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La transmission, une méditation de groupe 
 
La plus belle histoire depuis 2000 ans
 
Interview d'un bénévole lors d'un salon
    

     ÉMERGENCE
 Infolettre de janvier-février 2017  

 
     L'Épée de clivage en action
par le Maître-, par l'entremise de Benjamin Creme, septembre 2011 
 
« De temps à autre apparaît dans le monde une figure qui incarne ce qu’il peut y avoir de meilleur ou de pire chez les hommes. Pareil individu est voué à devenir le plus aimé ou le plus détesté d’entre eux. Dans un cas comme dans l'autre, il s’attire le plus souvent un grand nombre de partisans ou de fidèles. Un tel être exerce un attrait magnétique considérable sur la majorité de ses semblables, qu’il peut même parfois subjuguer par son immense pouvoir de destruction. Quelle que soit la nature de son action, il marquera l’histoire de son empreinte.
 
Aujourd’hui, nombreux sont les individus personnifiant le meilleur ou le pire qui se manifestent à travers le monde. Ceci a pour effet de présenter à l’humanité deux lignes d’action opposées, et de la confronter ainsi à un choix déterminant pour l’avenir de l’espèce humaine. En termes bibliques, c’est ce qu’on appelle « l’Epée de clivage ». Depuis de longues années, Maitreya, par les énergies qui émanent de lui et qu’il dirige vers le monde, s’efforce de provoquer cette confrontation des opposés. Certains pourront trouver cela étrange, mais il est essentiel que l’humanité fasse les bons choix pour son avenir. Sinon cet avenir serait des plus sombre.
 
L’Epée de clivage est l’énergie que nous appelons Amour : maniée par Maitreya, elle dresse « frère contre frère » et met partout à l’épreuve la véritable conscience divine des hommes. La finalité ultime de l’évolution est d’établir sur Terre le « Royaume de Dieu », et l’Épée de clivage montre la voie au genre humain.
 
Les enseignements de Maitreya sont simples. On pourrait croire ses priorités évidentes pour tous ; hélas, la réalité est tout autre. Maitreya brosse le tableau d’un avenir de quiétude et de paix qui naîtra inéluctablement d’une société de justice et de partage, de la création d’un monde « où personne ne connaît la privation, où tous les jours sont différents, où la joie de la fraternité se manifeste à travers tous les hommes ». Peut-être vous demanderez-vous comment on peut rejeter semblable message d’espoir : n’est-ce pas là l'avenir auquel nous aspirons tous ? C’est en tout cas celui dont rêvent la plupart des hommes, mais pas tous. A ce stade du processus évolutif, ils ne se trouvent pas tous au même niveau. Si au-delà d’un certain seuil l’avenir se présente pour eux sous de bons auspices, ceux qui n’ont pas encore atteint ce niveau de manifestation de leur Soi ne reconnaissent pas nécessairement que le partage est divin, que la justice et les relations justes le sont aussi : ils se représentent la divinité sous l’apparence de la compétition et du conflit, et jaugent la valeur d’un homme à l’aune de sa richesse.
 
Beaucoup vivent dans la peur et la souffrance ; sans travail et sans espoir d’une vie meilleure, ils luttent jour après jour pour survivre. Beaucoup d’autres prennent leur avenir en main, et souvent y perdent la vie. Dans le monde entier les hommes prennent conscience qu’une vie meilleure est possible, fondée sur la liberté et la justice. Soyez sans crainte : la voix des peuples s’élève, gagnant, par contagion, la Terre entière. Maitreya soutient ceux qui vivent — ou meurent — pour la liberté, la justice et l’unité du genre humain. Ce sont les jeunes qui montrent la voie : l’avenir leur appartient. »
 
Note de la rédaction
En cette période étrange le monde est polarisé entre des extrêmes apparemment irréconciliables. En même temps, l’humanité est une, et doit se voir comme telle : c’est pour elle la seule façon de combler le fossé et amorcer un processus de guérison. Cet article du Maître de Benjamin Creme révèle et illustre à la fois les problèmes et leur solution, et indique donc la direction à prendre.
 
 
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ACTIVITÉS DU RÉSEAU EN PLANIFICATION
POUR L'ANNÉE 2017 AU QUÉBEC
 
  - À Saint-Jean sur Richelieu, au Salon Colombe Blanche. les 18 et 19 mars 2017
     Animation d'un kiosque et conférence
 
 - À Gatineau, au Salon Colombe Blanche. les 1er et 2 avril 2017 
      Animation d'un kiosque et conférence
 
 - À Orford, au Salon Colombe Blanche. les 8 et 9 avril 2017
     Animation d'un kiosque et conférence 
 
 - À Beauport-Québec, au Salon Harmonie. les 18 et 19 mai 2017
     Animation d'un kiosque et conférence
 
 Automne 2017 (en planification)  
 
 - À Rouyn-Noranda, au Salon Colombe Blanche. les 16 et 17 septembre 2017 
      Animation d'un kiosque et conférence
 
 - À Thetford-Mines, au Salon Colombe Blanche. les 21 et 22 octobre 2017
     Animation d'un kiosque et conférence 
 
 - À Nicolet, au Salon Harmonie. les 4  et 5 novembre 2017
     Animation d'un kiosque et conférence 
 

Pour des informations complémentaires (à venir) :
www.partageinternational.ca/ac-kiosquesF.html
www.partageinternational.ca/ac-conferencesF.html
  

Conférences, salons et programmes de radio en Europe
Visitez
http://www.source77.net/agenda/index.html 
 
 

Le Plan Marshall, la plus belle réussite des États-Unis à ce jour 
 
Le rayon de l’âme des États-Unis est le 2e rayon d’Amour-Sagesse qui s’est manifesté de manière évidente, après la guerre, avec le plan Marshall qui est à ce jour la plus grande réalisation des États-Unis vis-à-vis du reste du monde. Ce n’est pas votre sens de la compétition, votre informatisation, votre conquête de la Lune et votre espoir d’atteindre un jour la planète Mars qui importent. Tout le monde accomplit plus ou moins les mêmes prouesses techniques. Les États-Unis le font à plus grande échelle, mieux et plus vite, parce que c’est un pays plus vaste et plus doué pour ce genre de choses. Mais tout cela n’a guère d’importance. Ce qui compte réellement, ce sont les justes relations humaines créées par une nation quelle qu’elle soit. [L’Art de la coopération (Benjamin Creme)]
 
Avec la pression du changement, il se produit inévitablement une réaction, un contrecoup, avec un mouvement vers la droite.

Il existe un puissant courant de type fasciste aux États-Unis, qui observe les événements et attend une occasion pour se manifester. Cette opportunité pourrait venir lorsque les changements auront pris une certaine importance, mais les tenants de ce courant découvriront que les éléments les plus instruits du public prendront alors des positions auxquelles ils ne s’attendaient pas. Ils prendront le parti du changement. Vous découvrirez alors que la qualité d’âme des États-Unis, qui est de deuxième rayon d’amour-sagesse, sera évoquée par Maitreya et agira comme elle l’a déjà fait après la Seconde Guerre mondiale avec le plan Marshall.
 
Le plan Marshall est sans aucun doute la plus grande réalisation de l’Amérique moderne. Malheureusement, il y fut mis un terme à l’issue de ses premiers résultats en Europe, et il fut remplacé par le plan de la CIA dont l’objectif était de conserver le statu quo, de déstabiliser les pays orientés à gauche et de maintenir les États-Unis en première position. La CIA est encore très puissante aujourd’hui, mais cela aussi aura une fin.
 
Lorsque Maitreya sera davantage accepté et que l’opinion publique sera galvanisée, ceux qui résistent au changement se découvriront bientôt minoritaires. Des millions d’Américains de bonne volonté se joindront à Maitreya pour réclamer le changement et la justice. Un nouveau type d’action du genre plan Marshall sera instauré pour sauver les millions d’êtres qui meurent de faim dans le monde. Un immense et spectaculaire programme d’aide tel qu’il n’en a jamais existé auparavant sera organisé et mis en œuvre par l’intermédiaire des agences des Nations unies. Cela aura un profond retentissement sur l’opinion mondiale, y compris aux États-Unis. Les opposants au changement seront de moins en moins nombreux, de plus en plus retranchés dans leurs bastions qui ne pourront pas résister bien longtemps aux décisions de la majorité. [Le Grand Retour (B. Creme)]
 

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Prochaines conférences
 
 Conférences à Londres 
Diffusion de la vidéo d'une conférence de Benjamin Creme, séance de questions-réponses par des co-workers et méditation de transmission : le 18 mars 2017 de 13 h 30 à 17 h. Friends House, 173 Euston Road, London NW1 (en face de la station Euston). Entrée libre.
  
Renseignements : Tél.00 44 20 7482 1113
  


Un revenu de base pour tous

Source : medium.com
 
Gar Alperovitz a connu une brillante carrière comme historien, économiste politique, militant, écrivain et membre du gouvernement1. Dans un récent article intitulé L’héritage technologique et le revenu de base, G. Alperovitz expose une nouvelle perspective historique qui, si elle était acceptée, transformerait l’idée d’un revenu de base pour tous en une simple question de bon sens. Il cite d’autres personnalités, certaines peut-être même inattendues, qui ont avancé cette idée sous une forme ou une autre : des individus allant des économistes conservateurs comme Milton Friedman (Prix Nobel d’économie), Martin Luther King, des féministes qui traitent des travaux ménagers, ou encore des militants pour les droits des Noirs qui sont face à une économie qui ne fournit tout simplement pas assez d’emplois pour des millions de personnes.
 
D’après G. Alperovitz, la justification principale d’un revenu de base peut s’exprimer comme suit : « Ce que la plupart d’entre nous reçoit comme revenu dépasse de très loin ce que nous pouvons prétendre être le résultat du « travail » que nous effectuons réellement. Une fois cette réalité pleinement prise en compte, la justification morale d’un revenu de base pour tous s’éloigne de ce qui est conventionnellement admis. Le point principal est la reconnaissance que la plupart des « revenus » sont des dons issus du passé. »
Sa thèse principale est que tout revenu est hérité et provient en fait du passé. « Une personne née à la fin du siècle actuel n’aura rien fait pour mériter cet énorme cadeau. Tout cela lui viendra comme un don du passé, principalement suite à l’accumulation des connaissances technologiques et scientifiques qu’elle reçoit simplement en naissant. »
 
Ce qu’une personne reçoit aujourd’hui ne provient pas de sa contribution individuelle. Il est évident qu’une personne qui travaille aujourd’hui produit, avec le même nombre d’heures de travail, beaucoup plus que quelqu’un qui utilisait la technologie des années 1800. La différence est principalement due aux avancées technologiques dont les bénéfices nous apparaissent comme un héritage libre (et dont la plus grande part est captée par les groupes à revenu élevé).
 
Si on accepte l’argument selon lequel une partie de nos revenus provient du passé, de cet « énorme excédent d’héritage technologique » alors une part importante de ces revenus devrait revenir à chacun d’entre nous simplement parce qu’il fait partie de la communauté humaine. Et si la source principale de la richesse moderne est un héritage collectif de la connaissance, alors, la distribution incroyablement inéquitable de cette richesse dans la société moderne est encore plus abominable et illogique.
G. Alperovitz cite Martin Luther King : « Je suis maintenant convaincu que l’approche la plus simple s’avérera la plus efficace ; la solution à la pauvreté consiste à l’abolir directement par une mesure désormais largement discutée : le revenu garanti. »
 
Gar Alperovitz poursuit : « On pourrait raisonnablement argumenter en faveur d’une obligation morale d’apporter une contribution à la société en échange de ces dons du passé. D’autre part, une société généreuse pourrait tout aussi bien affirmer que, par principe, personne ne devrait avoir faim ou vivre dans la peur et l’insécurité. Dans ce cas, une petite partie de ces dons issus du passé serait simplement allouée en faveur d’un revenu de base. »
 
Il est probable qu’une telle générosité finirait par revenir à la communauté sous une forme ou une autre. Mais dans ce contexte, un revenu de base pourrait également être considéré comme un dividende pour le travail non rémunéré qui incombe principalement aux femmes et aux pauvres, et qui n’est pas valorisé dans notre système économique.
 
« Le développement de l’une ou l’autre forme de revenu de base ne peut se substituer à la nécessité d’une transformation beaucoup plus profonde du système actuel qui est totalement inéquitable et écologiquement insoutenable. D’autre part, et indépendamment de la question de savoir si nous devons obliger les très pauvres  et surtout ceux qui s’occupent des enfants et des personnes âgées  à abandonner leurs occupations actuelles pour aller travailler ailleurs (s’ils arrivent à trouver un emploi), l’accumulation d’héritages technologiques et autres connaissances constituent un cadeau extraordinaire pour nous tous, qui, s’il est reconnu, peut aider à donner un sens et une forme à une société nouvelle, plus équitable, plus solidaire, plus généreuse et plus axée sur le bien commun en général . »

1 - Gar Alperovitz est auteur d’ouvrages (non traduits), notamment : Unjust Deserts : How the Rich Are Taking Our Common Inheritance (Des déserts injustes : comment les riches s’approprient notre héritage commun) (2008), Making a Place for Community : Local Democracy in a Global Era (Faire une place pour la vie communautaire : la démocratie locale à l’ère mondiale) (2003).
 

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Signes des temps  
 
Nous présentons ici des phénomènes qui, selon la rédaction (de Partage international), sont des « signes d'espoir » et des « signes des temps ». Heureusement nous disposons d'un fonds assez important de phénomènes confirmés par le Maître de B. Creme. Pour ce qui concerne le signes non confirmés à venir, nous avons l'intention de mener une enquête aussi poussée que possible pour chaque « miracle » ou « signe », que nous nous contenterons de vous soumettre, puisque nous ne disposerons plus des confirmations et explications fournies précédemment par le Maître de Benjamin Creme.
  
L'ère des miracles ne connaît pas de fin
 
Les miracles foisonnent, et continueront de stupéfier le monde ; quant aux prétendus experts qui tentent désespérément d'en nier l'existence, ils ne parviendront pas à réfuter ce que les hommes voient de leurs yeux. Grâce au regain d'espoir que susciteront ces manifestations, les hommes feront un rapprochement avec les sages paroles de Maitreya et ils suivront ses directives. [Un Maître parle, novembre 1995]
 

Photographies de janvier 2017 envoyées par Soho

Source : sohowww.nascom.nasa.gov ; YouTube : myunhausen74
 
  
  
 
Durant tout le mois de janvier 2017, l’Observatoire solaire et héliosphèrique de la Nasa (Soho) a photographié de grands objets près du soleil qui semblaient émettre des rayons d’énergie.
 

Evénement sur changement climatique ?

 
 
 
  
Le 21 septembre 2016, la styliste Vivienne Westwood a organisé un évènement sur le changement climatique dans une discothèque nommée The Box, qui avait pour but d’encourager les jeunes à s’impliquer davantage pour l’environnement. Nous avons décidé de soumettre ici cette photo à votre réflexion. En effet, ce personnage à droite est peut-être le même « familier » ou apparence sous laquelle s’est présenté Maitreya lorsqu’il a participé à une manifestation sur le changement climatique à Londres, en novembre 2015. [Voir Partage international de jan/fév et juil/août 2016]
 
 
Benjamin Creme sur la scène du théâtre Meervaar
 
 
 
Benjamin Creme sur la scène du théâtre Meervaart, à Amsterdam, le 27 septembre 2007. Photographie envoyée par N. Z., Zwijndrecht (Pays-Bas).

 
Questions - réponses dans la revue Partage international de janvier-février 2017
 
Benjamin Creme ne s’est jamais posé en juge de l’authenticité des activités et communications des autres groupes. Partage international continuera de suivre cette politique.
 
À chacune de ses conférences de par le monde, et pratiquement chaque jour de sa vie, Benjamin Creme répondait à de nombreuses questions sur un très grand nombre de sujets. Nous puiserons dans cette importante réserve et publierons dans cette rubrique les réponses de B. Creme et de son Maître encore inédites.
 
Q. Au Japon, les jeunes gens travaillent jour et nuit sans dormir pour gagner de l’argent. Verront-ils Maitreya ? Peut-on vivre ainsi, sans conscience, sans aucune notion des aspects spirituels de la vie ? [Tokyo, Japon, mai 2008]. 

R. C’est l’un des symptômes de la marchandisation à outrance. Nous avons laissé la marchandisation gouverner nos vies, décider de nos destins. Notre destinée, c’est de donner expression à ce qui est divin en nous – de nous manifester en tant que dieux. Mais, en fait, nous n’arrêtons pas de nous chamailler, de nous faire concurrence, de courir pour gagner plus d’argent que notre voisin. Pourquoi faisons-nous cela ? Vivre, ce n’est pas cela. Vivre, c’est être en relation. Quelle relation pouvons-nous avoir avec les individus ou le monde, si nous nous épuisons à courir après l’argent ? Cette génération n’est vraiment pas en phase avec les besoins de l’époque. Ces jeunes gens verront-ils Maitreya ? Bien sûr, qu’ils le verront, mais le reconnaîtront-ils pour ce qu’il est ? Il n’est pas un seul homme qui ne verra pas Maitreya. 

 
Q. On me dit que les gens qui travaillent dans ce groupe sont des bénévoles. Comment gagnent-ils leur vie ? Je voudrais bien être bénévole, mais il faut que je gagne ma vie. [Tokyo, Japon, mai 2008]. 

R. Il est vrai que ce sont tous des bénévoles. Ils travaillent, ils gagnent leur vie et font ce travail pendant leur « temps libre ». Tout dépend de l’intensité de leur aspiration, de leur implication, du temps qu’ils consacrent au travail, à leur famille, à aller au cinéma, etc., ainsi qu’au temps qu’ils consacrent au travail en vue de la Réapparition, qui consiste à faire connaître Maitreya et les Maîtres. Nous sommes tous différents. Certains y consacrent presque tout leur temps, d’autres moins, d’autres presque rien. Il n’est demandé à personne de ne pas gagner sa vie. Je n’ai jamais demandé à personne de quitter son emploi, ou de cesser de s’occuper de sa famille pour faire ce travail. La décision d’être bénévole vient d’eux, de leurs âmes. A chaque personne, son âme dit : « C’est ce que tu dois faire ; la nouvelle ère est venue ; c’est la voie des temps nouveaux » : tout vient de l’âme et du cœur. C’est pour cela que les gens s’engagent. Ils considèrent que c’est la chose la plus importante qu’ils puissent faire. Si, dans votre cœur, vous vous dites : « Je dois aider parce que je n’en peux plus de voir des millions de gens mourir de faim, je n’en peux plus de penser à tous ces gens ; je ne supporte pas de savoir que tous ces enseignants extraordinaires sont dans le monde, et que je ne fais rien pour donner un coup de main », si c’est ce que vous ressentez, alors vous devez vous engager. On devient bénévole quand, en tant qu’âme, dans son cœur, ou par intuition, on sent que l’on doit participer. Vous êtes en incarnation aujourd’hui, c’est votre responsabilité. Tout le monde, hélas, ne ressent pas cela ! Mais si vous avez vraiment le sentiment que vous avez envie de participer, alors vous le ferez. Si vous voulez vraiment faire ce travail, alors, vous trouverez un moyen de le faire. Réfléchissez en termes de priorités. Établissez des priorités. Vous avez votre travail, vous devez vous occuper de votre famille, mais quand il vous reste du temps libre – peut-être en avez vous plus que vous ne le pensez – vous pouvez en consacrer une partie à votre priorité suivante, qui est d’être un humain – de prendre conscience des problèmes, et de faire tout ce que vous pouvez pour changer les choses. 

 
Q. Quand vous avez déclaré qu’il ne nous restait plus que quinze ans pour restaurer la planète, que vouliez-vous dire ? [Osaka, Japon, mai 2009]. 

R. Il y a une erreur générale, parmi les scientifiques et les gouvernants, qui consiste à dire qu’il nous reste entre cinquante et cent ans pour changer de mode de vie, ne pas augmenter les émissions de carbone et rectifier... restaurer l’équilibre. Mais pour vous donner un exemple, nous avons abattu des milliers et des milliers d’hectares de forêt primaire – en Amazonie et ailleurs – alors que les forêts sont irremplaçables pour la production d’oxygène. Les arbres sont essentiels. Nous détruisons notre environnement à des fins purement commerciales. La question des émissions de carbone est complexe. De très nombreuses personnes – dont certaines très influentes – disent que le problème ne se pose pas du tout – que cette question n’a rien à voir avec la structure de la planète, et que, par conséquent, nous n’avons rien à faire pour maîtriser les émissions de carbone. C’est l’attitude la plus pernicieuse de toutes – celle qui nie l’existence même du problème. Encore une fois, elle est due à des raisons commerciales. Réduire les émissions de carbone dans l’atmosphère coûte de l’argent. Cela implique qu’il faudra mettre fin à toutes les émissions de carbone en provenance des centrales à charbon, ainsi qu’aux centrales nucléaires. Il y a dans le monde une demande de plus en plus forte de centrales nucléaires – sous prétexte qu’elles seraient propres. En fait, elles sont les plus dangereuses de toutes les sources d’énergie qui existent. Toutes les centrales nucléaires devraient être fermées immédiatement. 

 
Q. Quand Maitreya parle de son Père, celui qui l’a envoyé, fait-il référence à celui qui incarne la planète Terre, à celui qui incarne le soleil, le système solaire, ou à celui du commencement de tous les temps ? [Amsterdam, Pays-Bas, septembre 2004]. 

R. Il parle de celui qui est le reflet de notre logos planétaire, Sanat Kumara, le Seigneur du monde.

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La méditation de Transmission
 
En réponse à l'appel de leur âme, beaucoup de gens ressentent le besoin de se mettre au service du monde. Pour ce faire, la médita­tion de transmission est une méthode simple et efficace. Elle pro­duit des résultats remarquables pour la planète et stimule l'évolu­tion personnelle de ceux qui la pratiquent. La méditation de trans­mission est un moyen de servir le inonde.
 
 
Les Maîtres ont à leur disposition d'immenses énergies spiri­tuelles. Une grande partie de leur travail consiste à répartir ces énergies à travers le monde afin de mettre en œuvre le plan d'évo­lution de cette planète. Les groupes de méditation de transmis­sion agissent comme des « transformateurs » d'énergies. Il existe plusieurs centaines de groupes de transmission à travers le monde, dont les membres se réunissent régulièrement.
 
 
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Alors que nous nous apprêtions à fêter le trente-cinquième anniversaire de notre revue Share International (Partage international en français) son fondateur vient de nous quitter. Pendant plus de quarante ans, Benjamin Crème a servi sans relâche son Maître et Maitreya, le monde, ainsi que le groupe de co-workers qui l'a accompagné dans sa mission. Fidèle à sa vocation hier comme aujourd'hui, notre publication n'a cessé de prodiguer espoir, inspiration et in­formations, grâce à la vision et à la sagesse infinies auxquel­les nous a permis d'accéder le contact intime et permanent que Benjamin Crème entretenait avec son Maître.
    Notre reconnaissance va aux divers collaborateurs, passés et présents, qui ont travaillé pour la revue. Qu'il nous soit permis de remercier ici pour leur contribution fondamentale tous ceux qui ont si fermement fixé le cap de notre publica­tion dès son lancement et assuré ainsi la continuité de sa pa­rution.
Notre détermination reste sans faille. En vérité, la situa­tion nouvelle qui est la nôtre nous a donné l'occasion d'éva­luer le travail accompli, ce qui nous incite aujourd'hui à re­doubler d'efforts. Benjamin Crème est mort conscient d'avoir laissé le travail entre les mains de tous ceux qui, pendant tou­tes ces années, ont œuvré à ses côtés.
     Benjamin Crème est parti en paix, certain d'avoir fait tout ce qui était en son pouvoir pour remplir sa mission d'« am­bassadeur itinérant » de Maitreya. L'œuvre de sa vie étant achevée, il nous a quittés conscient que l'Émergence com­plète de Maitreya était imminente, et que, en conséquence, il pouvait compter sur nous pour continuer sans lui. Il savait également que même s'il ne lui était pas donné de voir le Jour de Déclaration sur le plan physique, il serait néanmoins « dans les parages », pour reprendre son expression, pour la vivre sur un autre plan.
     L'émergence de Maitreya, l'Instructeur mondial, et des Maîtres a déjà eu lieu : ils sont dans le monde depuis des décennies - depuis 1977. Maitreya, pour l'instant encore incognito, est déjà apparu à des millions de personnes à la télévision et sur internet. Nous attendons maintenant qu'il émerge en pleine lumière et annonce publiquement le rôle qui est 1e sien. Selon les informations que nous tenons de Benjamin Creme et de son Maître, ce moment n'est plus très loin.
     Le Maître de M. Crème a déjà indiqué que la revue continuerait de bénéficier de son soutien et que, dans l'avenir, elle jouerait un rôle dans l'éducation du public. Forts de cette assurance, nous ne pouvons que réitérer notre engagement dans le travail de diffusion du message d'espoir auquel Benjamin Creme a consacré sa vie extraordinaire.
 
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Partage international est la version française de Share International, revue mensuelle de langue anglaise (bimestrielle en janv./fév. et juil./août), publiée par la fondation Share International, organisation non gouvernementale enregistrée auprès du Département de l'Information des Nations unies.
 
 
 
 
 
 
 
 
  
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