la justice néerlandaise a fait du 26 mai 2021 l’une des plus grandes informations climatiques depuis des années.
 
A la suite du rapport historique de l’Agence internationale de l’énergie publié la semaine dernière, qui déclare que toute nouvelle exploitation de combustibles fossiles doit cesser pour que la planète évite une destruction irréversible du climat, ces événements constituent un rejet écrasant du comportement de longue date des grandes compagnies pétrolières selon lequel leurs profits comptent plus que la survie de la civilisation.
Le cas des Pays-Bas est particulièrement remarquable, pour trois raisons. Premièrement, « parce que c’est la première fois qu’un juge ordonne à une grande entreprise polluante de se conformer à l’accord de Paris sur le climat », a déclaré au Guardian Roger Cox, avocat des Amis de la Terre Pays-Bas, qui a porté l’affaire devant les tribunaux avec 17 000 autres plaignants. Deuxièmement, parce que le juge a estimé que la réduction des émissions avait la priorité sur le préjudice commercial que Shell subirait de ce fait. Enfin, troisièmement, et peut-être le plus important, Shell doit réduire non seulement ses émissions directes, c’est-à-dire les gaz emprisonnant la chaleur qu’elle libère lorsqu’elle fore, raffine et commercialise le pétrole, mais aussi ses émissions indirectes, c’est-à-dire les gaz que des millions de clients dans le monde entier libèrent lorsqu’ils utilisent l’essence et d’autres produits Shell. [...]
 
 
2021 : année qui compte pour les plus pauvres
par Jonathan Farr,
analyste politique principal à l’organisation caritative WaterAid basée au Royaume-Uni.
Londres, Royaume-Uni – Cette année est considérée comme une année charnière pour le changement climatique. Non seulement parce que nous atteignons un point de non-retour en ce qui concerne l’augmentation de la température mondiale, mais aussi parce que la 26e conférence des parties des Nations unies sur le changement climatique – communément appelée COP26 – doit se tenir en novembre à Glasgow, en Ecosse.
La COP26 est largement considérée comme la dernière chance pour les gouvernements de lutter contre la catastrophe climatique mondiale. A la lumière de la pandémie, le sommet offrira aux dirigeants du monde entier l’occasion de ré-imaginer comment leurs pays peuvent rebondir avec des économies plus vertes et durables. Ce sera également la première fois que les signataires de l’accord historique de Paris se réuniront tous ensemble. Adopté par près de 200 nations en 2015, cet accord les oblige légalement à limiter la hausse de la température mondiale à moins de 2°C.
A juste titre, à l’approche de la COP26, l’accent est mis sur le suivi des progrès réalisés par les signataires en vue d’atteindre ces objectifs, car il est indéniable que l’absence de réduction des émissions entraînera des impacts climatiques cataclysmiques. Cependant il faut signaler que pour des millions de personnes, le changement climatique n’est pas une menace dans un avenir lointain, mais une réalité à laquelle ils sont confrontés dès maintenant.
Et même si l’accord de Paris a été salué comme un moment d’unité en proposant une feuille de route mondiale pour affronter l’un des plus grands défis de notre temps, le terrain de jeu pour faire face au changement climatique n’est pas du tout équitable. Ce sont les communautés vulnérables des pays les plus pauvres du monde, qui ont le moins contribué à l’urgence climatique, qui en subissent les graves conséquences. Prenez le Mozambique, dont les émissions de CO2 en 2017 se chiffraient à 7,7 millions de tonnes. La même année, le Royaume-Uni a rejeté 379 millions de tonnes de CO2, soit 50 fois plus1. Pourtant, en 2018, Maputo, la capitale du Mozambique, a failli manquer d’eau après trois années de sécheresse. Et un an plus tard, le pays a connu des inondations sans précédent, généralisées et dévastatrices.
 
LA VOIX DES PEUPLES
 
Cette rubrique est consacrée à une force en plein développement dans le monde. La voix du peuple ne cessera de s’amplifier jusqu’à ce que, guidés par la sagesse de Maitreya, les peuples conduisent leurs gouvernements à créer une société juste dans laquelle seront respectés les droits et les besoins de tous.
 
Manifestations en faveur de la Palestine 
 
Des manifestations de soutien à la Palestine ont eu lieu dans des villes du monde entier pendant les week-ends de mai 2021, notamment en Australie, en Afrique du Sud, en Nouvelle-Zélande, en Somalie, en Espagne, en Iran et en Bosnie-Herzégovine.
 
Le 22 mai, environ 180 000 personnes ont défilé à Hyde Park, à Londres, lors d’une manifestation dont les organisateurs, Palestine Solidarity Campagne, avaient décidé qu’elle aurait lieu malgré l’annonce d’un cessez-le-feu la veille. Treize Israéliens et plus de 250 Palestiniens ont été tués en onze jours, et de nombreux autres ont été blessés ou déplacés.
La manifestation pacifique a rassemblé des personnes de tous âges, dont de nombreux jeunes qui défilaient pour la première fois, peut-être poussés par le fait qu’environ 68 enfants palestiniens ont été tués par les bombes israéliennes sur Gaza. Les médias sociaux ont permis à un plus grand nombre de personnes d’avoir accès aux informations sur le conflit et de vouloir en savoir plus. Les manifestants individuels ont été rejoints par des syndicats, la coalition Stop the War (Arrêter la guerre) et des groupes religieux, notamment juifs.
Outre un cessez-le-feu immédiat, les manifestants au Royaume-Uni ont exigé la fin de l’occupation israélienne et des expulsions, et ont demandé à leur gouvernement d’appliquer des sanctions et de cesser de fournir des armes à Israël. S’adressant à la foule à Hyde Park, l’ancien ministre de l’Economie du cabinet fantôme (gauche), John McDonnell, a salué le cessez-le-feu, mais a déclaré : « Le message est clair : nous ne cesserons pas notre campagne de soutien tant que justice ne sera pas faite. Alors disons-le clairement, pas de justice, pas de paix. »
Plus de 90 manifestations ont eu lieu aux Etats-Unis, également le week-end du 22 mai, au cours desquelles des manifestants se sont insurgés contre ce qu’ils considèrent comme l’usage disproportionné de la force et des bombardements aveugles de la part d’Israël. Pam Spees, avocate spécialisée dans les droits humains, a participé à une manifestation à New York « parce que la situation des droits de l’homme des Palestiniens est insupportable ». Dana Barqawi, 33 ans, a rejoint le cortège à Philadelphie et espère que les manifestations inciteront d’autres personnes à en apprendre davantage sur le conflit et à demander des comptes à leurs dirigeants.[...]
Source : The Independent ; The Guardian, Royaume-Uni
Ecosse : tant de petits gestes de gentillesse 
Deux cent habitants et militants du quartier de Pollokshields, à Glasgow, ont réussi à empêcher la détention de deux hommes par les services de l’immigration britanniques.
 Les deux ressortissants indiens avaient été réveillés lors d’un raid à l’aube qui fut largement condamné et qui par la suite fut critiqué pour avoir eu lieu pendant la fête musulmane de l’Aïd al-Fitr marquant la fin du ramadan. Ils ont été forcés de monter dans un fourgon qui fut rapidement encerclé par des manifestants qui l’ont empêché de démarrer. Les manifestants sont restés toute la journée en scandant « ce sont nos voisins, laissez-les partir et les réfugiés sont les bienvenus ici ». Finalement, la police a laissé les détenus rejoindre leur communauté.
Ces raids à l’aube s’inscrivent dans le cadre de la politique britannique d’« environnement hostile », largement critiquée. De son côté, la première ministre écossaise Nicola Sturgeon a déclaré sur Twitter : « Je suis fière de représenter une circonscription et de diriger une nation qui accueille et soutient les demandeurs d’asile et les réfugiés. »
Un militant, qui souhaitait rester anonyme et que l’on appellera donc simplement « Monsieur Fourgon », s’est glissé sous le fourgon de détention et y est resté pendant près de huit heures, les habitants lui passant de l’eau et des couvertures. Declan Blench, un voisin qui a entendu ce qui se passait dans sa rue, s’est précipité dehors. Décrivant comment il s’est assis derrière la camionnette pour l’empêcher de faire marche arrière, D. Blench ajouta : « Je n’ai jamais accompli d’actes de ce genre, alors j’étais assez nerveux. Mais chaque fois que je me retournais, je voyais de plus en plus de monde. »
Sophie, membre du No Evictions Network (réseau anti-expulsion), qui a mobilisé des militants dans toute la ville, décrit les événements comme « une journée vraiment spéciale avec tant d’actes de gentillesse » – des personnes partageant nourriture et boisson, des cafés et des riverains donnant accès à leurs toilettes.
L’avocat Aamer Anwar a participé à la manifestation, consterné par le fait que « le ministère de l’Intérieur ait agi ainsi le jour le plus sacré du calendrier musulman. » Lorsque les portes du fourgon s’ouvrirent, il annonça aux deux hommes : « Vous êtes libres grâce aux habitants de Glasgow. »
Source : The Guardian, Royaume-Uni
Slovénie : référendum sur la loi sur l’eau 
Les Slovènes voteront le 11 juillet 2021 pour des amendements apportées à la loi sur l’eau qui avait suscité la colère des écologistes, qui estimaient que cette législation ouvrait la voie à un développement accru des terres côtières. Un regroupement d’ONG écologistes et de gauche a recueilli bien plus que les 40 000 signatures requises pour organiser un référendum sur le développement des zones côtières qui, selon elles, serait une aubaine pour les investisseurs privés.
Les ONG ont dénoncé les amendements qui pourraient mettre en péril non seulement les eaux de surface mais aussi les eaux souterraines à long terme. Le gouvernement avait rejeté ces allégations comme étant exagérées, le ministre de l’Environnement, Andrej Vizjak, répétant que la législation accomplirait exactement le contraire de ce que les écologistes prétendent. Il a déclaré qu’elle apporterait plus d’argent pour l’entretien des voies navigables et réduirait les possibilités de construction dans les zones côtières. Les militants ont demandé si cela impliquait que tous les écologistes du pays étaient incultes et incapables de comprendre les termes de la loi.
Source : Agence de presse slovène
Ljubljana : manifestations massives 
Des milliers de manifestants sont descendus dans les rues de Ljubljana, en Slovénie, le 30 mai 2021, pour protester contre les décisions du gouvernement et réclamer des élections anticipées. Le rassemblement comprenait divers groupes et mouvements et était soutenu par les syndicats et certains partis d’opposition. La foule des manifestants a d’abord envahi la place Prešeren, puis a défilé dans les rues de la capitale. Des discours ont été prononcés et des spectacles musicaux ont été organisés.
Les représentants des principales associations syndicales du pays, du mouvement Friday Bicycle Protest (Protestations a vélo du vendredi), d’ONG et de personnes issues des milieux universitaires et culturels ont pris la parole pour critiquer ce qu’ils considèrent comme des mesures et des lois équivoques du gouvernement, soulignant le manque de dialogue social et la nécessité d’organiser des élections anticipées. Oto Luthar, directeur du Centre de recherche de l’Académie slovène des sciences et des arts, a souligné que la liberté, la démocratie, la solidarité et le système juridique étaient en danger. Tea Jarc, responsable du syndicat des jeunes Mladi Plus, a fait remarquer que la résistance n’émergeait pas seulement à Ljubljana mais dans toute la Slovénie. La manifestation a été baptisée Soulèvement pan-slovène pour une élection anticipée par les manifestants à vélo, qui ont déclaré, avant le rassemblement, que la réputation de la Slovénie était ternie. Ils estiment qu’une grande majorité de Slovènes est mécontente du travail du gouvernement et de l’état de la démocratie dans le pays. Avant le rassemblement, ils ont appelé à des manifestations pacifiques et demandé à la police présente en nombre de permettre aux manifestants d’exercer leurs droits de réunion et de revendiquer pacifiquement sans faire un usage excessif de la force. Amnesty International Slovénie et le Réseau juridique pour la protection de la démocratie ont supervisé les manifestations afin de détecter toute violation potentielle de ces droits.
Le chef du gouvernement slovène, Janez Janša, a quant à lui déclaré sur Twitter que la propagation de la Covid lors des grands rassemblements non autorisés était un crime, car plus de 300 infections ont été confirmées par jour et que la manifestation s’est tenue dans une région dont le niveau d’infections est le troisième plus élevé du pays. Il a ajouté que la liberté d’expression et le droit de réunion étaient des droits constitutionnels, mais qu’ils pouvaient être restreints par la loi en vertu de la Constitution.
Source : Agence de presse slovène
L'évolution de l'humanité
par Aart Jurriaanse,
(1907-2002) : auteur sud-africain qui a effectué des compilations des livres d’Alice Bailey. Il est l’auteur de Bridges (Ponts, non traduit) qui est un commentaire de ces enseignements.
L’histoire de l’humanité est beaucoup plus ancienne que ce qui est généralement admis. Les Enseignements de la Sagesse éternelle postulent qu’il s’est écoulé pas moins de 18,5 millions d’années depuis l’individualisation de l’homme-animal. L’article suivant est un bref résumé de certains des développements les plus significatifs de son évolution.
Il y a environ 21 millions d’années, l’homme-animal a fait son apparition sur la scène terrestre, en tant qu’espèce distincte du règne animal. Ces spécimens étaient encore dépourvus de mental et devraient donc être considérés comme des animaux, mais avec la constitution physique et l’apparence d’êtres humains primitifs.
Quelque 2,5 millions d’années plus tard, c’est-à-dire il y a 18,5 millions d’années, un groupe d’êtres venus d’autres schémas planétaires, en particulier de Vénus, vint sur Terre pour aider à éveiller le principe mental et conduire à l’individualisation de l’homme-animal. Ce groupe forma le noyau de ces Etres supérieurs qui furent par la suite connus sous le nom de Fraternité Blanche ou de Hiérarchie des Maîtres de Sagesse. [...]
Après un autre laps de temps de 1,5 million d’années, soit il y a environ 17 millions d’années, il fut décidé que des résultats plus efficaces seraient obtenus si les représentants de la Fraternité opéraient dans des corps matériels denses sur le plan physique, ce qui leur permettrait de servir de guides en contact direct avec la race en évolution. [...]
 
Une deuxième branche de la Fraternité s’est établie en Asie, donnant naissance, entre autres, aux lignées de Maîtres de l’Himalaya et de l’Inde du Sud.  [...]
Après une longue période de quelque trois millions d’années de lent développement, la plus grande partie de la Lémurie fut détruite par un séisme et disparut sous les mers, ne laissant émerger que quelques petites îles là où s’était trouvé un vaste continent. Certains membres de la race purent cependant survivre et devinrent les fondateurs de la future race atlante, qui naquit il y a environ 12 millions d’années.
Alors que la Lémurie se trouvait à l’ouest des Amériques, le continent de l’Atlantide était situé principalement à l’est de ce continent. Il comprenait une région aujourd’hui en grande partie recouverte par l’océan Atlantique, et s’étendait loin des Amériques vers l’Europe et l’Afrique du Nord.
L’étincelle du mental, premier attribut distinctif de l’âme, qui servit à faire passer les Lémuriens du règne animal au règne humain, resta longtemps quelque peu en sommeil. Au fil du temps, cet éveil progressif a produit des hommes conservant encore largement leurs tendances animales. Seules les formes primitives d’émotion, telles que le désir sexuel et la peur de la douleur physique, étaient déjà apparentes.​

La destruction de l’Atlantide

[...]​

L’éveil des principes du désir et de l’émotion indiquait l’approche de la phase atlante, lorsque l’homme ne se contenta plus de sa condition animale, restreinte au plan physique. En ces premiers temps de la Lémurie et de l’Atlantide, les masses primitives étaient dirigées par leurs rois-prêtres, assistés par des Adeptes (des Maîtres), des initiés et des disciples, les descendants directs de l’ancienne Fraternité Blanche, qui formaient alors la seule véritable source de conseils éclairés, tant sur le plan pratique que spirituel, émanant d’un intellect développé.
La Hiérarchie prit finalement la décision de retirer ses représentants du plan physique et de détruire l’Atlantide, y compris la majeure partie de sa population. Cet événement s’est produit par des convulsions cataclysmiques de la croûte terrestre et la submersion subséquente de la plus grande partie du continent.
​[...] 
 
 
[Pour plus d’information : www.bridges-publishing.deSource : Bridges, Aart Jurriaanse, non traduit
 
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  •  Des témoignages d’actions concrètes visant à reconstruire notre monde dans le sens du partage, de la justice et de la fraternité. 
  • Des informations sur la présence dans le monde de Maitreya et des Maîtres de Sagesse, et sur les signes qui accompagnent leur venue.
 
 
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