Le large échange d'expériences et d'informations est essentiel pour la mise en œuvre d'une promotion du chêne judicieuse en Suisse. En conséquence, l’envoie de la newsletter n’est plus réservé uniquement aux membres de l’association mais possible pour tous les intéressés au genre Quercus. Propriétaire de forêt, service forestier, recherche et administration – mais aussi les intéressés et amis du chêne profanes – seront informés sur les multiples facettes de cette essence, de sa culture et de son utilisation. Ce service de proQuercus est gratuit.

L'association proQuercus avec le soutien de la Fondation Audemars Piguet, de la manufacture horlogère du même nom, décerne en 2016 pour la septième fois le prix « Chêne 2200 ». Ce prix est attribué à des projets ou des activités contribuant directement à la conservation ainsi qu’à la promotion du chêne.

Une analyse des forêts du canton de Zurich montre que la sauvegarde des forêts riches en chênes dépend du maintien et de l’augmentation de la proportion de chêne dans le rajeunissement. La forte pression du gibier, la forêt pérenne en tant que mode de gestion pratiqué à de nombreux endroits, la concurrence d’autres essences et les investissements élevés ne sont pas très favorables à cet objectif. Dans son éditorial de la « Forêt Zurichoise » Stefan Studhalter, président de proQuercus, écrit : « Même si à long terme dans le canton de Zurich les changements climatiques vont favoriser la capacité concurrentielle en particulier du chêne sessile, un grand engament des propriétaires forestiers et du service forestier sera nécessaire dans un prochain avenir. »

 

Cette importante publication peut être téléchargée sur le site internet de ZüriWald (en allemand uniquement).[Lien]

A la demande de proQuercus, Denis Horisberger, ancien inspecteur des forêts dans le canton de Vaud et parfait connaisseur des chênes en Suisse, a rédigé une fiche technique sur l’identification des chênes. L’expérience acquise à partir de plus de 25 ans de travail sur le terrain et les résultats de l'analyse de milliers de feuilles de chêne sont présentés dans cette publication. L'objectif de cette fiche technique est de mettre à disposition de la pratique (et de la recherche !) un instrument, qui permet de déterminer à l'aide de seulement quelques critères d'observation – de la manière la plus simple possible – l’espèce de chêne. A l’aide d'analyses statistiques Denis Horisberger a déterminé les critères qui apportent la plus ample contribution à l’identification des espèces. Il s’agit de : (1) la relation entre la longueur du pétiole et la longueur du limbe, (2) le nombre des nervures intercalaires et (3) l’appréciation de la pilosité. Les réflexions de bases et la manière de procéder pour l'identification des espèces sont présentés en détail dans une fiche technique : un simple petit dépliant sert de « carnet de terrain » dans lequel sont notées les observations. Les deux instruments peuvent être téléchargés à partir du site internet de proQuercus.

 

proQuercus invite tous les intéressés à faire des expériences avec ces instruments et - afin d’en perfectionner l’approche – à les partager avec l’association.

 

L'identification des espèces de chêne. Fiche technique 06 proQuercus [Lien].

 

• Résumé simplifié

 

Publié dans: DIAGONALE - le Magazine du WSL, N° 2/16, page 20. [Lien]

 

 

Personne de contact: Christian Rellstab;  christian.rellstab@wsl.ch tel. +41 44 739 2542

 

Pour documenter votre cours, téléchargez la plus récente des fiches techniques proQuercus : « Forêts de chênes et biodiversité ». [Télécharger].

 

 

Bonfils, P.; Rigling, A.; Brändli, U.-B.; Brang, P.; Forster, B.; Engesser, R.; Gugerli, F.; Junod, P.; Müller, R.; Günthardt-Goerg, M.S., 2015: Le chêne face aux changements climatiques. Perspectives d'avenir d'une essence. Not. prat. 55: 12 S.

 

Spechte gelten aufgrund ihrer Habitatansprüche als gute Indikatoren für Waldlebensräume und deren Biodiversität. Der Mittelspecht ist in der Europäischen Union und in der Schweiz eine Zielart des Waldnaturschutzes. Nachdem der Bestand dieser Indikatorart im Kanton Zürich während mehrerer Jahrzehnte rückläufig war, hat er sich zwischen 2002 und 2012 wieder mehr als verdoppelt. Die Gründe dafür sind unklar. Eine Vermutung ist, dass die Verfügbarkeit von Efeubeeren, die von Mittelspechten gelegentlich gefressen werden, zugenommen haben könnte, was zum Wachstum der Population beigetragen haben könnte. Ausgehend von der Mittelspechtzählung im Kanton Zürich von 2012 wurde in acht Wäldern untersucht, ob sich die Verfügbarkeit von Efeubeeren an Orten mit Mittelspechtnachweisen von solchen ohne Nachweise unterschied. [Hier weiter lesen]

 

Auf der Waldbrandfläche oberhalb von Leuk (VS) etabliert sich ein neuer artenreicher Wald aus jungen Bäumen. Flaumeichen und Waldföhren werden den künftigen Wald im untersten Teil bilden. Der intensive Wildverbiss verhindert jedoch an vielen Orten das rasche Aufkommen der Eichen. [Hier weiter lesen]